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Bibliographie méthodique de l'histoire économique et sociale de la France pendant la guerre

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(1)

H I S T O I R E ÉCONOMIQUE ET SOCIALE

DE LA GUERRE MONDIALE

(Série française)

BIBLIOGRAPHIE M É T H O D I Q U E

1

DE

L'HISTOIRE ECONOMIQUE

ET SOCIALE DE LA FRANCE

PENDANT LA GUERRE

PAR

Camille BLOCH

Directeur de la Bibliothèque-Musée de la Guerre et de l'Office de Documentation Internationale contemporaine

Professeur en Sorbonne

PUBLICATIONS DE LA DOTATION CARNEGIE POUR LA PAIX INTERNATIONALE

(2)
(3)
(4)
(5)

Publications de la

(6)

HISTOIRE ÉCONOMIQUE & SOCIALE

DE LA GUERRE MONDIALE

Série Française

DIRECTEUR

J A M E S

T. S H O T W E L L

Professeur d'Histoire à l'Université Columbia (U. S. A.)

A V E C I.A C O L L A B O R A T I O N ' D U

C O M I T É F R A N Ç A I S

CHARLES G I D E , Professeur au Collège de France (Président).

ARTHUR F O N T A I N E , Président du Conseil d'Administration du Bureau International du Travail.

HENRI H A U S E R , Professeur à la Sorbonne et au Conservatoire national des Arts et Métiers.

CHARLES R I S T , P r o f e s s e u r à l a F a c u l t é d e D r o i t .

(7)

9 £ L p T

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O >

HISTOIRE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE

DE LA GUERRE MONDIALE

BIBLIOGRAPHIE MÉTHODIQUE

D E

L'HISTOIRE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE

DE LA FRANCE

P E N D A N T L A G U E R R E

PAR

Camille BLOCH

Directeur c'e la Bibliothèque-Musée de la Guerre

et de

l'Office de Documentation internationale contemporaine Professeur en Sorbonno

P U B L I C A T I O N S D E L A D O T A T I O N C A R N E G I E P O U R L A P A I X I N T E R N A T I O N A L E

LES PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE, PARIS YALE UNIVERSITY PRESS, NEW-HAVEN, U.S.A.

(8)
(9)

PRÉFACE

A l'automne de 1914, quand l'étude scientifique des répercussions de

la guerre sur la vie moderne passa tout à coup du domaine de la théorie

dans celui de l'histoire, la Division d'Économie et d'Histoire de la

Dota-tion Carnegie se proposa d'adapter son programme de recherches aux

problèmes nouveaux que la guerre allait susciter ou, si l'on préfère, aux

problèmes anciens qu'elle allait transformer.

Le programme existant, tel qu'il avait été rédigé dans la conférence

«les économistes tenue à Berne en 1911 et qui traitait des questions alors

actuelles, avait déjà donné lieu à des travaux de haute valeur, mais

pour bien des raisons, il ne pouvait plus être maintenu tel quel. Un

nouveau plan fut donc tracé, à la demande du Directeur de la Division.

11 avait pour but de mesurer, par une vaste enquête historique, le coût

économique de la guerre et les perturbations qu'elle causerait dans la

marche de la civilisation. Il y avait lieu de penser qu'en confiant une

telle entreprise à des hommes compétents et d'esprit pondéré, et en la

menant selon la méthode vraiment scientifique, elle pourrait finalement

fournir au public les éléments nécessaires pour se former une opinion

éclairée — et servir par là les intentions d'une Fondation consacrée à

la cause de la Paix internationale.

Le besoin d'une telle analyse, conçue et exécutée dans le véritable

esprit de la recherche historique, s'est fait de plus en plus sentir au fur

et à mesure que la guerre s'est développée, déclanchant toute la

multi-plicité des forces nationales — non seulement celles qui visaient à la

destruction, mais aussi celles qui aboutissaient à la création de nouvelles

énergies productives. L'apparition de ces formes nouvelles d'activité

économique qui, en temps de paix, se seraient traduites par un

accrois-sement de richesse sociale et qui ont donné parfois l'illusion d'une

pros-périté accrue — et, d'autre part, le spectacle de l'incroyable endurance

dont firent preuve toutes les nations belligérantes pour supporter des

pertes sans cesse accrues — ont rendu nécessaire de soumettre à un

examen plus approfondi tout le domaine de l'économie de guerre.

(10)

d'Histoire. Elle dut prendre pour règle de concentrer son travail sur les

problèmes ainsi posés et de les étudier dans leur ensemble ; en d'autres

termes, de leur appliquer les critériums et les disciplines de la méthode

historique. En raison même de ce que la guerre, prise dans son ensemble,

constituait un seul fait, quoique se répercutant par des voies indirectes

jusqu'aux régions les plus reculées du globe, l'étude de la guerre devait

se développer sur un plan unique, embrassant tous ses aspects à la fois

et pourtant ne négligeant aucune des données accessibles.

Aussi longtemps que la guerre a duré, on ne pouvait songer à

l'exécu-tion d'un tel programme. On pouvait tenter des études occasionnelles

et partielles (quelques-unes ont été publiées sous la direction de la

Divi-sion Economique), mais il était impossible d'entreprendre une histoire

générale — et cela pour des raisons évidentes. D'abord toute étude

autorisée sur les ressources des belligérants aurait influencé directement

la conduite des armées. Aussi les gouvernements avaient-ils grand soin

de soustraire à toute enquête les données de la vie économique, même

celles auxquelles, en temps normal, le public a accès. En dehors même

de cette difficulté, les collaborateurs qui eussent été qualifiés pour ces

études étaient pour la plupart mobilisés et par conséquent hors d'état

de se livrer à de pareilles recherches. Le plan d'une histoire de la guerre

fut donc ajourné jusqu'au moment où les circonstances rendraient

possibles dans chaque nation non seulement la communication des

documents, mais la collaboration des spécialistes, économistes,

his-toriens, hommes d'affaires ; et où leur coopération à ce travail collectif

ne pourrait plus donner lieu à des malentendus, ni quant à ses buts, ni

quant à son contenu.

(11)

orga-nlaation nationale et ne faisant appel que subsidiairement à une

coopé-ration internationale. Aussi longtemps que les faits relatifs à l'histoire

de chaque nation ne seraient pas parfaitement connus, il serait vain de

procéder à des analyses comparatives et l'histoire de chaque pays

cons-tituerait elle-même un inextricable labyrinthe. On décida donc de

dis-soudre l'ancien Comité européen de recherches et de le remplacer par

un Comité de direction (Editorial Board) dans chacun des principaux

pays (ou par un seul directeur dans les petits pays). La tâche de ces

Comités devait se concentrer, au moins pour l'instant, sur l'histoire

économique et sociale de leur pays respectif.

La première démarche du Directeur général fut de choisir les

mem-bres de ces Comités de Direction dans chaque pays. Si le plan de la

Dotation avait besoin d'une justification, il suffirait de montrer les

listes des noms de tous ceux qui, hommes de science ou hommes d'État,

ont accepté la responsabilité de ces publications. Cette responsabilité

est assez lourde, car elle implique l'adaptation du plan général aux

con-ditions spéciales de chaque pays et à ses habitudes de travail. Le degré

de réussite de l'entreprise dépendra du zèle avec lequel les

collabora-teurs de chaque nation accepteront d'y coopérer.

Une fois constitués les Comités de direction, un premier pas

s'im-posait pour la mise en train de notre histoire. Pas d'histoire sans

documents. Avant tout il fallait rendre accessibles pour les

recher-ches, dans la mesure compatible avec les intérêts de l'État, tous les

documents de quelque importance relatifs à la guerre, locaux ou

nationaux. Mais la constitution des archives est une lourde tâche qui

appartient de droit aux Gouvernements et autres détenteurs de ces

documents historiques, non aux historiens ou économistes qui se

pro-posent de les utiliser. C'est une obligation incombant aux propriétaires

qui les détiennent pour le compte du public. Les collaborateurs qui se

sont chargés de cette partie de l'Histoire de la Guerre ne pouvaient

que se borner à un rôle d'enquêteurs et, en acceptant la situation telle

qu'elle était, résumer leurs découvertes sous forme de guides ou de

manuels bibliographiques ; et peut-être aussi, en procédant à une

com-paraison des méthodes employées, contribuer à faire adopter celles

trouvées les plus pratiques. Tel a été dans chaque pays le point de

départ de nos travaux, quoiqu'on n'ait pas dans chaque cas rédigé

sur ce point de monographie spéciale.

