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RIONERO IN VULTURE

Nel documento VULTURE MELFESE & dintorni (pagine 31-63)

historiquement marqué par le phénomène du brigandage et par diverses découvertes his-toriques. Et c’est précisément dans l’ancienne Grange monas-tique de Santa Maria degli An-geli, entre les murs du Musée du Brigandage, que l’on peut retracer les étapes de cette fas-cinante parenthèse historique.

Palais Fortunato

Il tire son nom de l’homme d’État, historien, politicien et éducateur Giustino Fortunato, à qui l’on attribue la paternité de la «Question méridionale». Le mobilier de certaines pièces est resté inchangé. Depuis 1975, le bâtiment abrite la Bibliothèque municipale «Giustino For-tunato», où l’on peut consul-ter des études historiques et économiques d’un point de vue méridional.

RIONERO IN VULTURE

Connue comme la «ville-cathédrale» pour le chef-d’œuvre architectural qui la caractérise, avec toute sa beauté antique, elle domine la haute vallée du Bradano, révélant les traces d’un passé romain, normand et de la Renaissance. C’est une petite commune agrémentée de bâti-ments historiques, qui se dresse sur un monticule entouré de vignes et de champs cultivés et qui raconte son histoire à travers des bâtiments du XVIe siècle, comme l’ancienne Préfecture, du XVIIIe siècle, comme le Palais Gala et la Curia Vecchia, avec de magnifiques portails en pierre décorés de blasons et de sculptures. Les nombreuses églises et autres particularités», comme les grottes creusées dans la roche et utilisées comme lieux de conservation de l’Aglianico ou le Musée du bois sculp-té, où un parcours ethnologique guide le visiteur à la découverte des traditions locales à travers les techniques de travail du bois, font d’Ace-renza l’un des plus beaux villages d’Italie».

La Cathédrale de Santa Maria Assunta et San Canio

De style romano-gothique, elle est située au centre de la commune et abrite de nombreux trésors artistiques, comme des peintures et des fresques du XVIe siècle. Le système absidal qui la caractérise et attire l’attention est majestueux. La structure interne est assez dynamique : une série de tourelles et d’absides se succèdent comme si elles se poursuivaient, créant un mouvement infini en forme de croix latine. La mystérieuse crypte Renaissance sous le presbytère charme le regard.

Des fresques de Todisco d’Abriola recouvrent le plafond qui donne sur

un précieux sarcophage des comtes Ferrillo et un ancien bé-nitier.

Le Musée diocésain

Il se trouve dans le bâtiment qui était autrefois le siège du sé-minaire d’Acerenza et conserve non seulement des trésors de la Cathédrale, mais aussi des ves-tiges qui témoignent de la vie et de la spiritualité vécues dans ces murs par des moines, des bénédictins, des prêtres et des évêques. Le buste de l’empereur Julien l’Apostat (331-363) est particulièrement remarquable.

ACERENZA

Connue pour ses célèbres eaux qui, à travers les roches volca-niques du Vultur, s’enrichissent d’une effervescence naturelle, et entourée de collines ver-doyantes, de vignes, de châ-taigneraies et d’oliveraies, la commune domine la Vallée de Vitalba d’une hauteur des plus suggestives. Ce panorama est enrichi par les références du XIVe siècle disséminées sur le territoire, comme la Cathédrale

de Santa Maria ad Nives au portail d’inspiration islamique singulier, gardienne des sculptures des XIVe et XVe siècles et des peintures du XIVe siècle, l’Église de Santa Lucia de 1389 ou encore le Monastère-forte-resse de Santa Maria degli Angeli du XVIe siècle. Parmi les événements à signaler, on peut citer le Chemin de Croix qui a lieu chaque année le Jeudi saint, et au cours duquel chaque coin de la commune revêt une signification religieuse permet-tant au public de s’identifier aux scènes reproduites.

Près du cimetière d’Atella, au sein d’un site archéologique, il est possible d’admirer une dé-couverte vieille de 600 000 ans:

la défense d’un ancien éléphant (Elephas antiquus).

