UNIVERSITÀ DEGLI STUDI DI UDINE
Corso di Dottorato di Ricerca
in
Scienze linguistiche e letterarie
(XXV ciclo)
TESI DI DOTTORATO DI RICERCA
La forme et l’usage des parémies.
Classification lexico-grammaticale, modélisation de grammaires locales
et étude de fréquence
Annexes
Tutor
Dottorando
Prof. Sergio Cappello
Mario Marcon
Prof.ssa Mirella Loredana Conenna
Table des matières
Annexe 1
C
ORPUS PAREMIQUE... 1
Annexe 2
M
ISE A JOUR DE LA LISTE DES PAREMIES DED
ICA
UP
RO(
JUILLET2010
–
AOUT2013)
... 37
Annexe 3
C
ONVERSION DES JEUX D’
ETIQUETTES(T
REET
AGGER,
C
LASSIFICATION,
D
ELA) ... 45
Annexe 4
D
ESCRIPTION LEXICO-
GRAMMATICALE.
C
ORPUS PAREMIQUE ETIQUETE... 47
Annexe 5
C
LASSIFICATION LEXICO-
GRAMMATICALE.
E
NTREES SYNTAXIQUES,
ENTREES LEXICALES ET CLASSES LEXICO-
GRAMMATICALES(
NIVEAU1) ... 207
1) Entrées syntaxiques ... 207
2) Entrées lexicales... 208
3) 99 classes lexico-grammaticales (niveau 1) ... 222
Annexe 6
C
LASSIFICATION LEXICO-
GRAMMATICALE.
C
LASSES LEXICO-
GRAMMATICALES(
NIVEAUX2
ET SUIVANTS)... 227
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique ADJ ... 227
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique ADV ... 237
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique DET ... 250
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique DET:ART ... 251
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique KON ... 273
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique NAM ... 279
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique NOM ... 280
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique NUM ... 289
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique PRO:DEM ... 291
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique PRO:IND ... 296
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique PRO:PER ... 301
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique PRO:REL ... 327
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique PRP:DET ... 352
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique VER:impe ... 354
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique VER:infi ... 356
Classes lexico-grammaticales – entrée syntaxique VER:pres ... 357
1
Annexe 1
C
ORPUS PAREMIQUE1. À barbe de fou on apprend à raire
2. À barbe rousse et noirs cheveux, ne t’y fie si tu ne veux
3. À batelier et voiturier, ne s’y faut jamais fier 4. À beau jeu, beau retour
5. A beau mentir qui vient de loin
6. A beau parler qui n’a cure de bien faire 7. À bête sûre il ne faut pas de clairon 8. À bien faire, il n’y a point de reproche 9. À bon chat bon rat
10. À bon demandeur, bon refuseur 11. À bon entendeur demi-mot 12. À bon entendeur salut
13. À bon entendeur, peu de paroles 14. À bon vin bon latin
15. À bon vin point d’enseigne
16. À brebis tondue Dieu mesure le vent 17. À brusquin brusquet
18. À Carême-prenant, chacun a besoin de sa poêle
19. À chacun le sien ce n’est pas trop 20. À chacun sa vérité
21. À chacun ses goûts 22. À chacun son tour
23. À chair de loup, sauce de chien 24. À chaque fou sa marotte 25. À chaque jour suffit sa peine 26. À chaque oiseau son nid est beau 27. À chaque porc vient la Saint-Martin
28. À chaque saint sa chandelle
29. À chemin battu il ne croît point d’herbe 30. À cheval donné, il ne faut pas regarder à la
bouche
31. À cheval hargneux il faut une étable à part 32. À chevaux maigres vont les mouches 33. À chien qui mord il faut jeter des pierres 34. À cœur vaillant rien d’impossible 35. À coquin honteux plate besace 36. À donner donner, à vendre vendre 37. À dur âne, dur aiguillon
38. À dure enclume, marteau de plume 39. À femme avare, galant escroc 40. À force de mal aller tout ira bien 41. À gens de village trompette de bois 42. À grands seigneurs peu de paroles 43. À jeune cheval vieux cavalier 44. À la Chandeleur, grandes douleurs
45. À la Chandeleur, l’hiver passe ou prend vigueur
46. À la cour, auprès des grands, s’il n’y pleut, il y dégoutte
47. À la guerre comme à la guerre 48. À la Madeleine, les noix sont pleines
49. À la porte où l’on donne les miches, les gueux y vont
50. À la poule, serre-lui le poing, et elle te serrera le cul
2 52. À la queue gît le venin
53. À la Sainte-Catherine, tout bois prend racine 54. À la Sainte-Luce, les jours croissent du saut
d’une puce
55. À la Saint-Remi tous perdreaux sont perdrix 56. À la Saint-Urbain, ce qui est dans la vigne
est au vilain
57. À la tannerie tous bœufs sont vaches, et à la boucherie toutes vaches sont bœufs
58. À la Toussaint, les blés semés, les fruits serrés
59. À l’Ascension, gras mouton
60. À laver la tête d’un âne, on perd sa lessive 61. À l’heureux l’heureux
62. À l’impossible nul n’est tenu 63. À l’œuvre on connaît l’ouvrier 64. À l’ongle on connaît le lion
65. À mal enfourner, on fait les pains cornus 66. À mal exploiter bien écrire
67. À mal exploiter, point de garant 68. À malin, malin et demi
69. À mauvais chien on ne peut montrer le loup 70. À mauvais rat, mauvais chat
71. À méchant chien, court lien
72. À navire brisé tous vents sont contraires 73. À nouvelles affaires, nouveaux conseils 74. À Pâques on s’en passe, à la Pentecôte quoi
qu’il coûte
75. À parti pris point de conseil
76. À passage et à rivière, laquais devant, maître derrière
77. À père avare, fils prodigue 78. À petit manger bien boire 79. À petit présent, petit merci 80. À petit trou, petite cheville
81. À pisser contre le vent, on mouille sa chemise
82. À quelque chose malheur est bon
83. À qui se lève matin, Dieu aide et prête la main
84. À Rome, il faut vivre comme à Rome 85. À sotte demande, point de réponse 86. À toile ourdie Dieu envoie le fil 87. À tout bon compte revenir 88. À tout péché miséricorde
89. À tout perdre il n’y a qu’un coup périlleux 90. À tout seigneur tout honneur
91. À trompeur trompeur et demi
92. À une femme et à une vieille maison, il y a toujours à refaire
93. À vaillant homme courte épée 94. À ventre soûl cerises amères 95. À vieille mule frein doré
96. À vouloir trop gagner, on risque de tout perdre
97. Abondance de biens ne nuit pas 98. Adieu paniers, vendanges sont faites 99. Aide-toi, le ciel t’aidera
100. Aile de perdrix, cuisse de bécasse 101. Ami au prêter, ennemi au rendre 102. Amitié de gendre, soleil d’hiver 103. Amours qui commencent par les
anneaux finissent par les couteaux 104. Amplifier n’est pas mentir 105. Année de foin, année de rien 106. Année sèche n’appauvrit son maître 107. Août donne goût
3 115. Après nous le déluge