(12)

coura-geux pour oser briser les scellés. Par suite, des mines de matériaux

indis-pensables à l'historien lui restent inaccessibles, quoique leur

publica-tion ne puisse présenter bien souvent aucun inconvénient. Tant que

l'état d'esprit né de la guerre pesait ainsi sur nos recherches et risquait

de les entraver pendant bien des années encore, il fallait découvrir

quelque autre solution.

Heureusement cette solution a pu se trouver grâce aux souvenirs

et aux impressions personnels, appuyés d'ailleurs sur des documents

dignes de foi, de ceux qui, au cours de la guerre, ont participé à la

direc-tion des affaires ou qui, simples observateurs mais favorablement

pla-cés, ont pu recueillir de première ou de seconde main une connaissance

précise de certaines phases de la guerre et de leurs conséquences

sociales. C'est ainsi qu'a pu être établi le plan d'une série de

mono-graphies historiques ou descriptives où les faits seront exposés, non à

titre officiel, mais néanmoins de source autorisée, monographies qui se

classent à mi-chemin entre le type des mémoires personnels et celui des

rapports officiels. Ces monographies constituent le principal de notre

œuvre. Elles ne sont pas limitées aux faits de guerre ni même à ses

suites immédiates, car l'histoire de la guerre se prolongera longtemps

après que celle-ci aura pris fin. Elles doivent embrasser aussi la période

de « déflation » au moins assez pour permettre de se faire, sur les

per-turbations économiques dues à la guerre, un jugement plus sûr que ne

le permettrait

L

le seul examen des faits immédiatement

contem-porains.

(13)

ensemble, est établi de façon que les monographies d'un même pays se

contrôlent mutuellement ; là où ce ne serait pas le cas, nul doute

que d'autres ouvrages parallèles, publiés dans les autres pays, ne

puissent servir de correctif.

Outre ces monographies destinées à utiliser les sources, d'autres

études sont en préparation ayant un caractère technique et limité, et

portant sur des points précis d'histoire ou de statistique. Ces

mono-graphies ont, elles aussi, le caractère de travaux de première main, car

elles enregistrent des faits recueillis assez près de leur source pour

per-mettre des vérifications qui deviendraient impossibles plus tard. Mais

d'autre part elles constituent aussi des applications de la méthode

cons-tructive par laquelle l'historien passe de l'analyse à la synthèse. Mais il

s'agit d'une tâche difficile et longue et qui commence à peine.

On pourrait dire, pour caractériser les premières phases d'une

his-toire comme celle-ci, que l'on n'en est encore, suivant l'expression

amé-ricaine, qu'à la « cueillette du coton ». Les fils emmêlés des événements

restent à tisser pour fabriquer l'étoffe de l'histoire. Dans un travail

constructif et créateur comme celui-ci on peut être obligé de |changer

de plan et d'organisation.

Dans une entreprise qui implique une coopération aussi complexe

e t aussi variée, il est impossible d'établir, autrement que d'une façon

très générale, la part de responsabilité des directeurs et des auteurs

dans la rédaction des monographies. E n ce qui concerne le plan de

l'Histoire de la Guerre dans son ensemble| et son exécution, c'est le

Directeur général qui assume la responsabilité ; mais quant aux

arran-gements de détail et à la répartition des travaux entre les

collabora-teurs, c'est surtout l'affaire des Comités de direction et d'édition dans

chaque pays, qui ont aussi à lire les manuscrits préparés sous leur

direc-t-ion. Néanmoins l'acceptation d'une monographie n'implique nullement

l'approbation des opinions et conclusions qui s'y trouvent formulées.

La Direction borne son rôle à s'assurer de la valeur scientifique des

travaux, et à vérifier s'ils rentrent bien dans le cadre du plan

adopté,-mais les auteurs auront naturellement toute liberté de traiter les sujets

à leur gré. De même aussi la Dotation, par le fait qu'elle autorise la

publication de monographies, ne doit pas être considérée comme

donnant son approbation aux conclusions qui s'y trouveront

formu-lées.

(14)

XII PRÉFACE

*

* sic

L'ouvrage de M. Camille Bloch : Bibliographie méthodique de l'Histoire

économique et sociale de la France pendant la guerre, présente sous une

forme systématique l'ensemble de la production française imprimée.

Il constitue un vaste et original répertoire où quiconque voudra

étudier un point de cette histoire trouvera groupées les sources qui

le concernent, aux divers points de vue législatif, gouvernemental et

administratif ainsi qu'à celui de l'opinion publique s'exprimant par la

voie des livres, des brochures, des articles de revues, des rapports aux

congrès, des travaux des associations et groupements. Par l'ampleur

et la richesse de l'information, il rendra de grands services aux

per-sonnes ayant déjà fait choix d'un sujet d'étude ; aux autres, il

sug-gérera mainte idée d'étude nouvelle. Pour tous, il réduira au

mini-mum l'effort souvent pénible des recherches préparatoires, il sera le

plus précieux des guides dans une documentation surabondante.

Enfin le plan même adopté par l'auteur, les détails minutieux dans

lesquels il est entré, permettront toujours de se rendre un compte

précis de l'activité nationale dans les multiples domaines de la vie

économique et de la vie sociale du pays, au cours d'une période

exceptionnellement tragique de son histoire.

(15)

INTRODUCTION

Dans le présent ouvrage, il ne faut pas s'attendre à trouver tous les aspects

sous lesquels peut être étudiée l'histoire de la France pendant la guerre, mais

seulement les aspects économiques et sociaux. L'histoire militaire, l'histoire

diplomatique, l'histoire politique intérieure, l'histoire des mœurs, l'histoire

intellectuelle et artistique, l'histoire de l'esprit public (qui forme un chapitre

si curieux de celle de la France pendant la guerre), tout cela n'avait pas

ici sa place. Notre sujet, c'est la production agricole et industrielle,

l'outillage national, le commerce et les échanges, les finances publiques,

le travail et la condition des ouvriers, la prévoyance, l'assistance et

l'hy-giène sociales, les questions démographiques, la vie locale, les colonies et

la colonisation, les régions envahies, dévastées, puis libérées, la

reconsti-tution générale de la France. Dans ces divers ordres de matières et

d'idées, les phénomènes normaux d'une part, et, d'autre part, les faits

exceptionnels résultant de circonstances troublées, sont également

envi-sagés.

La définition de ce plan, qui reste-encore vaste, commande ses limites

chronologiques. Pas de difficulté pour la date initiale : c'est le début de la

guerre. Mais à quelle date s'arrêter ? Celle du 28 juin 1919, c'est-à-dire du.

traité de Versailles, vient tout de suite à l'esprit, naturellement. Mais une

coupure aussi brusque ne serait pas justifiée dans l'ordre économique et

social, soumis à des variations lentes. Assurément, une date meilleure est

celle des élections, au mois de novembre 1919, où le pays a été appelé à se

prononcer sur les problèmes soulevés par la fin de la guerre et sur l'orientation

future de la politique économique et sociale au lendemain de la paix. Dans la

mesure où il est possible de fixer le point de départ d'une nouvelle période

historique, — ce qui comporte toujours une part d'arbitraire, — il convient

donc de le situer à la fin de l'année 1919. Toutefois, on a cru bon d'étendre

les recherches sur une année de plus, soit jusqu'en décembre 1920. Il n'était

pas superflu, en effet, de procurer aux travailleurs les éléments de la

docu-mentation sur les débuts de la reconstitution nationale, sur la tendance de

la courbe d'évolution des phénomènes depuis la cessation des hostilités. Les

dix-huit mois écoulés entre le 28 juin 1919 et le 31 décembre 1920 sont, pour

l'économiste et le sociologue comme pour l'historien, féconds en événements

et en enseignements qui découlent directement de la période proprement

dite de la guerre.