Le village a été fondé au centre de la Vallée du Bradano et baigne, comme le reste du Vul-tur, dans le charme de l’histoire.

Abritant la plus ancienne abbaye de la Basilicate, de style béné-dictin, dédiée à Santa Maria et datant du IXe siècle, dont les vestiges sont encore visibles aujourd’hui, il possède un patri-moine archéologique considé-rable. C’est ici que l’on a retrouvé la célèbre Tabula Bantina (d’où le

village tire son nom), l’une des plus anciennes tablettes en bronze datant du IIe siècle avant J.-C. et contenant des gravures en langue osque, au-jourd’hui conservée au Musée archéologique de Naples.

C’est une petite commune du nord-ouest des Apennins, connue pour son fromage de brebis, un produit qui a obtenu l’appellation d’origine protégée (AOP) en 2007.

Outre le côté gastronomique et vinicole, les peintures rupestres découvertes à Tuppo dei Sassi, où se trouve aujourd’hui le site

ATELLA BANZI

FILIANO

préhistorique «Riparo Ranaldi», sont également très intéres-santes et représentent la plus ancienne documentation cultu-relle de l’homme en Basilicate.

Représentant des tableaux de chasse fascinants liés à des rites propitiatoires, elles re-montent au Paléo-Mésolithique et sont caractérisées par une chaude couleur rouge étalée avec les doigts. La trame du sa-cré qui part de cette partie de la commune se prolonge ensuite dans les petites Églises de San-ta Maria del Rosario et de San Giuseppe.

C’est l’une des communes d’ori-gine Arbëresh en Basilicate, dont les origines se reflètent au-jourd’hui encore dans les tradi-tions et l’architecture de la vieille ville, composée d’arcs, de por-tails, de ruelles et de bâtiments qui remontent à l’influence alba-naise.

Parmi les plus remarquables, il faut citer la Fontana dello Steccato, (fontaine du Steccato) construite à la demande d’un noble albanais et animée par des figures apotropaïques et des formules magiques desti-nées à éloigner toute énergie négative. Autre curiosité, les Cantine dello Scescio (Cantines du Scescio) - choisies par Pasoli-ni comme cadre pour «L’Évangile selon saint Matthieu » - sont des

grottes creusées dans le tuf volcanique des collines qui entourent la commune et utilisées principalement comme refuge par les immigrants albanais, puis comme cave pour stocker le vin. Le patrimoine religieux porte lui aussi l’empreinte des Arberèches. Le Sanctuaire de la Madonna di Costantinopoli, l’Église de Sant’Atta-nasio et de San Rocco, l’Église de Santa Maria del Carmine et l’Église de San Ni-cola en sont des exemples, tant pour le style décoratif de l’intérieur que pour les œuvres qui y sont contenues. Et parmi les manifestations culturelles les plus atten-dues figure la « Processione dei Misteri».

Chaque Vendredi saint, les étapes de la vie du Christ sont retracées avec un Chemin de Croix pittoresque qui transforme la commune en une di-mension où le passé et le présent se confondent de manière évocatrice.

La commune s’élève sur ce qu’on ap-pelle le «Balcon des Pouilles», une colline d’où l’on peut admirer le splen-dide panorama qui s’étend jusqu’au Gargano. Les vestiges des murailles angevines et les tours font de Foren-za un petit joyau à découvrir, où le pa-trimoine sacré règne en maître, avec des autels et des sculptures en bois, des peintures du XVIe siècle et di-verses œuvres picturales. Les sites à ne pas manquer sont l’Église

médié-vale de l’Annunziata et l’Église du Crucifix (appartenant toutes deux au Couvent des Capucins), qui accueillent une exposition sur la com-mune aux XVIIe-XVIIIème siècles, l’Église de San Nicola, celle de San Pietro, le Couvent de Santa Maria della Stella et la suggestive Église rupestre de San Biagio. La Casa Contadina, une «maison-musée» qui reproduit fidèlement les espaces domestiques typiques de la culture paysanne, est également située dans la vieille ville. Un véritable joyau culturel de la collection ethnographique lucanienne.

