Troubles mentaux et problématique suicidaire chez les femmes incarcérées dans un établissement de
détention provincial
Marc Daigle, Ph. D.
Université du Québec à Trois-Rivières
Centre de recherche et d’intervention sur le suicide et l’euthanasie Centre de recherche de l’Institut Philippe Pinel de Montréal
et
Gilles Côté, Ph. D.
Université du Québec à Trois-Rivières
Centre de recherche de l’Institut Philippe Pinel de Montréal
Octobre 2003
Ce projet a été subventionné par le Centre de recherche et d’intervention sur le suicide et l’euthanasie (CRISE), lui-même bénéficiant d’une subvention de fonctionnement du Conseil québécois de la recherche sociale (CQRS). Les auteurs du rapport tiennent à exprimer leur gratitude aux employés et gestionnaires de la Direction générale des services correctionnels du Québec qui ont facilité leur travail tout au long de la démarche présentée ici. Leur gratitude s’étend plus particulièrement à Aline White, conseillère spécialisée en milieu correctionnel à l’Établissement Tanguay et aux femmes qui y sont incarcérées. Deux assistants de recherche ont réalisé la collecte de données pour ce projet : Mylène Alarie et Sébastien Mailhot. Ce document est disponible auprès du CRISE (www.crise.ca).
Page couverture : Le mal de la solitude incomblable. Oeuvre réalisée par Mylène Couture lors de son incarcération à l’établissement de détention Maison Tanguay (dans le cadre de l’Atelier d’expression par l’art de Bénédicte Deschamps, art-thérapeute).