116. Après trois jours, sa femme, un hôte et de la pluie sont trois choses dont on s’ennuie 117. Après vêpres, complies
118. Araignée du matin, chagrin, araignée du soir, espoir
119. Argent comptant porte médecine 120. Argent fait perdre les gens 121. Argent fait rage, amour, mariage 122. Armes parlantes, toutes bonnes ou
toutes méchantes
123. Assaut de lévrier, défense de sanglier, fuite de loup
124. Assez demande qui se plaint 125. Assez jeûne qui pauvrement vit 126. Assez va qui fortune passe 127. Attente, tourments
128. Au bon joueur, la balle 129. Au bout de l’aune faut le drap 130. Au bout du fossé la culbute 131. Au bout le bout
132. Au cerf la bière, au sanglier le barbier 133. Au coucher se gagne le douaire 134. Au jour du jugement chacun sera
mercier, il portera son panier
135. Au jour du jugement, chacun sera mercier et portera son panier
136. Au long aller petit fardeau pèse 137. Au mariage et à la mort, le diable fait
son effort
138. Au mort et à l’absent, injure ni tourment
139. Au paresseux laboureur, les rats mangent le meilleur
140. Au pauvre la besace
141. Au riche ne promets rien, et au pauvre ne lui manque pas
142. Au royaume des aveugles les borgnes sont rois
143. Aussitôt meurent jeunes que vieux 144. Autant de jours d’hiver passés, autant
d’ennemis renversés
145. Autant de mariages, autant de ménages
146. Autant de pays, autant de guises 147. Autant de têtes, autant d’avis 148. Autant de trous, autant de chevilles 149. Autant dépense chiche que large 150. Autant meurt veau que vache
151. Autant pèche celui qui tient le sac que celui qui met dedans
152. Autant vaut bien battu que mal battu 153. Autant vaut celui qui tient le veau que
celui qui l’écorche
154. Autant vaut être mordu d’un chien que d’une chienne
155. Autant vaut traîné que porté 156. Autres temps, autres mœurs 157. Aux bonnes fêtes les bons coups 158. Aux derniers les bons
159. Aux échecs les fous sont les plus près des rois
160. Aux fièvres et à la goutte, les médecins ne voient goutte
161. Aux grands maux, les grands remèdes 162. Aux innocents les mains pleines 163. Aux pèlerinages des environs on
dépense beaucoup de vin et peu de cire 164. Aux tessons on connaît ce que fut le
pot
165. Avant l’heure, ce n’est pas l’heure : après l’heure, ce n’est plus l’heure
4 167. Avec le latin, le roussin et le florin, on
peut voyager par tout le monde
168. Avec le temps et la paille les nèfles mûrissent
169. Avril doux quand il s’y met, c’est le pire de tous
170. Avril pluvieux et mai venteux font l’an fertile et plantureux
171. Bacchus aime les naïades
172. Barbe bien savonnée est à moitié faite 173. Beaucoup sait le rat, mais encore plus
le chat
174. Belle fille et vieille robe trouvent souvent qui les accroche
175. Bien attaqué, bien défendu 176. Bien danse à qui la fortune chante 177. Bien dépenser et peu gagner, c’est le
chemin de l’hôpital
178. Bien faire et laisser dire
179. Bien faire vaut mieux que bien dire 180. Bien fou qui s’oublie
181. Bien mal acquis ne profite jamais 182. Bien rendant, bien venant
183. Boeuf saignant, mouton bêlant 184. Bon à tout, propre à rien 185. Bon avocat, mauvais voisin 186. Bon cavalier monte à toute main 187. Bon chien chasse de race 188. Bon droit a besoin d’aide 189. Bon jour, bonne œuvre
190. Bon marché vide le panier, mais il n’emplit pas la bourse
191. Bon sang ne peut mentir 192. Bonjour lunettes, adieu fillettes 193. Bonne est la maille qui sauve le denier 194. Bonne police est cause d’abondance
195. Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée
196. Bonne terre, mauvais chemins 197. Bouche de miel, coeur de fiel 198. Brebis comptées, le loup les mange 199. Brebis qui bêle perd sa goulée
200. Brebis trop apprivoisée, de trop d’agneaux est tétée
201. Ce n’est pas le tout que des choux, il faut encore de la graisse
202. Ce n’est pas tous les jours fête
203. Ce n’est pas tout de promettre, il faut tenir
204. Ce n’est pas tout que de vendre, il faut livrer
205. Ce que Dieu garde est bien gardé 206. Ce que femme veut, Dieu le veut 207. Ce qui compte, c’est de participer 208. Ce qui est amer à la bouche est doux
au coeur
209. Ce qui est bon à prendre est bon à rendre
210. Ce qui est différé n’est pas perdu 211. Ce qui est dit est dit
212. Ce qui est écrit est écrit 213. Ce qui est fait est fait
214. Ce qui est fait n’est pas à faire
215. Ce qui ne fut jamais ni ne sera, c’est le nid d’une souris dans l’oreille d’un chat 216. Ce qui nuit à l’un, nuit à l’autre 217. Ce qui nuit à l’un, sert à l’autre 218. Ce qui se conçoit bien s’énonce
clairement
219. Ce qui tombe dans le fossé est pour le soldat
5 221. Ce qui vient de la flûte s’en retourne
au tambour
222. Ce qui vient du diable retourne au diable
223. Ce qu’on apprend au ber dure jusqu’au ver
224. Ce sont les petites pluies qui gâtent les grands chemins
225. Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit
226. Celui qui a mangé l’oie du roi, cent ans après il en rend la plume
227. Celui qui fait la moisson en doit payer la façon
228. Celui qui fait ses affaires par procureur va en personne à l’hôpital
229. Celui qui met la nappe est toujours le plus foulé
230. Celui qui pèche fuit la lumière 231. Celui qui pèche ignore 232. Celui qui s’élève sera abaissé 233. Cent ans bannière, cent ans civière 234. Cent ans de chagrin ne payent pas un
sou de dettes
235. C’est au pied du mur qu’on voit le maçon
236. C’est aujourd’hui la Saint-Lambert, qui quitte sa place la perd
237. C’est aujourd’hui la Saint-Laurent, qui perd sa place la reprend
238. C’est dans le besoin qu’on connaît ses amis
239. C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes
240. C’est en forgeant qu’on devient forgeron
241. C’est Gros-Jean qui remontre à son curé
242. C’est la dernière goutte qui fait déborder le vase
243. C’est la manière qui compte
244. C’est la poule qui chante qui a fait l’oeuf
245. C’est la robe qu’on salue
246. C’est le bon veneur qui fait la bonne meute
247. C’est le ton qui fait la chanson
248. C’est l’hôpital qui se moque de la charité
249. C’est l’intention qui compte 250. C’est péché de calomnier le diable 251. C’est peu de se lever matin, mais c’est
tout de partir à l’heure
252. C’est toujours le paysan qui paye 253. C’est toujours les meilleurs qui s’en
vont
254. C’est un bel instrument que la langue 255. C’est un méchant métier que celui qui
fait pendre son maître
256. C’est un vilain oiseau que celui qui salit son nid
257. Ceux qui n’ont point d’affaires s’en font
258. Chacun à sa place et le bâtiment est droit
259. Chacun bride sa bête