BARILE

FORENZA

À la manière des pièces d’un puzzle, les maisons de Gen-zano di Lucania s’emboîtent parfaitement sur un éperon de la haute Vallée du Bradano, in-terrompant le continuum natu-raliste inaltéré qui les entoure.

Parmi les demeures de cette ancien peuplement romain, on trouve l’Église de l’Annunziata du XIIe siècle, l’Église de Santa Maria della Platea, le Palais de Marinis, d’origine angevine, aujourd’hui siège des bureaux municipaux, et la magnifique Fontaine Cavallina, grande, majestueuse et abritant à son sommet une sculpture de la déesse Cérès du Ie siècle avant

J.-C. qui la rend encore plus précieuse. À quelques kilomètres du centre urbain se trouvent les restes du Château de Monteserico, construit vers l’an 1000 mais également utilisé par Frédéric II.

C’est le troisième village Arbëresh du Vultur, après Barile et Maschito.

Un plongeon dans le passé, voilà à quoi ressemble une simple pro-menade dans les ruelles de ce village. Les rues portant le double nom, albanais et italien, les bâtiments caractéristiques tels que le Palais

Allamprese, du XVIe siècle, ou les éléments architecturaux comme l’Arco Forno créent une atmosphère très particulière donnant l’impression d’être à une autre époque. Cette sensa-tion est corroborée par les

pay-sages époustouflants qui encadrent le centre habité. L’Église Mère de San Nicola et l’Église de la Madonna di Costantinopoli sont à visiter.

Comme Barile et Ginestra, Maschito a également des ori-gines Arbëresh dont les traces sont très évidentes dans le langage quotidien, dans les cé-lèbres proverbes et dans l’un des principaux événements du programme d’été du village: la Retnes, une commémoration historique des affrontements entre les Grecs de Koróni et les Albanais de Shkodër, les fonda-teurs de Maschito.

La fontaine monumentale du village porte le nom de Skan-derberg, le héros albanais qui a affronté les Angevins de Fer-dinand d’Aragon avec de nom-breuses troupes. Construite en pierre blanche, elle est entou-rée de magnifiques bâtiments des XVIIIe-XXe siècles, caracté-risés par des portails classiques et des colonnes doriques, et d’églises de style albanais em-bellies par des décorations en

GENZANO DI LUCANIA

GINESTRA

MASCHITO

stuc et des peintures à l’huile.

Parmi celles-ci figurent l’Église Mère de Sant’Elia, l’Église de la Madonna del Caroseno, l’Église du Purgatorio et celle dédiée à la Madonna del Rosario.

La Représentation sacrée, mise en scène le Vendredi saint de chaque année dans les rues du village, est fascinante. Elle per-met de revivre, avec une im-plication particulière, les mo-ments marquants de la vie de Jésus-Christ.

Situé à quelques kilomètres de la frontière avec les Pouilles et, bien que très petit, le village allie parfaitement le magnifique pay-sage dans lequel il se trouve à la trame historique qui le traverse.

Des portails anciens et des ha-bitations caractéristiques lui confèrent un charme unique. Les lieux d’intérêt sont nombreux, comme le Sanctuaire de la Glo-riosa, qui témoigne du passage des moines basiliens, l’Église Mère dédiée à Santo Stefano, la Tour de l’Horloge, au cœur de la vieille ville, et les vestiges de l’aqueduc romain qui amenait l’eau à la ville de Canosa. Les aires de pique-nique à proximi-té sont agréables, agrémenproximi-tées de deux fontaines particulières:

Chiancone et Schiaffone.

Défini comme le «village des contes de fées», Rapone se distingue par la parfaite coexistence architecturale de l’ancien et du nouveau. Les vestiges de peuplements datant du Paléolithique et les bâtiments de la vieille ville qui tracent les contours du système féodal, enrichis de masques décoratifs insolites, présentent une conti-nuité naturelle avec des bâtiments plus

modernes. Les protagonistes du patrimoine culturel sont les palais nobiliaires, tels que le Palais Nicolais et la Maison Patrissi, l’Église Mère de San Nicola Vescovo et les deux petites églises dédiées à Santa Maria ad Nives et Santa Maria dei Santi. La tradition gastrono-mique et vinicole locale est intéressante, avec deux produits en par-ticulier: la soppressata et le caciocavallo, auxquels deux fêtes sont consacrées.