(16)

destiné à faire connaître la production imprimée - jusqu'au 31 décembre

iy/1 — sur les diverses matières du sujet (1).

Si la production imprimée est une très grande partie de la documentation

U est vrai qu elle ne la constitue pas tout entière. D'autres sources

impor-tantes existent, les sources manuscrites. Mais elles sont encore inaccessibles

Avant longtemps, les archives de ceux des ministères et administrations

publiques dont 1 activité pendant la guerre s'est appliquée plus

particuliè-rement a la vie économique et sociale du pays ne seront pas ouvertes aux

chercheurs. La précieuse contribution qu'elles peuvent fournir à l'histoire

n est donc pas décrite ici : seules sont données à leur propos quelques

indica-tions de détail, fortuitement recueillies (2).

Les documents imprimés se répartissent entre plusieurs catégories qui se

retrouvent, nettement distinctes, dans notre publication

En premier heu, les actes officiels, les uns d'origine législative et

parlemen-taire, les autres d'origme gouvernementale et administrative. Mais toute la

documentation officielle ne pouvait, à cause de son énorme étendue, être

men-tionnee dans le détail. Ainsi on n'a relevé que quelques-uns des rapports

pré-sentes a la Chambre des députés et au Sénat, ceux qui peuvent le mieux être

regardés comme une source d'information documentaire. H va de soi que

(loutres auraient pu être également cités. Du moins existe-t-il une

publica-tionofficieUe qui permet aux travailleurs de les connaître complètement (3)

Au contraire, la plupart des rapports, comptes rendus, statistiques, etc

émanés des ministères et des services publics, ont été signalés. S'il en

manque, cela tient à la difficulté d'être renseigné sur l'existence de ces

publi-cations, auxquelles nulle bibliographie n'est consacrée, qui ne figurent pas

toutes dans les bibliothèques des services intéressés, qui n'y sont même pas

toutes connues.

Viennent ensuite les ouvrages et brochures émanant d'auteurs

parti-culiers sans caractère officiel, ou du moins n'écrivant pas en cette qualité.

Pour les connaître, voici les instruments qui ont été utilisés.

1° La Bibliographie de la France (l

r c

partie, ouvrages du dépôt légal).

2° Le Bulletin mensuel des nouvelles acquisitions françaises de. la

Biblio-thèque Nationale, acquisitions dont la majeure partie figure d'ailleurs à la

Bibliographie de la France.

„ ' Ï J f d a t C d U 3 1 d é c e m b r c 1 9 2 1 E x p l i q u e par le fait que la rédaction de l'ouvrage a été achevée en jL9Z.Z.

(2 Les archives spécialement intéressantes sont celles des ministères suivants : Agriculture (y compris le

service temporaire du Ravitaillement, dont les papiers sont aujourd'hui déposés aux Archiva nationales) • -Commerce, Industrie, Postes et Télégraphes (à ce ministère, il faut rattacher le Service du Blocus) - - Tra-vaux publies ; - Travail et Prévoyance sociale ; - Intérieur (Assistance; Hygiène; Servicedes Réfugiés U rapatriés) ; - Finances ; - Colonies. L'étude de la vie locale requiert la consultation des archives départe-mentales, communales, hospitalières et de celles des Chambres de Commerce.

La répartition des ministères, par conséquent de leurs archives, a beaucoup varié de 1914 à 1920 Consulti r à ce sujet 1 Almamch national (1915-1919) et le Tableau général de la composition et des attributions des divers ministères (Publication de la Commission du Bulletin officiel du Ministère de la Guerre. Paris,

Lavav-zelle, ln-8», éd. du 1»' février 1919, 155 p.).

(S) Annales du Sénat et Annales de la Chambre des Députés (Documents parlementaires). C'est une

(17)

3° La Bibliographie Géographique, publiée sous la direction de M.

Elicio-Colin (années 1915-1919 et 1920-1921) (1).

4° Le Catalogue de la Chambre de Commerce de Paris (1

er

supplément)

paru'en 1922.

5° Les bibliographies courantes qu'on trouve dans les périodiques.

Beau-coup sont importantes, mais les indications qu'elles fournissent sont

sou-vent incomplètes. On a, dans la mesure du possible, comblé leurs lacunes au

moyen de démarches directes auprès des éditeurs ou dans les bibliothèques

spécialisées. On ne saurait toutefois garantir que toutes les erreurs provenant

des indications puisées à cette source ont pu être évitées. De plus, dans bien

des cas, il a été définitivement reconnu impossible de faire connaître soit le

lieu d'édition, soit le format, soit le nombre de pages.

6° Le catalogue sur fiches de la Bibliothèque-Musée de la Guerre. Il a

procuré un nombre important d'ouvrages qui manquent dans les sources

précédentes, en particulier les publications émanées des administrations

publiques ou des sociétés et groupements de caractère privé.

7° Le Catalogue des thèses et écrits académiques, publié sous les auspices

du Ministère de l'Instruction publique. Les thèses de doctorat en droit, en

médecine ou en pharmacie sont de valeur très inégale ; c'est un fait notoire

qu'il en est même dont la valeur est tout à fait médiocre ; mais jusque dans

celles-ci se rencontrent souvent des informations de détail, des données

sta-tijtiques, qui peuvent être utilement recueillies, ainsi que des indications

bibliographiques susceptibles d'orienter les recherches du travailleur.

Enfin, le répertoire que nous présentons au public contient le

dépouil-lement des articles parus dans les périodiques, dont voici les principales

catégories distinctes :

1° Les revues générales (Revue des Deux-Mondes, Revue de Paris,

Corres-pondant, Mercure de France, etc.) ;

2° Les revues consacrées aux questions économiques et sociales, comme :

Journal des Économistes, Revue d'Économie politique, Revue politique et

par-lementaire, l'Avenir, Revue du Travail, etc., y compris celles qui sont les

organes des grands groupements nationaux tels que la « Société

d'encourage-ment à l'industrie nationale », 1' « Association nationale d'expansion

économique », 1' « Académie d'agriculture de France », etc. ;

3° Les principales revues techniques qui contiennent des études

documen-tées de première main (Chimie et Industrie, A nnales des Ponts et Chaussées,

Revue Philanthropique, etc.) ; toutefois on n'y a pris que les articles

utili-sables au point de vue économique ou social, notamment ceux qui fournissent

des données statistiques (2) ;

4° Les principaux magazines (Lectures pour tous, Je Sais tout, Science et

Vie, la Nature^, auxquels collaborent même des techniciens notables ;

tout en n'ayant qu'un but de vulgarisation, ils contiennent souvent d'utiles

données documentaires ;

(1) Celle des années 1920-1921 n'a para qu'au début de 1923 et n'a pu être mise à profit pendant la rédac-tion de notre travail. I l y a été suppléé dans la mesure du possible par le dépouillement de la bibliographie courante de la Revue de Géographie.

(18)

5° Les périodiques d'actualité économique et sociale paraissant en général

toutes les semaines (Économiste français, Économiste européen, Économiste

parlementaire, Europe nouvelle, Réforme économique, Information ouvrière

et sociale, etc.), dont les articles, ordinairement courts, signés souvent de

noms de spécialistes, permettent de suivre les questions presque au jour le

jour ; mais on a exclu du dépouillement les articles anonymes ;

6° Les périodiques officiels (Bulletin du, Ministère du Travail, Bulletin

municipal de la Ville de Paris, Bidletin de Statistique et de Législation

compa-rée, etc.) ;

7° Les bulletins des Chambres de Commerce de Paris, de Lyon et de

Mar-seille, qui sont les plus considérables de ces organismes. Toutefois, nous

avons, pour les autres, relevé les plus importants des tirages à part

mention-nés dans la Bibliographie de la France. Mais il ne faut pas oublier que toute

question qui a été étudiée et discutée dans ces trois Chambres l'a été vrai,

semblablement aussi dans les autres.