260. Chacun chez soi, chacun pour soi 261. Chacun est artisan de sa fortune 262. Chacun porte sa croix en ce monde 263. Chacun pour soi et Dieu pour tous 264. Chacun prend son plaisir où il le
trouve
6 266. Chacun sait où le bât le blesse
267. Chacun sait ses affaires 268. Chacun sent son mal 269. Chacun son compte
270. Chacun son métier, les vaches seront bien gardées
271. Chacun vaut son prix 272. Chacun vit à sa mode
273. Chacun voit avec ses lunettes 274. Chacun voit midi à sa porte
275. Chair de mouton, manger de glouton 276. Chance vaut mieux que bien jouer 277. Changement de corbillon fait trouver
le pain bon
278. Changement de propos réjouit l’homme
279. Changement de temps, entretien de sot 280. Changement d’herbe réjouit les veaux 281. Chantez à l’âne, il vous fera des pets 282. Chaque chose a son temps
283. Chaque chose en son temps 284. Chaque grain a sa paille
285. Chaque mercier prise ses aiguilles et son panier
286. Chaque vin a sa lie
287. Charbonnier est maître chez soi 288. Charité bien ordonnée commence par
soi-même
289. Chassez le naturel, il revient au galop 290. Chat échaudé craint l’eau froide 291. Chêne de seigneur et orme de pauvre
homme
292. Cherté foisonne
293. Cheval de foin, cheval de rien ; cheval d’avoine, cheval de peine ; cheval de paille, cheval de bataille
294. Cheval faisant la peine ne mange pas l’aveine
295. Chien hargneux a toujours l’oreille déchirée
296. Chien qui aboie ne mord pas 297. Chien sur son fumier est hardi
298. Chose bien commencée est à moitié faite
299. Chose promise, chose due
300. Chou pour chou, Aubervilliers vaut bien Paris
301. Coeur content soupire souvent
302. Coeur qui soupire n’a pas ce qu’il désire
303. Comme il te fait, fais-lui
304. Comme on connaît ses saints on les honore
305. Comme on fait son lit, on se couche 306. Comme tu sèmeras, tu moissonneras 307. Comparaison n’est pas raison 308. Contentement passe richesse
309. Cordonnier, mêlez-vous de votre pantoufle
310. Cordonnier, va-nu-pieds
311. Corsaires contre corsaires font rarement leurs affaires
312. Couche-toi sans souper et tu te trouveras le matin sans dettes
313. Courte prière pénètre les cieux 314. Couteau n’apaise hérésie
315. Crédit est mort, les mauvais payeurs l’ont tué
316. Crosse de bois, évêque d’or ; crosse d’or, évêque de bois
317. Croûte de pâté vaut bien pain
7 320. Dans le doute abstiens-toi
321. Dans les petites boîtes, les bons onguents
322. De cent noyés, pas un de sauvé ; de cent pendus, pas un de perdu
323. De deux maux il faut choisir le moindre
324. De fol et d’enfant se doit-on délivrer 325. De fou juge brève sentence
326. De grand vent petite pluie 327. De grande montée, grande chute 328. De grasse matinée robe déchirée 329. De grêle n’est mauvaise année qu’aux
lieux où plus elle est tombée
330. De la discussion jaillit la lumière 331. De la maison du chat n’est jamais soûl
le rat
332. De la mesure dont nous mesurons les autres, nous serons mesurés
333. De l’abondance du coeur la bouche parle
334. De marchand à marchand il n’y a que la main
335. De mauvais grain, jamais bon pain 336. De sot homme sot songe
337. De tous métiers, il en est de pauvres et de riches
338. De toutes les douleurs on ne peut faire qu’une mort
339. De toutes tailles bons lévriers
340. Déjeuners de clercs, dîners de procureurs, collations de commères et soupers de marchands
341. Demain est un autre jour 342. Demain il fera jour
343. Des femmes et des chevaux, il n’en est point sans défauts
344. Des goûts et des couleurs il ne faut pas discuter
345. Des neiges et un bon hiver mettent bien des biens à couvert
346. Deux avis valent mieux qu’un
347. Deux patrons font chavirer la barque 348. Deux précautions valent mieux qu’une 349. Dieu donne la robe selon le froid 350. Dieu donne le boeuf, et non pas la
corne
351. Dieu ne veut pas la mort du pécheur 352. Dieu nous a tous pétris du même limon 353. Dieu regarde les mains pures plutôt
que les mains pleines 354. Dieu sur tout 355. Dieu vaut jeu
356. Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es
357. Dites toujours nenni, vous ne serez jamais marié
358. Diviser pour régner
359. Donner à Dieu n’appauvrit jamais 360. Donner à plus riche que soi, le diable
s’en moque
361. Donner c’est donner, reprendre c’est voler
362. Donner et retenir ne vaut 363. Double jeûne, double morceau 364. Du cuir d’autrui, large courroie 365. Du dérober au restituer, on gagne
trente pour cent
366. Du pavé sec et bois mouillé libera nos, domine
367. Du temps faut parler pour propos renouveler
8 369. D’une mauvaise paye on tire ce qu’on
peut
370. Ecu changé, écu mangé
371. En avril, ne te découvre pas d’un fil ; en mai, fais ce qu’il te plaît
372. En avril, n’ôte pas un fil ; en mai, fais ce qu’il te plaît
373. En bouche close jamais mouche n’entra
374. En carême est de saison la marée et le sermon
375. En ce monde tous les biens sont communs
376. En grande pauvreté, n’y a pas grande loyauté
377. En hiver, les jours n’ont point d’heures
378. En la maison du flûteur tout le monde danse
379. En mai blé et vin croît
380. En mai rosée, en mars grésil, pluie abondante au mois d’avril, le laboureur est content plus que ne feraient cent écus
381. En moisson et en vendange, il n’y a ni fête, ni dimanche
382. En tout pays il y a une lieue de mauvais chemins
383. En toute chose il faut considérer la fin 384. Entre deux maux, il faut choisir le
moindre
385. Entre la chair et la chemise, il faut cacher le bien qu’on fait
386. Entre la Toussaint et Noël ne peut trop pleuvoir ni venter
387. Entre l’arbre et l’écorce il ne faut pas mettre le doigt
388. Entre Pâques et la Pentecôte, le dessert est une croûte
389. Epands ton fumier près, et marie ta fille loin
390. Epargne de bouche vaut rente de pré 391. Erreur n’est pas compte
392. Est assez riche qui ne doit rien 393. Est bien larron qui larron dérobe 394. Est mauvais berger qui aime le loup 395. Etre et paraître sont deux
396. Etrennes d’honneur durent jusqu’à la Chandeleur
397. Expérience passe science 398. Face d’homme porte vertu 399. Fagot cherche bourrée
400. Faire et défaire, c’est toujours travailler
401. Faire et dire sont deux
402. Fais ce que dois, advienne que pourra 403. Fais ce que je dis et non ce que je fais 404. Fais ce que je dis et pas ce que je fais 405. Fais ce que tu fais
406. Familiarité engendre mépris
407. Faute avouée est à moitié pardonnée 408. Faute de grives on mange des merles 409. Faute de souliers, on va nu-pieds 410. Faut-il demander à un malade s’il veut
la santé ?