C’est un château manoir, éga-lement connu sous le nom de Palais Marchésal et utilisé par Frédéric II pour l’élevage des chevaux, qui indique la présence de cette commune au sommet d’un promontoire où le regard se perd dans le panorama de la Murgia des Pouilles. Parsemée

RAPONE

PALAZZO SAN GERVASIO

MONTEMILONE

d’églises anciennes, comme celle de San Rocco, du SS. Crocifisso, de San Sebastiano ou, encore, l’Église Mère de San Nicola, Palazzo San Gervasio préserve le lien entre histoire, culture et art, s’imposant comme l’une des zones les plus riches en découvertes telles que des objets en porcelaine, des peintures, des gravures et des volumes an-ciens. Tout cela est conservé dans la Pinacothèque historique de Pa-lais d’Errico, qui regorge de collections littéraires et artistiques, parmi les plus précieuses du sud de l’Italie.

Dans la nature silencieuse et luxuriante des collines du nord-est de la Basilicate se dresse ce petit village d’origine sam-nite. Entouré de verdure, il est connu pour sa Tour angevine et les vestiges du château au-quel il appartenait. Son histoire est racontée entre les murs du Musée de la vie rurale, du Mu-sée archéologique municipal et, sur le plan religieux, parmi les œuvres et l’architecture de la majestueuse Église Mère de Santa Maria Assunta.

Perché sur une colline, le village domine un panorama époustou-flant défiant, par sa beauté an-cienne, la force naturaliste du Vultur. Un mélange qui envoûte, conquiert et enchante l’âme, et qui voit d’une part l’histoire qui résonne à travers les objets conservés dans la Galerie d’art municipale, les fresques et les décorations de l’Église de San Donato, de celle de Santa Ma-ria del Sepolcro et de l’Église de San Giuseppe, et d’autre part la présence luxuriante d’une na-ture intacte.

Et les amateurs de miel pour-ront essayer le miel produit à Ripacandida. Au goût délicat ou aromatisé, il peut être dégusté seul ou dans des recettes plus spécifiques.

RUVO DEL MONTE

RIPACANDIDA

Destination parfaite pour les amoureux de la nature, San Fele est connue pour ses chutes d’eau qui jaillissent dans le silence et la végétation luxu-riante de ce site, ce qui en fait un lieu magique. Dans cette pe-tite commune, l’héritage trans-mis par la féodalité est visible dans les vestiges d’un château et dans les murs de l’Église de Santa Maria della Quercia et du Sanctuaire de la Madonna di Pierno, qui rendent le pay-sage encore plus fascinant.

Petite ville chargée d’histoire, elle se présente aux visiteurs avec le châ-teau normand-souabe dans lequel est mort Conrad IV, fils de Frédéric II, un bâtiment évocateur qui abrite au-jourd’hui l’hôtel de ville, à côté duquel se dresse la Cathédrale de San Mau-ro datant du XIe siècle.

Des remparts, symbole de l’époque médiévale, on ne distingue plus que deux portes: la Porta del Forno et la Porta Nuova. De nombreuses œuvres

d’art sont conservées au sein de l’Église de Sant’Anna et les vestiges historiques montrent que Lavello a été habitée dès le Néolithique. Tout aussi im-portant est le Musée de la Vie Rurale, installé à l’intérieur du Palazzo Ducale et qui constitue une vitrine d’objets et de mo-bilier illustrant parfaitement

l’ancienne vie rurale quotidienne. Quant au Sanctuaire de la Gavetta, construit en l’honneur d’une divinité de l’eau, seuls quelques restes sont encore visibles derrière le cimetière.

Pendant le carnaval, à la fin du mois de janvier, Lavello prend des cou-leurs, lorsque les rues se remplissent de masques rouges rappelant les préceptes de la tradition connue sous le nom de «Domino».

