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l’instrument d’étude

TCGB ITEMS PHRASES DATIVES

(46) La rondine porta il verme all’uccellino

Phrase Réversible – Probable – Objet Animé

(64) Il babbo mette le scarpe al bambino

Phrase Réversible – Probable – Objet non Animé

(74) Il cane porta il maiale alla pecora

Phrase Réversible – Neutre– Objet Animé

(43) La bambina dà la cartella al bambino

Phrase Réversible – Neutre – Objet non Animé

(51) Il bambino porta il gatto al topo

Phrase Réversible – Improbable – Objet Animé

(54) Il babbo porta le sigarette al bambino

Phrase Réversible–Improbable–Objet non Animé

2.3.3.2 L’administration du TCGB

L’administration du TCGB aux enfants se réalise à travers différentes phases au cours de deux sessions. Premièrement il faut s’assurer que les sujets testés connaissent le lexique employé dans les items qui constituent le test; cela peut s’accomplir avant ou durant l’administration du test même, l’important est de montrer à l’enfant une série d’images parmi lesquelles il doit indiquer celle qui représente le mot qu’il écoute. Deuxièmement il faut lui expliquer la tâche qu’il devra accomplir à travers des exemples et en lui soulignant que parmi les quatre images il y a une seule réponse correcte possible. En particulier, pendant l’administration, il est possible de répéter les items si l’enfant donne une réponse non correcte; de cette manière l’enfant est poussé à poser une attention majeure à la tâche et l’examinateur peut comprendre si sa faute est due au manque d’attention ou à un effectif problème avec la structure testée. Les auteurs soulignent aussi que l’item peut être répété même quand le sujet est évidemment inattentif, quand il indique plusieurs images, quand il pose son attention seulement sur une image ou quand il expose un doute sur la pertinence de la réponse. En tout cas toutes les réponses du sujets doivent être notées; au contraire, si l’enfant se corrige tout seul on peut tenir compte seulement de la version correcte.

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Le score final peut être analysé par rapport au niveau global de la performance, mais aussi par rapport au rendement du sujet dans les différentes structures testées dans le but de voir de manière approfondie ses difficultés. En particulier, l’analyse des fautes commises et donc des éléments de distraction choisis permet de comprendre quel type de stratégies ont déterminé la compréhension de l’enfant. Les éléments de distraction dans le TCGB sont principalement de deux types: grammaticaux et lexicaux; les premiers décrivent une structure qui se distingue de l’interprétation correcte par un détail syntaxique ou morphosyntaxique, les seconds indiquent une structure qui diffère de l’interprétation correcte par un trait lexical (nom ou verbe différent) et la structure de l’item peut être maintenue ou violée. On doit reconnaître aussi qu’il y a des éléments de distraction dont le statut est ambigu du moment qu’ils ne se focalisent pas sur un détail grammatical ou lexical spécifique; ces derniers montrent, en revanche, des ressemblances perceptives et linguistiques avec l’interprétation correcte moins définissables mais alléchantes pour les enfants. Il est évident que l’analyse de la faute commise offre des informations importantes sur la raison des choix de l’enfant mais aussi sur la façon dans laquelle, à un certain niveau de développement, il élabore les structures de sa langue; en particulier par rapport aux choix faits par le sujet, le choix d’un élément de distraction lexical et moins grave que celui d’un élément grammatical. En effet si dans le premier cas la faute peut être due au manque d’attention, dans le second cas elle peut se lier à des difficultés bien plus sérieuses avec une certaine structure morphosyntaxique ou à un déficit linguistique. De plus il faut considérer aussi l’âge du sujet; les sujets plus jeunes, par exemple, peuvent avoir des limites cognitives et de mémoire qui les dévient des réponses correctes en les portant à un rendement moins élevé.

2.3.4 Prove di Valutazione della Comprensione Linguistica (Rustioni)

Le test Prove di Valutazione della Comprensione Linguistica (Rustioni) naît d’une standardisation préliminaire d’un échantillon de données relatives à la compréhension linguistique des enfants à une certaine étape de leur développement et considérées une épreuve fiable des habilités linguistiques des enfants normaux. Une telle description donc peut se montrer intéressante pour toutes les figures éducatives qui entrent un contact avec des sujets qui ont un développement anormal du langage afin de comprendre avec quels types de déficits ils doivent s’affronter. Le Rustioni comme le TCGB est visé à la vérification de ce qui comporte une acquisition pathologique et dans quels domaines elle diffère d’une acquisition normale, en outre lui aussi, il s’impose de récupérer les stratégies qui dévient le sujet d’une interprétation correcte et d’une élaboration standard de la langue en mettant en évidence ce qu’effectivement un sujet "non normal" comprend. Notamment, le Rustioni s’impose de récréer des

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stimulations où des facteurs et des habilités linguistiques s’opposent à d’autres questions cognitives; l’idée en effet est que pour interpréter un item, les habilités strictement syntaxiques doivent s’intégrer avec des stratégies perceptives et d’inférence liées, toutes les deux, au développement cognitif de l’enfant. De cette manière, la réaction de l’enfant à la présentation de la stimulation permet de comprendre quelles sont les catégories mentales qu’il possède et dans quelle façon il les combine afin d’interpréter la réalité.