A titre d'information supplémentaire, on a donné, sous chaque rubrique

de matière, la liste des revues et des principaux bulletins de Sociétés qui la

concernent, qu'ils aient, d'ailleurs, été ou non dépouillés.

Certains ouvrages sont des recueils d'articles, de conférences, de rapports

(par exemple les comptes rendus de Congrès). Le détail du contenu

de chacun d'eux est donné ; en outre, chaque article ou rapport est

repré-senté aussi à la matière qu'il intéresse.

Qu'on nous permette enfin de signaler la nouveauté des relevés

d'en-seml le faits, sous les rubriques qu'ils concernent, des bulletins, tracts, etc.,

émanés des groupements spéciaux (d'ordre politique, économique,

philan-thropique, etc.), et celle des relevés des publications administratives.

Ainsi conçu et établi, l'ouvrage est fait soit pour renseigner directement et

pleinement le lecteur, soit pour le mettre sur la piste de renseignements.

La documentation réunie est exclusivement française. On n'a pas manqué

de rechercher celle que pourrait fournir la production étrangère : anglaise,

américaine, italienne, allemande. Sauf de rares exceptions, elle ne consiste

guère qu'en articles de revues, sans originalité, écrits d'après les documents

de seconde main fournis par la presse française. Mais on a cru devoir faire

place aux publications allemandes relatives aux départements français

occu-pés. D'autre part, on a relevé les témoignages directs d'étrangers venus

en France pendant la durée des hostilités, ceux des correspondants de guerre.

(19)

pas rendre un mince service même quand il s'agit d'une activité d'érudit.

Le cadre de classement des matières donné en tête de l'ouvrage offre à cet

égard une grande facilité de consultation et de recherches.

Voilà au juste et dans quelle limite on peut dire que la présente

biblio-graphie est « critique » : elle l'est par l'ordonnance et le groupement

métho-diques des matériaux. Mais elle ne l'est pas quant à leur choix : il n'ya pas de

choix. Cette bibliographie n'est donc pas critique au sens ordinaire du mot.

Dans une aussi considérable quantité de titres d'ouvrages et d'articles, tous

n'ont pas la même valeur, soit que les écrivains soient inégaux en mérite ou

en autorité, soit que les auteurs, ne se proposant qu'un but de vulgarisation,

n'aient pas fait de recherches personnelles et originales, soit à cause dû

caractère non scientifique du périodique. Fallait-il entreprendre dans cette

masse une tâche de discrimination, pour conserver le bon, éliminer le reste ?

On a écarté un pareil projet pour deux motifs. L'un est que la grande variété

et le grand nombre des matières eussent exigé un bibliographe à compétences

multiples : autrement, c'était risquer d'omettre des travaux où un

spécia-liste trouverait intérêt, pourrait utilement récolter des informations de détail,

des observations ingénieuses, d'heureuses suggestions. L'autre motif est que

le dépouillement critique d'un si volumineux matériel, même s'il n'eût pas

excédé les forces d'un seul auteur, aurait requis la lecture attentive de

plu-sieurs milliers de livres et d'articles, donc allongé une tâche déjà longue et

ralenti l'effort : d'où impossibilité d'aboutir dans le délai assigné, lequel n'en

a pas moins, d'ailleurs, été sensiblement dépassé. S'il fallait une excuse de

plus, on ferait remarquer que toutes les bibliographies ne sont pas critiques,

sans être pour cela inutiles. Les historiens le savent bien. N'est-ce rien que dé

présenter aux travailleurs d'abondants matériaux dans un ordre rationnel, de

les leur amener méthodiquement à pied d'œuvre, en ne leur laissant que le

soin d'apprécier la qualité de chacun d'eux et de rejeter ceux dont l'aloi leur

paraît douteux ?

Le cadre de classement des documents répertoriés a été établi a

poste-riori. En matière de bibliographie, c'est, il est vrai, un usage ancien de

(20)

Ceux qui, résultant étroitement de conjonctures passagères, comportèrent

des mesures destinées à liquider une situation créée antérieurement à la

guerre et qu'elle est venue soudain compliquer, à traverser la période

d'influence directe des nouvelles circonstances et à attendre (en la préparant)

une période plus stable : tel est, par exemple, le cas des moratoires en

matière de loyers, échéances, etc., de contrats civils ou commerciaux

conclus avant guerre ;

Ceux qui, correspondant à des actes légaux d'hostilité, comportèrent

des mesures soit contre la personne des sujets et ressortissants des puissances

ennemies, soit contre leurs biens, c'est-à-dire de véritables mesures de

guerre.

Parmi ces mesures, mais dans un sens différent, doit être également

ran-gée la réglementation générale du ravitaillement et de l'alimentation (lutte

contre la vie chère, restrictions, taxation, réquisitions, entraves légales à la

liberté industrielle, agricole et commerciale).

Mentionnons aussi les fabrications spécialement destinées à la guerre et

les inventions intéressant la Défense nationale.

Ce n'est pas à dire que, la guerre finie en 1918 et la paix signée en 1919,

les circonstances aient complètement cessé d'exercer leur influence et que

les mesures aient été rapportées purement et simplement. Dans bien des

domaines, ni le régime d'avant-guerre n'est encore rétabli, ni un régime

nouveau devant créer un état définitif encore établi, par exemple en matière

de loyers. Mais on sent que le régime actuel de transition, avec ce qu'il

com-porte d'incertitude provisoire, n'aura qu'une durée limitée.

Signalons, d'ailleurs, particulièrement que la XI

e

partie du cadre de

classement s'apparente par la nature des choses aux rubriques de la

pre-mière partie : c'est celle qui s'applique aux départements occupés par

l'en-nemi et au territoire englobé aujourd'hui sous le nom de régions libérées :

leur reconstitution et la réparation des dommages sont bien nettement

des effets de la guerre.

En même temps que je m'excuse des dimensions du présent travail, je

tiens à remplir un devoir. La tâche n'a été possible pour moi que grâce

à la compétente collaboration de M. Boutillier du Bétail,

archiviste-paléo-graphe, actuellement bibliothécaire du Ministère du Commerce, qui a bien

voulu se charger de recherches et de dépouillements dans des bibliothèques

peu accessibles au public, ainsi que de l'ingrate besogne de la revision des

fiches et de la correction des épreuves. Il est juste que le public connaisse

sa très active participation, dont je lui exprime ma profonde gratitude.

Camille

B L O C H .

Indications Typographiques

Chaque article porte un numéro particulier. Mais un numéro unique a été donné, pour un même sujet, à l'ensemble des rapports parlementaires, de ceux du Conseil général de la Seine et du Conseil municipal de

Paris.

(21)

T A B L E A U

des Revues dépouillées et des abréviations sous lesquelles elles sont citées.

Acad. Agr. Fr Académie d'Agriculture de France. Séances

et travaux.

Acad. Se. mor Séances et travaux de l'Académie des

Scien-ces morales et politiques.

Art. nat Action nationale. Afrique française.

A gron. col Agronomie coloniale. Annales du Musée colonial de Marseille.

Ann. Chambre Archives parlementaires. Annales de la

Chambre des Députés. Documents.

Ann. Dr. comm Annales de Droit commercial.

Ann. Eaux et Forêts Ministère de l'Agriculture. Direction des

Eaux et Forêts. Annales.

Ann. Energ Annales de l'Energie,

Ann. Falsif Annales des Falsifications et des fraudes. Ann. Oeogr Annales de Géographie,

Ann. Hyg. publ Annales d'Hygiène publique et de

méde-cine légale.

Ann. Mines Annales des Mines.

Ann. Pts. et Ch. Mém. et doc Annales des Ponts-et Chaussées. Mémoires

et documents.

Ann. Beg. dtr Annales de la Régie directe. Ann. t>c. agron Annales de la Science agronomique. Ann. benat Archives parlementaires. Annales du Sénat.