411. Faveurs, femmes et deniers font de vachers chevaliers
412. Femme de marin, femme de chagrin 413. Femme qui rit, femme au lit
414. Février le court, le pire de tous
415. Fille qui prend se vend et fille qui donne s’abandonne
9 417. Fou qui se tait passe pour sage
418. Froides mains, chaudes amours 419. Fromage, poire et pain, repas de
vilain
420. Gager sa tête à couper, c’est la gageure d’un fou
421. Gagne assez qui sort de procès
422. Garde-toi d’un Gascon ou Normand ; l’un hâble trop et l’autre ment
423. Gardez-vous de l’homme qui ne connaît qu’un livre
424. Gelée hors de saison gâte la vigne et la moisson
425. Goutte tracassée est à demi pansée 426. Goutte tracassée est à moitié guérie 427. Gouverne ta bouche selon ta bourse 428. Gouverner, c’est prévoir
429. Grain à grain la poule remplit son ventre
430. Graissez les bottes d’un vilain, il dira qu’on les lui brûle
431. Grande fortune, grande servitude 432. Grasse cuisine, maigre testament 433. Grosse tête, peu de sens
434. Guerre et pitié ne s’accordent pas ensemble
435. Hâte-toi lentement
436. Heureux au jeu, malheureux en amour 437. Hors de l’Eglise pas de salut
438. Il a beau se taire de l’écot qui rien n’en paye
439. Il ennuie à qui attend
440. Il est aisé de parler, mais il est malaisé de faire
441. Il est bien aisé d’aller à pied quand on tient son cheval par la bride
442. Il est bien âne de nature qui ne peut lire son écriture
443. Il est bon d’avoir des amis partout 444. Il est bon de parler et meilleur de se
taire
445. Il est dangereux de croire et de mécroire
446. Il est des sots de tout pays
447. Il est plus aisé à un chameau de passer par le trou d’une aiguille, qu’à un riche d’entrer dans le royaume du ciel
448. Il est plus de jours que d’années et que de bonnes destinées
449. Il est plus d’ouvriers que de maîtres 450. Il est riche, qui est content
451. Il est un temps pour s’en aller et prendre congé
452. Il fait bon battre un glorieux, il ne s’en vante pas
453. Il fait bon être maître, on est valet quand on veut
454. Il fait bon vivre et ne rien savoir 455. Il fait toujours bon tenir son cheval
par la bride
456. Il faut à vieux matou jeune et tendre souris
457. Il faut acheter son blé d’un paysan et son vin d’un bourgeois
458. Il faut aller à Pâques écurer son chaudron
459. Il faut attendre à cueillir la poire qu’elle soit mûre
460. Il faut attendre le boiteux 461. Il faut attendre le lièvre au gîte
462. Il faut avoir mauvaise bête par douceur
10 464. Il faut battre le fer pendant qu’il est
chaud
465. Il faut bien faire et laisser dire 466. Il faut bien vivre
467. Il faut casser le noyau pour en avoir l’amande
468. Il faut coudre la peau du renard à celle du lion
469. Il faut de tout pour faire un monde 470. Il faut être compagnon de sa femme et
maître de son cheval
471. Il faut être enclume ou marteau 472. Il faut être marchand ou larron 473. Il faut être pris pour être appris 474. Il faut être tout un ou tout autre 475. Il faut faire carême-prenant avec sa
femme et Pâques avec son curé
476. Il faut faire comme on fait à Paris, il faut laisser pleuvoir
477. Il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur
478. Il faut faire un pont d’or à ses ennemis 479. Il faut faire vie qui dure
480. Il faut finir par un bout
481. Il faut garder l’église au milieu du village
482. Il faut garder une poire pour la soif 483. Il faut hurler avec les loups
484. Il faut laisser couler l’eau
485. Il faut laisser courir le vent par-dessus les tuiles
486. Il faut laisser du temps au temps 487. Il faut laisser le moutier où il est 488. Il faut laisser parler le monde
489. Il faut laisser quelque chose au hasard 490. Il faut laver son linge sale en famille 491. Il faut lier le sac avant qu’il soit plein
492. Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger
493. Il faut mesurer sa soupe à sa bouche 494. Il faut payer ou agréer
495. Il faut perdre un vairon pour gagner un saumon
496. Il faut placer le clocher au milieu de la paroisse
497. Il faut prendre le bénéfice avec les charges
498. Il faut prendre le temps comme il vient 499. Il faut prendre les gens comme ils
sont, les choses comme elles viennent
500. Il faut puiser tandis que la corde est au puits
501. Il faut que chacun garde sa queue 502. Il faut que jeunesse se passe
503. Il faut que le vent soit bien mauvais pour n’être bon à personne
504. Il faut que tout le monde vive
505. Il faut qu’un menteur ait bonne mémoire
506. Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée
507. Il faut rendre à César ce qui est à César
508. Il faut saisir l’occasion aux cheveux 509. Il faut sauver le premier coup d’oeil 510. Il faut se défier de son premier
mouvement
511. Il faut se défier du vin du cru
512. Il faut se méfier de la messe du chancelier
11 516. Il faut tondre ses brebis et non pas les
écorcher
517. Il faut toujours dire du bien de M. le prieur
518. Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler
519. Il faut trois sacs à un plaideur, un sac de papier, un sac d’argent et un sac de patience
520. Il faut un homme alerte pour semer les avoines et un homme lent pour semer l’orge 521. Il faut une longue cuillère pour
manger avec le diable
522. Il faut vieillir ou mourir jeune
523. Il mourrait plutôt la vache d’un pauvre homme
524. Il mourrait plutôt un chien de berger 525. Il n’est miracle que de vieux saints 526. Il n’est pire sourd que celui qui ne
veut pas entendre
527. Il n’y a pas d’effet sans cause 528. Il n’y a pas de règle sans exception 529. Il n’y a point de héros pour son valet
de chambre
530. Il ne fait pas bon servir un maître qui serre de vieilles aiguillettes
531. Il ne fait plaisir qui ne veut
532. Il ne faut choisir ni son linge, ni sa femme à la lueur d’une bougie
533. Il ne faut jamais battre une femme, même avec une fleur
534. Il ne faut jamais défier un fou 535. Il ne faut jamais dire jamais
536. Il ne faut jamais jeter le manche après la cognée
537. Il ne faut jurer de rien
538. Il ne faut pas aller par quatre chemins
539. Il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre
540. Il ne faut pas changer de cheval au milieu de la rivière
541. Il ne faut pas chanter triomphe avant la victoire
542. Il ne faut pas chanter victoire trop tôt 543. Il ne faut pas cinq quarterons pour
faire une livre
544. Il ne faut pas clocher devant les boiteux
545. Il ne faut pas confondre "autour" avec "alentour"
546. Il ne faut pas confondre autour et alentour