Pour ces raisons la compréhension linguistique de l’enfant ne peut pas être testée en isolément, mais elle doit être vérifiée en combinaison avec le mûrissement du sujet même et des habilités cognitives qui le caractérisent. De manière particulière le test se focalise sur la découverte des étapes du développement auxquelles corresponde l’emploi de méthodes exclusivement syntaxiques au lieu de stratégies non linguistiques. Ce concept nous ramène au fait, assez considéré par Rustioni, que parfois les énoncés sont correctement compris par les enfants parce qu’ils correspondent à leurs attentes cognitives; de cette façon ils peuvent montrer une bonne performance même s’ils ne possèdent pas une compétence linguistique suffisante afin de comprendre la structure syntaxique effective sous-jacente la phrase. C’est pourquoi un enfant peut bien comprendre l’énoncé «Butta la

palla» seulement parce qu’il représente l’action plus commune à faire avec une balle; la seule connaissance de ce

que c’est qu’une balle suffit pour comprendre correctement la phrase. Le test de Rustioni alors afin de découvrir les stratégies de compréhension employées par les enfants dans différents états du développement et le moment où ils arrivent à privilégier les habilités linguistiques et syntaxiques; il se montre donc non seulement comme un instrument utile à comprendre la compétence linguistique du sujet mais aussi comme un moyen utile à en vérifier le développement et les processus mentaux qui dénotent les facultés cognitives des enfants. Les fautes de compréhension sont nécessaire afin de saisir les stratégies employées pour interpréter la réalité et quel type de programmes de réhabilitation faut-il utiliser dans des cas de rendement problématique.

Autrement dit, le but principal du test est de réaliser un instrument fiable à vérifier la compréhension linguistique des enfants et à remarquer comment la compétence linguistique se développement au cours du mûrissement de l’individu même; de cette manière on arrive à définir quels types de structures un sujet est en mesure de comprendre. En d’autres termes, les objectifs que ce test se pose sont:

L’évaluation du niveau de compétence linguistique (en compréhension) du sujet; La découverte des stratégies employées par les sujets afin d’élaborer la langue;

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La standardisation de données qui proviennent de sujets normaux et qui servent à comprendre le niveau de compétence aux différents états du développement;

Une évaluation fidèle et fiable des déficits linguistiques des sujets afin de comprendre quel type de réhabilitation est nécessaire.

Le test cherche alors à établir l’âge linguistique d’un sujet en signalant les structures qu’il est en mesure de comprendre. En ce sens, on est capable de discerner si le rendement d’un sujet dévie de la norme et à quel type de déficit linguistique il se lie; mais on peut arriver aussi à discriminer un rendement au-dessus du standard même. La description des paramètres qui caractérisent le développement et l’état de la compréhension linguistique peut aider à comprendre une situation d’acquisition pathologique et les remèdes possibles pour l’améliorer. En outre, un dernier fait assez important qui distingue Rustioni d’autres tests est que celui il a été pensé pour pouvoir être administré plusieurs fois; l’absence de feedback empêche l’enfant de mémoriser les réponses et permet à l’examinateur de tester si les problèmes rencontrés initialement se répètent constamment chez l’enfant testé.

2.3.4.1 La structure et les matériaux du Rustioni

Même le Rustioni a été élaboré dans le but de récréer un test adéquat et fiable pour vérifier et pour évaluer la compréhension linguistique des enfants; pour cette raison il a été tout d’abord nécessaire de fixer des paramètres essentiels pour comprendre le niveau de compétence linguistique correspondante à chaque niveau du développement. De cette manière il se montre plus simple de saisir les structures à vérifier par rapport à la variation d’âge en confirmant aussi à quel âge on peut retrouver une compréhension optimale d’une certaine structure linguistique. En particulier, cette typologie d’approche a permis de se rendre compte du fait que tous les enfants au-dessous d’un certain âge tendent à comprendre de façon erronée et homogène des items bien spécifiques; mais une fois atteint un certain seuil du développement, ils montrent une compréhension correcte et homogène. Cela témoigne qu’effectivement le développement du langage se base sur des étapes successives et bien définies qui influencent la performance des sujets. C’est pourquoi le test du Rustioni a été partagé en plusieurs protocoles, chacun d’entre eux est pensé pour un niveau spécifique du développement et pour tester des structures importantes à vérifier à cette niveau-là. En ce sens en présentant des structures trop complexes aux enfants plus jeunes et des structures trop simples aux enfants plus grands on risque d’obtenir des résultats non utiles et insignifiants. Chaque enfant alors reçoit le protocole qui lui est plus conforme.

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Par rapport aux matériaux qui caractérisent le test, il faut souligner qu’on a cherché à repérer des structures linguistiques représentatives du système syntaxique italien; leurs implications culturelles et leur forme linguistique ont été considérées très attentivement. Les items peuvent donc se référer à des événements probables ou improbables et ils tendent à correspondre à des structures assez fréquentes. En ce qui concerne les éléments de distraction, en revanche, on doit dire qu’ils ont été élaborés pour mettre en discussion les habilités des enfants d’un point de vue cognitif et linguistique et pour être bien percevables à niveau graphique. En particulier les éléments de distraction peuvent se centrer sur des aspects différents: une relation erronée entre objets/sujets, des propriétés physiques d’un objet non correctes, une action erronée, une représentation non correcte de la structure syntaxique d’un item.

Globalement le test du Rustioni se compose de 78 items distribués en six protocoles qui vérifient, chacun, un niveau de développement bien déterminé. Chaque item est testé à travers la présentation d’un setting de quatre images parmi lesquelles il y en a seulement une qui coïncide avec l’interprétation correcte. En outre chaque protocole identifie un niveau spécifique de développement:

PROTOCOLE ÂGE D’ADMINISTRATION

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