Documents.

Annuaire et Mém. du Comité d'Etudes Ms- Annuaire et Mémoires du Comité d'Etudes tor. et scient, de VA. 0. F historiques et scientifiques de l'Afrique

occidentale française.

Arch. Gr. Guerre Archives de la Grande Guerre. Avenir.

Bull Acad. Méd Bulletin de l'Académie de Médecine. Bull Ag. gen. Col Bulletin de l'Agence générale des Colonies. Bull. Assoc. fr. p. ledév. des Trav. publ Bulletin de l'Association française pour le

_ „ développement des travaux publics.

Bull. Ch. Comm. Marseille Bulletin de la Chambre de Commerce de

„ _ Marseille.

Bull. Ch. Comm. Paris Bulletin de la Chambre de Commerce de

Paris.

Bull Corn. Michelet Bulletin du Comité Michelet.

Bull, delàRéunion des Etudes algériennes.... Bulletin de la Réunion des Etudes

algé-• riennes.

Bull delà Soc. linéenne de Normandie Bulletin de la Société linéenne de Normandie. Bull de la Soc. géologique de France Bulletin de la Société géologique de France. Bull, du Comité d'Etudes histor. et scient, de Bulletin du Comité d'Etudes historiques l A. 0. F 0t scientifiques de l'Afrique occidentale

française.

Bull du Comité de l'Af. fr Bulletin du Comité de l'Afrique française. Bull econ. Indoch Bulletin économique d'Indochine. Bull econ. Madag Bulletin économique de Madagascar. Bull. Fed. Ind. et comm Bulletin de la Fédération des Industriels

et des commerçants français.

Bull. hebd. namg Bulletin hebdomadaire de la Navigation et

des Ports.

y " ' Bulletin des Inventions.

(22)

Bull. mens. Inst. éton. et soc Bulletin mensuel des Institutions

écono-miques et sociales (Institut international d'Agriculture de Rome).

Bull. mens. O f f . Sent, agr Bulletin mensuel de l'Office des

renseigne-ments agricoles.

Bull. Min. Trav Bulletin du Ministère du Travail. Bull. Ojf. col Bulletin de l'Office colonial.

Bull. Off. iniern. Hyg. publ Bulletin de l'Office international d'Hygiène

publique.

Bull. mens. Sens, agrlc Bulletin mensuel de l'Office des

Rensei-gnements agricoles.

Bull. Se. phartn Bulletin des Sciences pharmacologiques. Bull. Soc. des Ingénieurs coloniaux Bulletin de la Société des Ingénieurs

colo-niaux.

Bull. Soc. Encour Bulletin de la Société d'Encouragement.

pour l'Industrie nationale.

Bull. Soc. Et. lég Bulletin de la Société d'Etudes

législa-tives.

Bull. Soc. Etudes indoch Bulletin de la Société des Etudes

indochi-noises.

Bull. Soc. Géogr. Alger Bulletin de la Société de Géographie

d'Al-ger.

Bull. Soc. Géogr. comm Bulletin de la Société de Géographie

com-merciale de Paris.

Bull. Soc. Géogr. comm. du Havre Bulletin de la Société de Géographie

com-merciale du Havre.

Bull. Soc. Géogr. Lille Bulletin de la Société de Géographie de

Lille.

Bull. Soc. Géogr. Maroc Bulletin de la Société de Géographie du

Maroc.

Bull. Soc. Géogr. Oran Bulletin de la Société de Géographie d'Oran. Bull. Soc. ind. Est Bulletin de la Société industrielle de l'Est. Bull. Soc. Ind. min Bulletin de la Société de l'Industrie

miné-rale.

Bull. Soc. ind.. Mulhouse Bulletin de la Société industrielle de

Mulhouse.

Bull. Soc. ind. Rouen Bulletin de la Société industrielle de Rouen. Bull. Soc. Ing. civ. (Mém.) Bulletin de la Société des Ingénieurs civils

(Mémoires).

Bull. Soc. languedocienne de géogr Bulletin de la Société languedocienne de

Géographie.

Bull. Soc. Lég. comp Bulletin de la Société de Législation

compa-rée.

Bull. Stat. gén. Fr Bulletin de la Statistique générale de la

France.

Bull. Stat. et Lég. comp Bulletin de Statistique . et de Législation

comparées.

Bull. Synd. Mécan Bulletin du Syndicat des Mécaniciens,

chaudronniers et fondeurs de France.

Cah. Dr. Homme Cahiers des Droits de l'Homme. Ch. Comm. Marseille. C. R. des travaux

néces-sités par la guerre Chambre de Commerce de Marseille.

Cornp-te-rendu des travaux nécessités par la guerre.

Chim. et Ind Chimie et Industrie. Christ soc Christianisme social. Chron. soc. Fr Chronique sociale de France. Col. et Mar Colonies et Marine.

Com. cons. Acl. écon. XVe Rég. Rapp. et doc. Comité consultatif d'Action économique

de la XVe Région. Rapports et documents

Corr Correspondant. C. R. Acad. Se Comptes-rendus de l'Académie des Sciences.

C. S. Soc. Econ. pol. Lyon Comptes rendus de la Société d'Economie

politique de Lyon.

Doeum, cafhol Documentation catholique. Doss. Act. pop Dossiers de l'Action populaire. Econ. eur Economiste européen. Econ. fr Economiste français. Econ. nouv. . . Economie nouvelle. Econ. pari Economiste parlementaire. Etudes.

(23)

Exp. écon Expansion, économique. Fait de la semaine

Foi et Vie

Fr. et Monde France et Monde.

Gén. civ Génie civil.

Géogr Géographie. Or. Rev Grande Revue.

Houille bl Houilb blanche. Ind. ehim Industrie chimique. Industrie des chemins de jer et des tramways...

Inf. ouvr Information ouvrière et sociale. Institut colonial de Marseille. Cahiers

colo-niaux Je sais tout

Journ. Dr. Intem Journal de Droit international. Journ. Econ Journal des Economistes.

Journ. Off. Journal officiel de la République Française. Journ. Soc. Stat. Paris Tournai de la Société de Statistique de Paris. Lect. p. tous Lectures pour tous.

Lois nouv Lois nouvelles. Lum. électr Lumière électrique. Marche Fr Marche de France.

Mém. Soc. In g. civ. ( Bull) Mémoires de la Société des Ingénieurs

ci-vils. Bulletin.

Merc. Fr Mercure de France. Monde écon Monde économique. Monde lut Monde latin. Monde nouv Monde nouveau.

Mus. Soc. Mém. et. doc Musée social. Mémoires et documents.

Nat Nature.

Nouv. Rev Nouvelle Revue. Oc. fr Océanie française.

Op Opinion.

Pari, et Op Le Parlement et l'Opinion.. Producteur

Progr. civ Progrès civique.

P. [. Soc. Ing. civ Procès-verbaux de la Société des Ingénieurs

civils.

Rapp. au Cons. gén. de la Seine Rapports au Conseil général de la Seine. Rapp^ au Cons. mun. de Paris Rapports au Conseil municipal de Paris Réf. écon Réforme économique.

Réf. soc Réforme sociale.

Ren. pol Renaissance politique et littéraire.

Rens. col. et doc. du Comité de l'Afr. fr Renseignements coloniaux et documents

du Comité de l'Afrique française.

Rev. AU. fr Revue de l'Alliance française. Rev. bleue Revue bleue.

Rev. cath. Inst RevuecatholiquedesInstitutionBetdudroit. Rev. d'Hist. natur. appliquée Revue d'Histoire naturellle appliquée.

Rev. de Botanique appliquée Revue de Botanique appliquée. ' Rev. des Eaux et Forêts Revue des Eaux et Forêts.

Rev. D.-M Revue des Deux-Mondes.

Rev. Dr. intem Revue de Droit international et de

Légis-lation comparée.

Rev. Dr. intem. pr Revue de Droit international privé. Rev. Dr. publ Revue du Droit publie et de la Science

pi litique.

Rev. du Mois Revue du Mois.