547. Il ne faut pas courir deux lièvres à la fois
548. Il ne faut pas dire : Fontaine je ne boirai pas de ton eau
549. Il ne faut pas dire les nouvelles de l’école
550. Il ne faut pas enfermer le loup dans la bergerie
551. Il ne faut pas entrer dans le sanctuaire 552. Il ne faut pas être plus royaliste que le
roi
553. Il ne faut pas faire de comparaison avec plus grand que soi
554. Il ne faut pas faire le cotin avant que le veau soit né
555. Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain
556. Il ne faut pas jouer avec le feu
557. Il ne faut pas juger de l’arbre par l’écorce
12 559. Il ne faut pas laisser perdre les bonnes
coutumes
560. Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes
561. Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs
562. Il ne faut pas mettre la faucille dans la moisson d’autrui
563. Il ne faut pas mettre la lampe sous le boisseau
564. Il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier
565. Il ne faut pas mettre tout son rôt à une même broche
566. Il ne faut pas parler de corde dans la maison d’un pendu
567. Il ne faut pas parler latin devant les clercs
568. Il ne faut pas péter plus haut que le cul 569. Il ne faut pas prendre la médecine en
plusieurs verres
570. Il ne faut pas regarder derrière soi 571. Il ne faut pas remettre au lendemain
ce que l’on peut faire le jour même
572. Il ne faut pas remuer les cendres des morts
573. Il ne faut pas réveiller le chat qui dort 574. Il ne faut pas se dépouiller avant de se
coucher
575. Il ne faut pas se fier à un ennemi réconcilié
576. Il ne faut pas se fier à un homme qui entend deux messes
577. Il ne faut pas se fier aux apparences 578. Il ne faut pas se moquer des chiens
qu’on ne soit hors du village
579. Il ne faut pas tuer son chien pour une mauvaise année
580. Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué
581. Il ne faut point chômer les fêtes avant qu’elles soient venues
582. Il ne faut point fâcher une ruche 583. Il ne faut point puiser aux ruisseaux,
quand on peut puiser à la source
584. Il ne faut qu’une étincelle pour allumer un grand incendie
585. Il ne faut qu’un mauvais moine pour dérégler tout le couvent
586. Il ne faut qu’une brebis galeuse pour gâter tout un troupeau
587. Il ne sert à rien de pleurer sur le lait répandu
588. Il n’est bois si vert qui ne s’allume 589. Il n’est chance qui ne retourne 590. Il n’est chasse que de vieux chiens 591. Il n’est chère que de vilain 592. Il n’est danger que de vilain 593. Il n’est ferveur que de novice 594. Il n’est feu que de bois vert 595. Il n’est feu que de grand bois
596. Il n’est heureux que celui qui croit l’être
597. Il n’est jamais trop tard pour bien faire
598. Il n’est mois qui ne revienne
599. Il n’est orgueil que de pauvre enrichi 600. Il n’est ouvrage que d’ouvriers 601. Il n’est pas riche qui est chiche 602. Il n’est pas soûl qui n’a rien mangé 603. Il n’est pas usurier qui veut
13 605. Il n’est pire sourd que celui qui ne
veut entendre
606. Il n’est plus temps de fermer l’écurie quand les chevaux ont été pris
607. Il n’est pour voir que l’oeil du maître 608. Il n’est que changeur pour se
connaître en monnaie
609. Il n’est que d’être à son blé moudre 610. Il n’est qu’une mauvaise heure au jour 611. Il n’est rien de tel que d’en avoir 612. Il n’est rien de tel que le plancher des
vaches
613. Il n’est sauce que d’appétit
614. Il n’est si belle rose qui ne devienne gratte-cul
615. Il n’est si bon cheval qui ne devienne rosse
616. Il n’est si bonne compagnie qui ne se sépare
617. Il n’est si grande folie que de sage homme
618. Il n’est si méchant pot qui ne trouve son couvercle
619. Il n’est si petit buisson qui ne porte son ombre
620. Il n’est si petit chat qui n’égratigne 621. Il n’est si petit saint qui ne veuille sa
chandelle
622. Il n’est voisin qui ne voisine
623. Il n’y a au marché que ce qu’on y met 624. Il n’y a de damnés que les obstinés 625. Il n’y a pas de belles prisons ni de
laides amours
626. Il n’y a pas de bonne fête sans lendemain
627. Il n’y a pas de feu sans fumée 628. Il n’y a pas de fumée sans feu
629. Il n’y a pas de grenouille qui ne trouve son crapaud
630. Il n’y a pas de héros pour son valet de chambre
631. Il n’y a pas de petit ennemi 632. Il n’y a pas de petits profits 633. Il n’y a pas de rose sans épines 634. Il n’y a pas de sot métier
635. Il n’y a pas d’heure pour les braves 636. Il n’y a pas tant de marchands à la
foire que de regardants 637. Il n’y a plus d’enfants
638. Il n’y a point de belle chair près des os 639. Il n’y a point de dette sitôt payée que
le mépris
640. Il n’y a point de plus sage abbé que celui qui a été moine
641. Il n’y a point de si petit ver qui ne se recroqueville, si l’on marche dessus
642. Il n’y a point de temps perdu, les uns ont le bon, les autres le mauvais
643. Il n’y a point de viande sans os
644. Il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent pas
645. Il n’y a que la foi qui sauve
646. Il n’y a que la première pinte chère 647. Il n’y a que la vérité qui blesse 648. Il n’y a que le premier pas qui coûte 649. Il n’y a que les honteux qui perdent 650. Il n’y a que les imbéciles qui ne
changent jamais d’avis
651. Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent jamais
652. Il n’y a qu’heur et malheur en ce monde
14 654. Il n’y a rien de plus éloquent que
l’argent comptant
655. Il n’y a rien si hardi qu’une chemise de meunier, parce qu’elle prend tous les matins un larron au collet
656. Il n’y a si bel acquêt que le don 657. Il n’y a si bon charretier qui ne verse 658. Il n’y a si bon cheval qui ne bronche 659. Il n’y a si petit métier qui ne nourrisse
son maître
660. Il n’y en a point de plus empêché que celui qui tient la queue de la poêle
661. Il pleut à tous vents
662. Il se faut garder des gens qui n’ont rien à perdre
663. Il se vend plus de harengs que de soles 664. Il suffit d’une étincelle pour allumer
un incendie
665. Il vaut mieux agir que réagir
666. Il vaut mieux aller au boulanger qu’au médecin
667. Il vaut mieux avoir belle manche que belle panse
668. Il vaut mieux donner à un ennemi que prêter à un ami
669. Il vaut mieux donner que recevoir 670. Il vaut mieux être fou avec tous que
sage tout seul
671. Il vaut mieux être jeune, riche et en bonne santé que vieux, pauvre et malade 672. Il vaut mieux être le dernier au ciel
que le premier en enfer
673. Il vaut mieux être le premier au village que le second à Rome
674. Il vaut mieux être le premier de sa race que le dernier
