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Après l'introduction du TBI la qualité et l'efficace de l'enseignement sont…

8. LA SCUOLA DIGITALE

“Piani di co-investimento per portare a tutte le scuole la banda larga veloce e il wifi. Disegnare insieme i nuovi servizi digitali per la scuola, per aumentarne la trasparenza e diminuirne i costi.” • Per liberare la scuola ci vuole più connessione, anzitutto digitale.

• Banda larga veloce, wi-fi programmabile per classe (con possibilità di disattivazione quando necessario) e un numero sufficiente di dispositivi mobili per la didattica, anche secondo la modalità sempre più adottata del BYOD (Bring Your Own Device, “porta il tuo dispositivo”, per cui la didattica viene fatta sui dispositivi di proprietà degli studenti, e le istituzioni intervengono solo per fornirle a chi non se lo può permettere).

• Occorre lavorare per ridurre i costi per le famiglie, ad esempio in acquisti connessi a editoria • DATI APERTI: si tratta di aprire la scuola nel suo potenziale di patrimonio informativo pubblico: Il MIUR ha il desiderio di coinvolgere i ragazzi in quella che diventerà a regime una Data School nazionale.

• A mano a mano che la digitalizzazione delle scuole diventerà più capillare, la smaterializzazione e l’efficientamento dei processi amministrativi potranno portare ad una considerevole riduzione del peso sugli assistenti amministrativi, ad un ridimensionamento progressivo del loro numero, e pertanto ad un possibile risparmio di risorse che potranno essere reinvestite nella scuola, proprio – ad esempio – per migliorarne ulteriormente i servizi75.”

Donc pour une buona scuola les TIC se révèlent fondamentales et nécessaires. Cependant comme dans tous les domaines le consentement n'a pas été à l'unanimité mais par la suite j'aurai l'occasion de présenter les points qui ont été reconnus en défaveur.

Pour l'instant j'ai voulu montrer comment le ministère a reconnu au fil des années l'importance de la technologie et a pensé que d'un côté il était nécessaire d’équiper les écoles italiennes avec des instruments technologiques et de l'autre côté il fallait une formation et une préparation appropriée des enseignants afin qu'ils les emploient de façon consciente et pertinente.

Le prochain paragraphe, qui conclue ce chapitre, veut raconter une expérience

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enthousiasmante qui représente aussi la source d’inspiration principale de mon mémoire.

2.5. Compte rendu d’une expérience de stage

Au mois d’octobre et de novembre 2014, j’ai effectué un stage chez le collège Ippolito Nievo à Ponte di Piave. Ma tâche était d’aider et d’assister les enseignants titulaires d’anglais et de français pendant leurs cours. En outre, j’ai souvent enseigné aux élèves qui avait des difficultés ou qui devaient rattraper des contrôles. C’étaient les moments que je préférais car j’étais toute seule et donc je me sentais utile pour ces jeunes.

Quand j’ai commencé cette expérience deux choses m’ont surprise le plus : la présence de classes multiethniques (parfois avec une majorité d’élèves étrangers) et l’emploi constant de la technologie et plus précisément du TBI.

En ce qui concerne le premier aspect, je ne crois pas que cela représente une limite mais au contraire un avantage pour enseigner aux jeunes à ne pas être racistes et à s’enrichir avec la coexistence de plusieurs cultures à l’intérieur d’une même classe. Il s’agit de profiter positivement de la diversité pour grandir tous ensemble.

Le second aspect est celui qui a inspiré ce travail. Je déclare tout d’abord que j’avais beaucoup entendu parler du TBI mais je ne l’avais jamais vu ou employé. Cela a été pour moi une véritable découverte parce qu’il n’était employé pas seulement pour l’enseignement mais aussi comme registre du professeur. Donc, j’ai remarqué immédiatement le changement par rapport à l’époque où j’étais au collège ou au lycée. La professeure d’anglais est celle qui m’a servi le plus comme modèle car elle employait considérablement les instruments technologiques. Comme observatrice extérieure j’ai pu constater que l’atmosphère en classe changeait radicalement par rapport à des cours où les élèves se limitaient à écouter et tout se déroulait de façon assez passive et statique.

Partant de ces prémisses dans ses cours le TBI ne la remplaçait pas mais l’aidait à améliorer sa façon d’enseigner. Il y avait, en effet, une façon différente d’aborder la séance aussi bien de la part de l’enseignant que de la part des élèves. Sans aucun doute une attention et un intérêt plus grands étaient évidents Si je devais résumer en un seul mot ce qu’on percevait dans la classe ce serait enthousiasme que je choisirai. Les élèves avaient hâte d’être appelés pour faire les exercices et levaient souvent la main pour participer. Les images et les vidéos se montraient toujours comme un instrument efficace pour attirer l’attention des élèves. À partir de cette expérience, j’ai réellement compris la place que la technologie devrait occuper dans les écoles. Il ne s’agit pas d’un instrument décoratif à employer de temps en temps mais il doit représenter un élément constant qui aide pour améliorer

75 l’apprentissage.

Cette enseignante aime son travail et c’est tellement transparent que je l’ai compris dès les premières minutes où j’étais présente en classe. Son engagement et son dévouement à l’enseignement sont admirables et j’ai observé que la plupart de ses élèves sortent du collège avec des niveaux de langue et de culture déjà élevés.

J’ai décidé donc d’interviewer cette professeure qui s’appelle Alessandra Scotini et qui enseigne anglais au collège où j’ai effectué mon stage. En particulier, je lui ai demandé des informations à propos de son usage de la technologie en classe en observant comment ses cours étaient appréciés par les élèves qui participaient activement.

Or, je rapporte et je traduis notre entretien.

TRANSCRIPTION INTÉGRALE DE L’INTERVIEW

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