Rev. écon. fr Revue économique française. Rev. écon. intem Revie économique internationale. Rev. Econ. pol Revue d'Economie politique. Rev. électr. Revue électrique.

Rev, Etabl. Bienf Revue des Etablissements de bienfaisance. Rev. Fr Revue de Franc 5.

Rev. gén. Admin Rîvue générale d'Adminisiraticn.. Rev. gén. Dr Revue générale de Drcit.

Rev. gén. Dr. intem. publ Revue "générale de Droit international

public.

Rev. gén. Electr Revue générale d'Electricité.

Rev. gén. Se Revue générale des Sciences pures et

appliquées.

(24)

Rev. hebd Revue hedmoraadaire.

Rev. Hyg Revue d'Hygiène et de police sanitaire. Rev. indigène Revue indigène.

Rev. indoch Revue indochinoiee. Rev. Ing Revue de l'Ingénieur.

Rev. intem. Comm Revue internationale du Commerce, de

l'Industrie et de la Banque.

Rev. intem. Sociol Revue internationale de Sociologie. Rev. intem. Trav Revue internationale du Travail. Rev. Jeunes Revue des Jeunes.

Rev. Mar. march Revue de la Marine marchande. Rev, maritime Revue maritims.

Rev. Métall Revue de Métallurgie. Rev. mond Revue mondiale.

Rev. Nat. lat Revue des Nations latines. Rev. Paris Revue de Paris.

Rev. phil Revue philanthropique. Rev. pol. et pari. Revue politique et parlementaire. Rev. prat. Jîyg. mun Revue pratique d'Hygiène municipale Rev. Prév. et Mut Revue de la Prévoyance et de la- Mutualité, Rev. Quest. col Revue des Questions coloniales et

mariti-mes.

Rev. Se. et Lég. fin Revue de Science et de Législation

finan-cières.

Rev. Se. pol Revue des Sciences politiques. Rev. scient Revue scientifique (Revue rose). Rev. Trav Revue du Travail.

Rev. trim. Dr. civ Revue trimestrielle du Droit civil. Rev. tunisienne Revue tunisienne.

Rev. univ Revue universelle. Rev. universitaire , Revue universitaire. Revue.

Se. et Vie Science et Vie. Scientia.

Soc. Econ pol. Lyon. C. R Société d'Economie politique de Lyon.

Comptes rendus.

Techn. mod Technique moderne.

Trav, Inst. Géogr. alpin Travaux de l'Institut de Géographie alpin. Vie agric. Vie agricole et rmale.

Vie des Peuples

(25)

CADRE D E CLASSEMENT D E S MATIÈRES

Pages PREMIÈRE PARTIE LÉGISLATION DE LA GUERRE

I. Législation générale. — A) Textes

législatifs et réglementaires ; tra-vaux parlementaires ; jurispru

rlence 1

B) Périodiques 3 C) Commentaires généraux sur la

législation de guerre 4

II. Les contrats et la guerre. —

A) Généralités 5 B) Marchés à livrer. — C) Les

me-sures moratoires (Loyers,

pro-priété commerciale, baux ruraux, échéances commerciales,

assu-rances, brevets d'invention)... 0

III. Mesures concernant les sujets ennemis et les étrangers. —

A) Les sujets ennemis en France.. 17 B) La protection des intérêts

français en pays ennemis 2l

C) Le statut des étrangers en

France 22

IV. Les réquisitions. — A)

Générali-tés. 24

B) Réquisitions militaires. Réqui-sition des hôtels. — C)

Réquisi-sitions civiles en général. — D) Réquisition des produits agrico-les (bétail, chevaux, fourrages,

laines, vins) 26 E) Réquisition des cuirs. — F)

Mo-bilisation industrielle

(Réquisi-tion des usines et de la main-d'œuvre industrielle). — G)

Ré-quisition des chemins de fer. —

H) Réquisition de la flotte

commerciale 27

V. Le ravitaillement de la population

civile. — A) Denrées alimentaires. — a) Généralités. L'organisation

du marché de Paris 30 Le ravitaillement

départe-mental 31

b) Céréales et farines 32

Le ravitaillement des dépar-tements en céréales, affaire des moulins de Corbeil ; c)

Viande 33

Organisation du marché de la viande à Paris. Le troupeau de bétail du camp retranché de

Paris 34

Pages L'approvisionnement en vian-de dans les départements. —

d) Poisson

Ravitaillement du marché de Paris en poisson ; e) Légumes ; /) Lait. Approvisionnement de Paris. Approvisionnement de la province

g) Sacre ; h) Vins ; i) Denrées

coloniales. — B) Ravitaille-ment en combustibles. — a) Gé-néralités Approvisionnement de Paris, des départements' b) Utilisation rationnelle et

économie de combustible; mar-mite norvégienne

Économies d'éclairage. — c) Combustibles inférieurs.

Com-bustibles pulvérisés 43 Production du coke ; d) Les

combustibles de remplacement du charbon (tourbe, lignite, soiure de bois, son de bruyère, mare de raisin)

e) Les combustibles liquides

(pétrole, mazout, huiles de schis-tes, benzol, natilite

/) Utilisation des gaz... C) Ravitaillement en produits divers

— a) Chaussure nationale b) Papier c) Tabac 35 36 42 44 50 51

VI. Le problème de l'alimentation.

A) La cuisine économique et

hygié-nique. Généralités 52

B) La consommation des diverses

denrées alimentaires (produits

économiques et substituts). —

a) Viandefrigorifiée; 6) Viandes

assainies et déchets de bouche-rie ; c)Poisson; d) Légumes sau-vages ; c) Fruits ; /) Graisses ;

g) Lait écrémé et caséine ; h)

Œufs desséchés ; i) Saccharine et glucose ; j) Algues marines.. 54 C) Le pain de guerre. Les farines de

remplacement 55

D) La carence alimentaire et ses

effets 58

VII. La hausse des prix. La vie chère.

A) Le mouvement des prix, la vie

chère. — a) Généralités 59 b) Les prix et l'inflation

(26)

B) Prix particuliers de certains

pro-duits, denrées et marchandises.

— a) Denrées agricoles ; bénéfi-ces agricoles

b) Blé et céréales, pain ; c)

Viandes ; d) Lait ; e) Sucre ; /) Via ; g) Charbon ;

h) Gaz et électricité (conflits des municipalités avec les com-pagnies concessionnaires) ; i) Transports ; j) Divers

C) La lutte contre la vie chère. — a) L'initiative des consomma -teurs ; les économies

b) La coopération ; c) Mesures prises par les pouvoirs publics ; Offices d'approvisionnement, baraques Vilgrain, restaurants populaires

^ d) Rationnement, les cartes d'alimentation ; e) La taxation.

/) Mesures contre la spécu-lation illicite

g) Avance de l'heure légale. .

h) Récupération des déchets industriels Pages 64 66. 67 69 70 73 75 76

VIII. Le Ravitaillement militaire.

a) Généralités ; 6) Le pain

de munition ; c) Vin ; d) Di-vers : viande, conserves, légu-mes, café ; e) Le ravitaillement en pain des prisonniers de guerre français en Allemagne. . 78

/) L'habillement ; g) Coo-pératives et magasins militaires. 79

I X . Inventions intéressant la défense nationale.

a) Généralités 80 b) La guerre des gaz ; c) Le

re-pérage par le son 81

X. Usines et fabrications de guerre. Stoks de guerre. — A) Le

ré-gime des fabrications de guerre. 82 B) Usines et matériel de

guerre ; a) Généralités 83

b) Affaire de l'arsenal de

Roanne 84 c) La démobilisation

indus-trielle ; d) La liquidation des

stocks de guerre 85 IIe PARTIE

LA VIE ÉCONOMIQUE PENDANT LA GUERRE I. Généralités. — A) Les éléments

généraux de la richesse française. 87

B) La vie économique de la

France depuis la déclaration

de guerre (1914-1921) 88

C) La reprise des affaires en

1914-1915. 92 D) L'activité parlementaire,

gouver-nementale et administrative

pen-dant la. guerre. •— a) Généralités. 93 b) L'intervention de l'Etat

dans l'activité économique ; l'étatisme, la bureauoratie.... 94 E) La crise économique de 1921... 96

III<= PARTIE Page*

LA PRODUCTION NATIONALE

I. Généralités 97

II. L'Agriculture. — Production et organisation agricoles. A)

Gé-néralités 1Q0

B) L'effort agricole de la France

pendant la guerre (1914-1918).

— a) Généralités 103 b) La mise en culture des

terres abandonnées 105 C) La reconstitution agricole. —

a) Généi alités 107

6) Le retour à la terre 109 D) Les associations agricoles. —

a) Généralités ; Sociétés et

syn-dicats agricoles ..

no-b) Les syndicats de culture

mécanique xil c) Les syndicats viticoles.; d)

Mutualité et coopération

agri-coles 112

e) Les chambres

d'agricul-tur3. — E) Le crédit agricole

et foncier 114.

F) La propriété rurale. — a) La valeur de la propriété rurale ;

b) La répartition ; la question

du cadastre n o c) Le développement de la

petite propriété rurale ; le bien de famille ; la propriété rurale aux anciens combattants et aux victimes de la guerre ; d) Le remembrement de la

pro-priété rurale 117 e) Le régime des fermages.. 119

G) Les méthodes et le matériel de

culture. — a) Généralités 120 b) La préparation du sol ; c)

L'électricité et l'agriculture;

la houille blanche 121

d) Modèles et types

d'exploi-tations agricoles 122

e) Les engrais 123

/) Matériel agricole et

moto-culture ]25

g) Constructions rurales 128

h) Protection des oiseaux ; destruction des insectes

nuisi-bles 129 H) La main-d'œuvre agricole. —

a) Généralités 130 b) La main-d'œuvre

mili-taire ; c) La main-d'œuvre

fémi-nine 131

d) La main-d'œuvre

sco-laire ; e) La main-d'œvvre

coloniale et étrangère 132 /) L'emploi des prisonniers

de guerre ; g) Rééducation agricole des mutilés

I. La condition des ouvriers

agri-coles. •— a) Généralités 133 b) Les salaires des ouvriers

agricoles ; participation de l'ou-vrier aux bénéfices agricoles ;

(27)

III

IV

Pages

d) Les accidents du travail dans l'agriculture. — J)

L'ensei-gnement agricole. — a)

Géné-ralités 135

b) Monographies

d'établisse-__ ments d'enseignement agricole. 136 K) Les établissements de recherches

scientifiques agricoles. — a)

Gé-néralités 136

b) Monographies 137

L) Les cultures. — a) Céréales. .. 138

b) Blés et fourrages ; c)

Plan-tes industrielles (betteraves, pommes de terre, houblon,

plantes textiles) 139

d) Cultures diverses 141 e) Culture maraîchère,

hor-ticulture et arborieulture.

Jar-dins de guerre. Légumes 142 Arboriculture fruitière. Culture

du noyer 143 Culture des primeurs.

Horti-culture. Plantes médicinales et

à essences 144 /) Production des semences ;

g) Viticulture, cidrerie

(produc-tion et commerce des vins,

alcools, cidres et poirés) 147 h) Oléiculture et production

des huiles diverses 149 M) L'élevage. — a) Généralités.. 150

b) Le cheptel de guerre et

d'après-guerre 151 c) Chevaux, ânes et mulets.. 153

d) Bovidés ; e) moutons et

chèvres 154 /) Porcs ; g) Basse-cour ; h)

Alimentation de remplacement

des animaux domestiques 155

i) La production laitière... . 156 j) L'exportation du bétail. —

N) La sériciculture. —- 0) La

pisciculture. — P) La sylvicul-ture. -— Q) Le commerce des produits agricoles. —• a) La

protection des appellations d'origine ; b) L'exportation

des produits agricoles 161 R) Les bénéfices agricoles 162

La production maritime. — A) Généralités. — B) La pêche

ma-ritime 163

C) La récolte du goémon 166

L'industrie. —- A) Le commerce

et l'industrie pendant et après la

guerre : Généralités 167

B) La législation industrielle et

commerciale. — a) Généralités.. 172 b) Les sociétés industrielles

et commet ciales ; les consortiums et ententes industrielles. Régi-me des sociétés : généralités... 173

_ Les bilans. Régime des

socié-tés étrangères en France 175 Les consortiums et

enten-tes industrielles 176 c) La protection de la

pro-priété industrielle et commer-ciale. de la propriété intellec-tuelle. Généralités ; brevets

d'invention 178

Protection des marques de fabrique et d? commerce (mar-ques collectives et syndicales ;

marques d'origine) 180

f Protection des appellations

d'origine. La protection de la propriété intellectuelle et

artis-tique 182

d) La répression des fraudes. 183

e) Le crédit commercial et

industriel 184 Crédit au petit commerce et

à la petite industrie, f ) Poids

et mesures 185

g) Les projets de réforme du

calendrier 186 C) L'organisation du travail

indus-triel et commercial. •— a)

Généra-lités , b) L'organisation

adminis-trative des entreprises 188 Le .< fayolisme ». Le chef

d'en-treprise 189 c) L'organisation des usines. . 190

d) Le système Taylor (orga-nisation rationnelle et physio-logie de la main-d'œuvre). . . . 191

e) Le standardisation 193

i) L'organisation

commer-ciale 194 La publicité ; g) Les rapports

de la science et de l'industrie. . 195 Les laboratoires et la

recher-che scientifique 196 La documentation technique.

et industrielle 198 D) Mines et métallurgie. •— a)

Gé-néralités 199

b) Les industries minières. . . 201

Législation minière

(Réfor-me de la loi de 1810) 202 Les houillères 203 Les mines de fer. les

car-rières. Le sél ; c) Les

indus-tries métallurgiques 204 La politique du Comité des

Forges 206 Etablissements métallur

-giques divers ; Monographies.

L'electro-métallurgie 207

d) Le fer et la métallurgie en

Lorraine. La question de Briey. 208

e) Bassins houillers et

mé-talluigiques divers 210 /) Métallurgies diverses.

Alu-minium et bauxite, ; Anti-moine ; Cuivre : Etain et

fer-blanc 213 Mercure : Nickel ; Or ;

Pla-tine ; Plomb ; Soufre 214 Zinc : Métaux spéciaux — E)

Les industries mécaniques. —

a) Généralités 215

b) Industrie automobile et

cycles 217 Chars d'assaut (emplois de

guerre et de paix) ; c) L'a-viation de guerre et de trans-port ; d) Machines agricoles ;

e) machines diverses

(machines-outils ; matériel de minoterie ; machines d'imprimerie ;

(28)

F) Les industries électriques.

-a) Généralités 219

b) Production et distribution

d'énergie électrique 220 Législation, c) La

construc-tion du matériel électrique. . . . 221

G), La, construction métallurgique. —• a) Généralités ; b) La

cons-truction du matériel de che-mins de fer et de tramways : c) Les constructions maritimes. H) Les industries textiles. —

a) Généralités 222

b) Laines 223

c) Soies et soieries 224

d) Cotons 225 e) Lin» chanvre, jute et

ra-mie ; /) Amiante ;. g) Papier et textiles ; h) Industries secondaires de transformation des textiles. Confection, mode

et lingerie 226 Bonneterie ; Dentelles et

passementerie ; Chapellerie ; Parapluies et ombrelles ; Fleurs et plumes ; i) Blanchiment, tein-ture et impression. — I. Les

industries du bois et du liège. — a) Généralités et divers

(ton-nellerie, bois plaqué, rotin).... 227

b). Le meuble. — J. Les indus-tries du papier. — a)

Généra-lités : b) Le papier 228 c) Le livre 229

d) Le journal ; e) Papier

peint. — K) Les industries

chimiques. — a) Généralités.. . 231

L'électro-chimie ; Les indus-tries régionales ; L'organiea-tion de l'industrie chimique ;

L'enseignement chimique 234 6) Engrais.; c) Produits de la distillation de la houille ; d) Matières colorantes 235 e) Produits pharmaceu-tiques 237 /) Parfums ; g) Poudres et

ex-plosifs ; k) Gaz asphyxiants ; i) Industries spéciales di-verses ;, acide suifurique ;

ammo-niaque 239 Azote ; carbure de calcium

cyanamide ealeiqiie ; j)

L'in-dustrie gazière 240 h) Carbonisation et

distil-lation des bois (production des gaz d'éclairage et de divers sous-produits) ; l) Couleurs et vernis ;

laques ; encres et cirages 241

m) Celluloïd ; n) Allumettes.