675. Il vaut mieux être marteau qu’enclume
676. Il vaut mieux être oiseau de campagne qu’oiseau de cage
677. Il vaut mieux être percé d’une épée bien luisante que d’une épée rouillée
678. Il vaut mieux être seul qu’en mauvaise compagnie
679. Il vaut mieux faire envie que pitié 680. Il vaut mieux laisser son enfant
morveux que de lui arracher le nez
681. Il vaut mieux perdre un bon mot qu’un ami
682. Il vaut mieux plier que rompre 683. Il vaut mieux prévenir que guérir 684. Il vaut mieux s’adresser à Dieu qu’à
ses saints
685. Il vaut mieux se dédire que se détruire 686. Il vaut mieux se tenir au gros de
l’arbre qu’aux branches
687. Il vaut mieux tendre la main que le cou 688. Il vaut mieux tenir que courir
689. Il vaut mieux tuer le diable que le diable vous tue
690. Il viendra un temps où les chiens auront besoin de leur queue
691. Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus
692. Il y a bien de la différence entre une femme et un fagot
693. Il y a des balayures à chaque porte 694. Il y a des hochets pour tout âge 695. Il y a des honnêtes gens partout 696. Il y a deux sortes de trop : le trop et le
trop peu
697. Il y a fagots et fagots 698. Il y a gens et gens
15 700. Il y a loin de la coupe aux lèvres
701. Il y a plus de fous acheteurs que de fous vendeurs
702. Il y a plus de fous que de sages 703. Il y a plus de jours que de semaines 704. Il y a plus d’idées dans deux têtes que
dans une seule
705. Il y a plus d’un âne à la foire qui s’appelle Martin
706. Il y a remède à tout, hors à la mort 707. Il y a un commencement à tout 708. Il y a un Dieu pour les ivrognes 709. Il y a un temps pour parler et un temps
pour se taire
710. Impossible n’est pas français
711. Jamais à un bon chien il ne vient un bon os
712. Jamais avril ne se passa sans épi 713. Jamais beau parler n’écorcha la
langue
714. Jamais bon cheval ne devient rosse 715. Jamais bon chien n’aboie à faux 716. Jamais chat emmitouflé ne prit souris 717. Jamais cheval ni méchant homme
n’amenda pour aller à Rome
718. Jamais chien ne mordit l’Eglise qu’il n’enrageât
719. Jamais coup de pied de jument ne fit mal à cheval
720. Jamais danseur ne fut bon clerc 721. Jamais deux sans trois
722. Jamais février n’a passé sans voir le groseillier feuillé
723. Jamais grand nez ne gâta beau visage 724. Jamais honteux n’eut belle amie 725. Jamais lard ni cuit ni cru n’a fait le
cimetière bossu
726. Jamais mari ne paya douaire
727. Jamais ne grêle en une vigne, qu’en une autre ne provigne
728. Jamais noce sans réveillon
729. Jamais pluie de printemps ne passe pour mauvais temps
730. Jamais sécheresse n’a causé détresse 731. Janvier a trois bonnets
732. Janvier d’eau chiche fait le paysan riche
733. Jésus-Christ n’éteint pas la mèche qui fume encore
734. Jette son bien de la bonne façon qui sème et fait la moisson
735. Jeune chair et vieux poisson
736. Jeune et lourd apprend tous les jours 737. Jeune femme, pain tendre, bois vert,
mettent la maison au désert
738. Jeune procureur et vieil avocat 739. Jeunesse est difficile à passer
740. Jeunesse qui veille et vieillesse qui dort, c’est signe de mort
741. Jeux de mains, jeux de vilains 742. L’aigle ne chasse point les mouches. 743. L’âne frotte l’âne
744. L’esprit souffle où il veut
745. L’herbe est toujours plus verte chez le voisin
746. L’histoire est un éternel recommencement
747. L’important, c’est de participer 748. L’orthographe est la science des ânes 749. La bave du crapaud n’atteint pas la
blanche colombe
16 752. La bonne volonté est réputée pour le
fait
753. La brebis bêle toujours de même 754. La caque sent toujours le hareng 755. La chair nourrit la chair
756. La chandelle qui va devant éclaire mieux que celle qui va derrière
757. La clef dont on se sert est toujours claire
758. La crainte des pigeons n’empêche pas de semer
759. La critique est aisée, l’art est difficile 760. La culture, c’est ce qui reste quand on
a tout oublié
761. La culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale
762. La façon de donner vaut mieux que ce qu’on donne
763. La faim chasse le loup du bois
764. La femme de César ne doit pas être soupçonnée
765. La fête passée, adieu le saint 766. La fin couronne l’oeuvre 767. La fin justifie les moyens 768. La fonction crée l’organe 769. La fortune est aveugle
770. La fortune sourit aux audacieux 771. La fortune vient en dormant
772. La fumée chasse souvent le maître de la maison
773. La fumée cherche les beaux
774. La gale ni l’amour ne se peuvent cacher
775. La gelée blanche, sous la planche 776. La gelée n’est bonne que pour les
choux
777. La gourmandise tue plus de gens que l’épée
778. La goutte creuse la pierre 779. La goutte vient de la goutte
780. La guerre est bien forte quand les loups se mangent l’un l’autre
781. La guerre nourrit la guerre 782. La jeunesse revient de loin 783. La joie est babillarde 784. La lame use le fourreau
785. La langue va où la dent fait mal 786. La lettre tue, mais l’esprit vivifie 787. La liberté des uns s’arrête là où
commence celle des autres
788. La lune est à l’abri des loups 789. La lune mange les nuages
790. La mort assise à la porte des vieux guette les jeunes
791. La mouche va si souvent au lait qu’elle y demeure
792. La mule du pape ne mange qu’à ses heures
793. La muraille blanche est le papier des fous
794. La musique adoucit les moeurs 795. La nature a horreur du vide 796. La nature ne perd jamais ses droits 797. La neige qui tombe engraisse la terre 798. La nuit porte conseil
799. La nuit tous les chats sont gris 800. Là où Dieu veut, il pleut
801. Là où vous pensez qu’il y ait du lard, il n’y a pas seulement de cheville
802. La parole est d’argent, le silence est d’or
17 804. La patience est amère, mais son fruit
est doux
805. La patience est la vertu des ânes 806. La pauvreté est mauvaise conseillère 807. La peau est plus proche que la
chemise
808. La pelle se moque du fourgon 809. La peur donne des ailes
810. La peur du gendarme est le commencement de la sagesse
811. La peur grossit les objets 812. La peur ne guérit de rien 813. La pierre va toujours au tas
814. La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a
815. La plus mauvaise roue d’un chariot fait toujours le plus de bruit
816. La politesse est au fond du saladier 817. La pomme ne tombe jamais loin de
l’arbre
818. La poule ne doit pas chanter devant le coq
819. La raison du plus fort est toujours la meilleure
820. La réalité dépasse la fiction