Les maisons de cette petite commune du Vultur semblent s’accrocher à la colline verte sur laquelle reposent leurs fonda-tions. Entre elles se trouve une station thermale attrayante, alors que dans la vieille ville les protagonistes sont la Cathé-drale de l’Assunta, du XIIIe siècle, qui accueille les croyants avec

un magnifique portail roman et un imposant clocher, l’Église de Santa Lucia, encore plus ancienne, des Xe-XIe siècles, et celle du Crocifisso construite par les bénédictins.

Comme la plupart des communes du Vultur pendant la période de Pâques, notamment le Mardi saint, Rapolla se transforme aussi en un théâtre en plein air avec la mise en scène de la Représentation Sacrée.

Le patrimoine gastronomique et vinicole est intéressant. On peut en profiter lors de l’événement «Parco Urbano delle Cantine di Rapolla», qui en est à sa 17ème édition et qui fait participer les palais les plus cu-rieux à une expérience sensorielle unique dans un lieu magique.

SAN FELE

LAVELLO

RAPOLLA

Al norte de Basilicata, a partir de las laderas del extinto volcán Vulture, toma forma y se extiende sobre todo el valle una zona sorprendente, formada por pequeños pueblos que se elevan entre colores brillantes y sinceros de una naturaleza genuina. La historia y las tradiciones lo-cales nos cuentan la identidad de estos lugares mágicos, los castillos aún existentes narran las gestas del stupor mundi, la cultura arbëres-hë, aún hoy viva en algunos municipios, nos recuerda la importancia de los primeros asentamientos albaneses del siglo XV, las sagradas representaciones de la Pasión de Cristo durante la Semana Santa subrayan el fuerte espíritu religioso que anima a las comunidades. Sin olvidar los sabores y las exquisiteces que deleitan a los paladares y los amantes de la buena cocina.

Un viaje para descubrir estas tierras solo puede ser una experiencia que enriquece el alma y llena la mirada.

VULTURE MELFESE

LA BASILICATA PER AREE Vulture Melfese

Mar Tirreno

Mar Jonio

• Lavello

• Montemilone

• Venosa

• Melfi

• Rapolla

• Barile • Ginestra

• Rionero in Vulture

• Atella

• Ruvo del Monte• Ripacandida• Maschito• Palazzo S.Gervasio

• Banzi

• Rapone

• San Fele • Filiano• Forenza • Genzano di Lucania

• Acerenza

Costa Jonica e dintorni Dintorni

di Potenza

Valle dell’Agri

Pollino Maratea

e dintorni

Dintorni di Matera Dolomiti Lucane

e dintorni

MATERA

POTENZA

Es la cuarta ciudad normanda por orden de tamaño de Basilicata. Tierra de Roberto Guiscardo, a quien se debe la construcción del magnífico castillo que aún hoy domina la localidad, y de Federico II de Hohens-taufen, que realizó una notable ampliación del mismo, fue sede de la promulgación de las «Constitutiones Augustales» en 1231, la mayor contribución legislativa medieval con la que se regían los derechos

feu-dales y que reconocía a las mujeres el derecho de sucesión hereditaria.

Su importante pasado como capital del ducado de Apulia, como ates-tiguan las murallas aún presentes, la impresionante Porta Venosina, una de las seis antiguas entradas a la ciudad, y los otros muchos puntos de interés diseminados por la

ciudad, como el arco ojival, los edificios patricios, las torres que enmarcan los patios del palacio baronial Doria, la capi-lla de este último y todo el rico patrimonio artístico-religioso.

La Catedral de Santa Maria Assunta y las iglesias

Destaca sobre el burgo nor-mando el espléndido campa-nario de estilo románico de la Catedral consagrada a la As-sunta. Dividido en tres plantas,

se alza 50 metros y representa el símbolo de la arquitectura normanda meridional, junto a la fachada igualmente majestuosa de la catedral. El estilo bizantino de esta última brilla en todo su esplendor en los techos

se alza 50 metros y representa el símbolo de la arquitectura normanda meridional, junto a la fachada igualmente majestuosa de la catedral. El estilo bizantino de esta última brilla en todo su esplendor en los techos

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