— L. Les industries de la terre. —a) Généralités ; b) Chaux et ciments ; briques et. tuiles ; c)

Céramique et verrerie 242 M) Produits résineux et gommes. —

a) Généralités 243

b) Résines ; c) Caoutchouc... 244 N) Matières grasses. -— a)

Généra-lités ; 6) Huiles minérales ; c) Huiles végétales ; d) Savonne-nerie et stéariSavonne-nerie ; e)

Tour-teaux 245

Page, O). Alcool. — a) Généralités ; b)

Alcools de remplacement 246 P) Industries alimentaires. — a)

Généralités ; b) Meunerie et boulangerie ; L'industrie des

pâtes alimentaires. 247 c) Les industries laitières....

d) L'industrie sucrière 249 L'industrie des édulcorants

(Saccharine) ; La confiserie ; /) L'industrie des boissons ; g) Industrie des conserves de

lé-gumes 250 Conserves de viandes et de

poissons 251

h). Les industries frigorifiques. 252 i) L'organisation industrielle

des abattoirs ; Les abattoirs de

de la Villette 253 j) Les industries de la fécule

et de l'amidon ; k) L'industrie du sel ; l) Industries alimen-taires diverses. — Q). Cuirs et

peaux. — a) Généralités ; La

chaussure 254 b) Pelleterie ; c) Ganterie. —

R) Les industries du bâtiment.

— a.) Bâtiment 255 b) Chauffage et éclairage.... 256

S) Les industries hôtelière et

tou-ristique. — a) Le tourisme.

Gé-néralités 257 b) L'industrie hôtelière 258

c) L'industrie thermale. — T) Les industries physiques. —

a) Généralités 259 b) Appareils, de précision

c) Optique. — U) Industries

diverses. — a) Jouets,

bimbelo-terie, articles de Paris ' 260 6) Quincaillerie ; coutellerie ; c) Appareils et matériel photo-graphiques ; d) Armurerie ; e) Horlogerie, orfèvrerie, bijouterie

et joaillerie 261 /) Matériel scolaire,

chirur-gical et sanitaire. — V.

Indus-tries d'art. — a} Généralités.... 262 b) Mobilier ; c) Tapisserie.. . 263 d) Bronzes d'art ; e)

Instru-ments de musique ; f )

L'indus-trie cinématographique 264

IV® PARTIE L'OUTILLAGE NATIONAL A) Outillage national et travaux

publics. Généralités 265

B) Utilisation des farces naturelles.

— a) Généralités 267

b) La houille blanche 268

Loi du 16 octobre 1919 sur l'utilisation de l'énergie hydrau-lique

Etudes régionales 272 c) La houille bleue

(utilisa-tion de la force des marées),

d) La houille verte 275

C) Voies et moyens de transport. —

a) Généralités 276

(29)

Pages c) Etudes locales. — D) Les

mutes. — a) Généralités 278

6) Les routes militaires ; c) La réglementation de la circulation

sur route 279 E) Les chemins de fer.—a)

Généra-lités 280

b) Les chemins de fer

pen-dant la guerre 281 La réquisition des chemins

de f e r . . . 282 Les chemins de fer de

campa-gne ; c) Les chemins de fer après la guerre ; réforme de leur

ré-gime d'exploitation 283

d) Questions financières ;

relè-vement des tarifs 286

e) Questions administratives

et juridiques;Responsabilité des compagnies de chemins de fer., 288

/) Questions techniques ; Les mesures de sécurité contre les

accidents 290 L'électrification 291

g) Lignes secondaires et

d'in-térêt local ; tramways 292 E) h) Les grands travaux

ferro-viaires. — a) Le tunnel sous la

Manche 293 b) La traversée des Vosges. . 294

c) La traversée des Alpes ;

d) Les lignes Suisse-Océan et

Bordeaux-Odessa (ligne du 45°

parallèle 295

e f ) La transversale

Londres-Dakar (ligne Paris-Le Havre, Transpyrénéens, Tunnel de

Gibraltar) 296

<3) Le.s transports automobiles. —

H) La Marine marchande. — a)

Généralités 297

b) Agences et services

mari-times ; c) La guerre sous-ma-rine ; d) La hausse des frets... 304

e) Les constructions navales. 305 Les bâtiments en ciment ar-mé. Le paquebot « Paris » ; /)

La marine militaire 306 Les arsenaux ; g) Le

person-nel de la marine ; Enseigne-ment et carrières maritimes ; Inscription maritime et enga-gement des gens de mer ; Le ré-gime du travail à la mer (Lé-gislation du travail, hygiène,

placement) 307 h) Droit maritime ; Primes

et crédit maritime 308 Responsabilité des

compa-gnies de transports maritimes ; Courtage maritime ; Législa-tion des épaves. — I. Les ports

•maritimes. — a) Généralités.. 309 b) Le régime des port3 311

L'autonomie des ports de com-merce ; c) Ports de la mer du

Nord et de la Manche 312

d) Ports de l'Océan 315

e) Ports de la Méditerranée. 318 J . La navigation intérieure. —

a) Généralités ; voies et ports

fluviaux 321

b) Monographies 324

Bassin de la Seine

(appro-fondissement de la Seine) 328 Paris port de mer 329 Bassin du Nord ; c) Canaux ;

Généralités ; Matériel de halage; Canaux de l'Allier ; Canaux des Alpines (Bouches-du-Rhô-ne) ; Canal de Berry ; Canal de Craponne (Bouches-du-Rhône); Canal de Forez (Loire) ; Canal

de la Bourne 330 Canal de Lagoin

(Basses-Py-rénées). ; Canal de la Loire à la Manche ; Canal de la Loire au Rhône ; Canal de la Marne au Rhin ; Canal du Midi ; Canal du Nivernais ; Canaux du Nord et du Nord-Est ; Canal de Paris à

Dieppe 331 Canal du Rhône au Rhin;

Canal de l'Isère au Rhône ; Canal de Marseille au Rhône ; Canal de Montbéliard à la Hau-te-Saône ; Canal de Roanne à Saint-Etienne ; Canal de la Somme ; Canal de Tanoarville ; Canal de la Vallée des Baux (Bouches-du-Rhône) ; Canal de Verdon (Bouches - du - Rhône). K) Aviation. — a) Aviation de guerre et de transport.

Généralités 332

b) Aviation maritime ; c)

Di-rigeables ; d) Photographie

aérienne 336

e) Le régime juridique de la

navigation aérienne. — L.

Pos-tes, télégraphes et téléphones. —

a) Généralités 337 6) Poste militaire ; c) Régime

international des P. T. T. ; d) Télégraphie sans fil ; télégraphie

par le sol 339

e) Poste aérienne... 340

V PARTIE LE COMMERCE A) Généralités. — B.

Législa-tion et organisaLégisla-tion commer-ciales. — a) Le ministère du

commerce ; b) Les tribunaux de commerce; c) Le registre du

commerce 342 d) La liberté commerciale.

C) Le commerce extérieur. — a)

Généralités 343

b) Les organismes français

d'expansion économique 348 Offices commerciaux français

à l'étranger 349 Les consulats et leur réforme.. 350

c) Le personnel commercial à

l'étranger ; sa formation, d) Le

crédit à l'exportation 3.51

e) L'exportation des

pro-duits agricoles ; /) L'exporta-tion des produits industriels ;

g) Le commerce extérieur et les

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