821. La révolution dévore toujours ses propres enfants
822. La rivière ne grossit qu’il n’y entre de l’eau trouble
823. La roche Tarpéienne est près du Capitole
824. La royauté de la fève ne dure que le temps du repas
825. La sauce fait passer le poisson 826. La soupe fait le soldat
827. La sursomme abat l’âne
828. La tartine tombe toujours du côté de la confiture
829. La valeur n’attend pas le nombre des années
830. La vengeance est un plat qui se mange froid
831. La vérité comme l’huile vient au-dessus
832. La vérité se cache au fond d’un puits 833. La vérité sort de la bouche des enfants 834. La voix du peuple est la voix de Dieu 835. L’abîme appelle l’abîme
836. L’âge n’est fait que pour les chevaux 837. L’aigle ne chasse point aux mouches 838. L’aigle n’engendre point la colombe 839. L’air ne fait pas la chanson
840. L’amitié ne se paie que par l’amitié 841. L’amitié passe le gant
842. L’amitié rompue n’est jamais bien soudée
843. L’amour apprend aux ânes à danser 844. L’amour est aveugle
845. L’amour et la pauvreté font ensemble mauvais ménage
846. L’amour fait passer le temps et le temps fait passer l’amour
847. L’amour ne remonte pas
848. L’âne du commun est toujours le plus mal bâté
849. L’appétit vient en mangeant
850. L’arbre tombe toujours du côté où il penche
851. L’argent appelle l’argent 852. L’argent est le nerf de la guerre 853. L’argent est un bon passe-partout 854. L’argent est un bon serviteur et un
18 855. L’argent fait tout
856. L’argent n’a pas d’odeur 857. L’argent n’a point de maître 858. L’argent ne fait pas le bonheur
859. L’assassin revient toujours sur les lieux de son crime
860. L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt
861. Le bien cherche le bien
862. Le bien faire vaut mieux que le bien dire
863. Le bois tortu fait le feu droit 864. Le bon vin fait le bon vinaigre 865. Le bonjour vient du dehors 866. Le chaudron mâchure la poêle
867. Le chemin le plus long est quelquefois le plus court
868. Le chien est le meilleur ami de l’homme
869. Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point
870. Le corps est la prison de l’âme 871. Le coût fait perdre le goût 872. Le crime ne paie pas 873. Le diable est bien fin
874. Le diable est dans les détails
875. Le diable était beau quand il était jeune
876. Le diable n’est pas si noir qu’il en a l’air
877. Le diable n’est pas toujours à la porte d’un pauvre homme
878. Le diable sait beaucoup parce qu’il est vieux
879. Le doute est le commencement de la sagesse
880. Le four appelle le moulin brûlé
881. Le fuseau doit suivre le hoyau 882. Le gibet ne perd pas ses droits
883. Le gibet n’est fait que pour les malheureux
884. Le gland ne devient pas chêne en un jour
885. Le jaune est le fard des brunes 886. Le juste pèche sept fois par jour 887. Le lit est l’écharpe de la jambe
888. Le lit est une bonne chose ; si l’on n’y dort, l’on y repose
889. Le loup mourra dans sa peau 890. Le mal porte le repentir en queue 891. Le malheur des uns fait le bonheur des
autres
892. Le mieux est l’ennemi du bien
893. Le moine répond comme l’abbé chante 894. Le monde est rond ; qui ne sait nager
va au fond
895. Le monde n’est qu’abus et vanité 896. Le mou est pour le chat
897. Le nom des fous est écrit partout 898. Le Normand tourne autour du bâton,
le Gascon saute par-dessus 899. Le pain d’autrui est amer 900. Le papier souffre tout
901. Le parchemin est plus fort que le papier
902. Le pauvre est toujours pauvre 903. Le pire n’est jamais certain 904. Le plus fort l’emporte
905. Le plus riche n’emporte qu’un linceul 906. Le poisson commence toujours à sentir
par la tête
907. Le poisson pourrit par la tête
19 909. Le premier venu engrène
910. Le renard cache sa queue
911. Le renard est pris, lâchez vos poules 912. Le renard prêche aux poules
913. Le retour est pire que les matines 914. Le retour vaut mieux que matines 915. Le ridicule ne tue pas
916. Le ridicule tue
917. Le rire est le propre de l’homme 918. Le royaume de France ne peut tomber
de lance en quenouille
919. Le sablon va toujours au fond
920. Le semer et la moisson ont leur temps et leur saison
921. Le serpent est caché sous les fleurs 922. Le soleil de Chandeleur annonce hiver
et malheur
923. Le soleil luit pour tout le monde 924. Le surplus rompt le couvercle 925. Le temps découvre la vérité 926. Le temps dévore tout
927. Le temps est à Dieu et à nous 928. Le temps est un grand maître
929. Le temps perdu ne se rattrape jamais 930. Le temps, c’est de l’argent
931. Le terme vaut l’argent 932. Le travail, c’est la santé 933. Le vendredi fait le dimanche 934. Le vent n’est ni chasseur ni pêcheur 935. Le vin est le lait des vieillards 936. Le vin est tiré, il faut le boire 937. Le vin trouble ne casse pas les dents 938. L’eau fait l’herbe
939. L’eau va à la rivière
940. L’enfer est pavé de bonnes intentions 941. L’ennui naquit un jour de l’uniformité 942. L’enseigne fait la chalandise
943. L’entente est au diseur 944. L’envie a des yeux louches
945. L’épargne est une grande richesse 946. L’épée est la meilleure langue pour
répondre à l’outrage 947. L’erreur est humaine 948. Les absents ont toujours tort 949. Les affaires sont les affaires
950. Les alouettes ne tombent pas toutes rôties
951. Les amis de nos amis sont nos amis 952. Les amis ne sont pas des Turcs 953. Les arbres cachent la forêt 954. Les armes sont journalières 955. Les avares font nécessité de tout 956. Les battus payent l’amende
957. Les bons bras font les bonnes lames 958. Les bons comptes font les bons amis 959. Les bons coqs sont toujours maigres 960. Les bons livres font les bons clercs 961. Les bons maîtres font les bons valets 962. Les bons marchés ruinent
963. Les bons pâtissent pour les méchants 964. Les cabaretiers, le mauvais train
échauffent les maisons
965. Les chevaux courent les bénéfices, et les ânes les attrapent
966. Les chiens aboient, la caravane passe 967. Les chiens ne font pas de chats
968. Les cimetières sont remplis de gens indispensables
969. Les conseillers n’ont pas de gages 970. Les conseilleurs ne sont pas les
payeurs
971. Les contraires s’attirent
20 973. Les coups de bâton sont pour les
chiens
974. Les effets sont des mâles, les promesses sont des femelles
975. Les envieux mourront, mais non jamais l’envie
976. Les étourneaux sont maigres parce qu’ils vont en troupes
977. Les excuses sont faites pour s’en servir 978. Les extrêmes se touchent
979. Les fautes sont pour les joueurs 980. Les fèves sont en fleur, les fous en
vigueur
981. Les fous font les fêtes, et les sages en ont le plaisir
982. Les fous inventent les modes, et les sages les suivent
983. Les fous sont plus utiles aux sages que les sages aux fous
984. Les gens heureux n’ont pas d’histoire 985. Les gourmands creusent leur tombe
avec leurs dents
986. Les grandes douleurs sont muettes 987. Les grands diseurs ne sont pas les
grands faiseurs
988. Les grands esprits se rencontrent 989. Les grands voleurs pendent les petits 990. Les gros poissons mangent les petits 991. Les honneurs changent les moeurs 992. Les injures s’écrivent sur l’airain et
les bienfaits sur le sable
993. Les jeunes médecins font les cimetières bossus
994. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas
995. Les linceuls n’ont pas de poches 996. Les lis ne filent point
997. Les lisières sont pires que le drap 998. Les loups ne se mangent pas entre eux 999. Les lunettes et les cheveux gris sont
des quittances d’amour
1000. Les mains noires font manger le pain blanc
1001. Les malades en "ique" font au médecin la nique
1002. Les maladies viennent à cheval et s’en retournent à pied
1003. Les malheureux n’ont point de parents 1004. Les mariages sont écrits dans le ciel 1005. Les mauvais couteaux coupent les
doigts et laissent le bois
1006. Les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs
1007. Les mauvaises nouvelles ont des ailes 1008. Les meilleures choses ont une fin 1009. Les mêmes causes produisent les
mêmes effets
1010. Les menteurs sont les enfants du diable
1011. Les ministres sont les yeux des princes 1012. Les morceaux caquetés se digèrent
plus facilement
1013. Les morveux veulent moucher les autres
1014. Les murs ont des oreilles
1015. Les nouveaux balais balaient bien 1016. Les oisons mènent paître les oies 1017. Les os sont pour les absents
1018. Les paroles du matin ne ressemblent pas à celles du soir
21 1020. Les pêcheurs, les chasseurs et les
preneurs de taupes feraient de beaux coups sans la faute
1021. Les petites bêtes ne mangent pas les grosses
1022. Les petites mesures ne reviennent pas aux grandes
1023. Les petits cadeaux entretiennent l’amitié
1024. Les petits ruisseaux font les grandes rivières
1025. Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures
1026. Les plus grands clercs ne sont pas les plus fins
1027. Les plus grands clercs ne sont pas les plus sages
1028. Les pots fêlés sont ceux qui durent le plus
1029. Les poules pondent par le bec
1030. Les premiers morceaux nuisent aux derniers
1031. Les premiers seront les derniers 1032. Les premiers vont devant
1033. Les présents valent mieux que les absents
1034. Les proverbes ne mentent point
1035. Les riches font leur paradis en ce monde
1036. Les rois et les juges n’ont point de parents
1037. Les rois ont le bras long
1038. Les sages ont la bouche dans le coeur et les fous le coeur dans la bouche
1039. Les vieilles mouches ne se laissent pas engluer ni prendre aisément
1040. Les volontés sont libres
1041. Les voyages forment la jeunesse 1042. Les yeux sont le miroir de l’âme 1043. L’espoir fait vivre
1044. L’esprit court les rues
1045. L’esprit de Dieu souffle où il lui plaît 1046. L’esprit est prompt et la chair est
faible
1047. Lever à cinq, dîner à neuf, souper à cinq, coucher à neuf, fait vivre d’ans nonante et neuf
1048. L’exactitude est la politesse des rois 1049. L’exception confirme la règle
1050. L’excès de justice est excès d’injustice 1051. L’excès en tout est un défaut
1052. L’habit fait le moine 1053. L’habit ne fait pas le moine 1054. L’habit volé ne va pas au voleur 1055. L’habitude est une seconde nature 1056. L’herbe est toujours plus verte dans le
pré voisin
1057. L’histoire ne repasse pas les plats 1058. L’hiver n’est jamais bâtard ; s’il ne
vient tôt, il vient tard
1059. L’homme ne vit pas seulement de pain 1060. L’homme propose et Dieu dispose 1061. L’homme s’agite et Dieu le mène 1062. L’homme sans abri est un oiseau sans
nid
1063. Liberté et pain cuit 1064. L’occasion est chauve 1065. L’occasion fait le larron
1066. L’oeil du fermier vaut du fumier 1067. L’oeil du maître engraisse le cheval 1068. Loin des yeux, loin du coeur
22 1071. Lorsqu’un mouton quitte le troupeau,
le loup le mange
1072. L’un a le bruit, l’autre lave la laine 1073. L’union fait la force
1074. L’usage est le tyran des langues 1075. Mai froid n’enrichit personne
1076. Mai mou est signe d’une bonne année 1077. Mai pluvieux marie le laboureur et sa
fille
1078. Maille à maille se fait le haubergeon 1079. Maison faite et femme à faire
1080. Maître Gonin est mort, le monde n’est plus grue
1081. Mal d’autrui n’est que songe 1082. Mal de tête veut paître 1083. Mal passé n’est que songe 1084. Mal sur mal n’est pas santé 1085. Mal vit qui ne s’amende pas
1086. Mange bien des mouches qui n’y voit pas
1087. Marchand d’oignons se connaît en ciboules
1088. Marchand qui perd ne peut rire 1089. Marchandise qui plaît est à demi
vendue
1090. Mariage d’épervier, la femelle vaut mieux que le mâle
1091. Mariage pluvieux, mariage heureux 1092. Mars venteux, avril pluvieux, font mai
joyeux
1093. Matines bien sonnées sont à demi dites 1094. Mauvais chien ne trouve où mordre 1095. Mauvais chien ne veut compagnon en
cuisine
1096. Mauvaise fille se moque de sa mère 1097. Mauvaise herbe croît toujours 1098. Mauvaise tête et bon coeur
1099. Médecin, guéris-toi toi-même
1100. Même le bon Dieu a besoin de cloches 1101. Mémoire du mal a longue trace ;
mémoire du bien tantôt passe
1102. Mieux vaut ami en voie que denier en courroie
1103. Mieux vaut bon gardeur que bon amasseur
1104. Mieux vaut bonne attente que mauvaise hâte
1105. Mieux vaut engin que force
1106. Mieux vaut être cheval que charrette 1107. Mieux vaut être premier dans son
village que second à Rome
1108. Mieux vaut gaudir de son patrimoine que le laisser à un ribaud de moine
1109. Mieux vaut moineau en cage que poule d’eau qui nage
1110. Mieux vaut prévenir que guérir 1111. Mieux vaut règle que rente 1112. Mieux vaut tard que jamais
1113. Mieux vaut trésor d’honneur que d’or 1114. Mieux vaut un sage ennemi qu’un
ignorant ami
1115. Mi-juin, mi-graisse 1116. Mi-mai, queue d’hiver
1117. Morceau avalé n’a plus de goût 1118. Morte la bête, mort le venin
1119. N’est pas échappé qui traîne son lien 1120. N’a pas fait qui commence
1121. Nature ne peut mentir 1122. Nature passe nourriture 1123. Ne choisit pas qui emprunte
1124. Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse