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DE TURIN A NOYARE PAR VERCElL

Nel documento SA LUCES (pagine 40-56)

Cell eroutc presen teune série

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peinc tic lo cherc he r. L'arti ste, coutinue lle de sitcspittorcsques qui s' occupopeu ticl'or ,admirr d'u n aspectilla foisimposant etIles beaux points dc HIC qu' of-agréabl e. 011 voi tlongt empsles front Ics hois qui hordeut l' C

..\Ipes qui,regardées dc cc poiIII , torrent .

sedétach entdelaplaine etvous Aprèsavoir passéla ville ~~

appuruissent plus ìmposant os Chivasso, que nous avons déjòl '1nc siVOIlS étiezali milieu d' cl- décrite, etHontliss on e, le voya-Ics ; c'est le plus beali coup geur arrivo il Cigliano, au

cien-d'mi!. nemcnt entouré de murscl dc

Au-delàdIIvillngedeSettimo,

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tours,maintenantdèmolis,etnù don t le 110m adScptimulIllapi- l'on remarque une ancien nc dCIII, ra pp ell e son orig ine 1'0- église , cl la vile imposante dII maine , VOIl S trou vez le village ~Ionl Iìosa.

dc Brandizzo, qui, s' il n'a rien ASan Germano, le jcu ne vo-qui puisse attirer le voyag eur, yage ur ohsc r ve ru les Celll!Jle' rappelle toutefois il l'historien quicom mencen l ici i!secOl lr~'r quec'étaitun lieudel'epospour comme Ics Lombardes, c'esta -lespélerinsqui allai euli!Jéru- dire, elles mettcnt illeurs che-salem ,com me l'iudiqucntd'an- veuxde grosses éping lcs disp o-cicn sitiuérnir es, . sées com me Ic s rayons d' unI-LàvouspassezletorrentOrco, roue; ce geme de co i lru ~e a dont]1'sahleestmèl éildespail- quelquerapport avec l'arclllte;c-liettes d'or , mais eu tro p petil c turc des édiflcesdeLombardlc, quantité, pour compe nscr la qui sontsurrnontésd'ohélisqllc~.

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-VERCEIL

Colte ville ,que l'on croitavoil' deshonneursdulro ne fui élevé étéfondéel'al' Ics peupl esde la àceux de l'aulel.:lla is en 1823 Liguri e, était dès lestemps des Cha rles FélixIitréparer ce pr é-Romains,unedesvilles les plus cieux monument , qui renferme considérablesdclarégionTran- lescen dresde sonaugustoayeul ; spa da ne;11la chù tedel'empire, l'on avait déjà réparéUII anau -ellefutoccupéel'al'lesGolh s, et par avant lesdé~a' scom misdans ensuitel'al' Ic s Lon pobards, qui le chre ur,cesréparationsfur en l l' érigèrent eli duché, Déchirèe failesd'aprèsledessiùdeRu nza, dans lernoyeu-àge l'al' les fac- arc hitec te dcVer cei!. Le corps tionsde puissantèsfamilles, elle de St-E usèbe està còt é decelui fut forc éede se meltre sous le du Bieuh eur eu x Amédée, el les pou voir desVisconti , dont l'un . chapellcs mor tu aires où ces Philippe :llarie ,lacéda en 1527 corps sont dépos és, son t aussi àAmed é eVIIIdue IleSavoie. rem arqnables POUl' la rich esse

EGLISF.S, - La cathédra le esi desor ncmcn ts,

un des pl us beaux monu menls Leveslihuledel' églisefui con-sacrésdeVerceil; elleestdédiée slruit d'après le dessin hardi cl ilSt-Eusèbe, qui fut le premi er originaI du com toAlfieri, évòg uedudiocèse. EllefutCOII- La bihliothèque dc celte ca-st ru ite ver slarnoitiéduXVI siè- théd rale, qu'ona pu soustra irr-cle, l'al' Pellegrino Tibald i, et aux dévastation s des vundalcs lìxe l'attention POUl'sa bell ear- moder nes,con tient une collec -ch itecture . Les Frnnçais, pen- lion d'ancieu s mau uscritstrès -dant Icur dom ina tion enItalie , rare s, i'ìous citerons une copie cornmirc ut les plusgrand s dé- del'Evangile écri te de lamain gats dans ce ternpl e, ils hrùlè- rnèrne deSt-Eusèbe, dans le IV

rent les hois ad mir ahl emen tci- siècle, etque le roi Beren gari o seléqui ornaientle ehm ur , 1'1'0- filreli er magnifiqu em ent en ar-fanèreut le tornbeau du Bie n - geut avec l'tnscri pt ion su ivantc heure uxAmédée de Savoie, qui qui l'atteste:

l'remi hoc Ettsebius scripsit,solvi tqlle»etustas; Rex Berenqariussed reparavitidem,

SUl' la couvert ure du livreon SI-E usèherevètu deshahitspon -'oit,d'uncèté, Jésus-ChristSUl' lificau x, avec ces mols: E use-une esp è ce de tròne for mé de billS episcopus. Ce livre, si 11I 'é-deux zoues, or né es de pierres cieux pour son autiquité et sa précicuses,quel'oncroit repré- heaut é ar tistique , est enco re soute r la torr e et le ciel. L'E-Iplusprécieux pour le texte bi -vanuile est SUl' les genoux du blique, carl'oncroit que sa

VOl'-Chrìst ,et tou t uuìour,des orne- sion latine estcelleciiée1'31' 81-meutsrepréson tant desbranch es August in, et qu i fut usitécdans d'olìvier. Del'a ut re còtéonvoit Ics ternps primitifs de I'église

mon seigneur Boniface Fcrrcri, alo rsévè q ue deVerceil, eli t1é-tacha une feuille qu'il cuvova à la ville de Lau sanne , où l'òlI dc Sì-André, qui furenttraduits palo le cardinal Gual a ; les Leggi deireLombardiI écri tes sous le règue du roi Luitprando, l'al' cons équent avant l'ali 741j cl enlìn un manuscrit de st-cié -mCIII.

EGUSEDE ST- A:'ill RÉ. - Celte égliseful érig éepa r lecardinal Gua la de Bicch ieri,né àVerccil, quirernplitIcs fonct ions de non -ceaposto liq ue enAng lete r re du temps de Jean el de I1enri111, et qui jou a un gra nd ròle dans les all'ai res pol itiqucs dc ces lem ps-Ià. On voil sur une dcs portes latér al es ce card ina l eùtsubstituéelavulgate. Ainsi cemanuscrit est antéri eurà tout mnnuscrit grcc qui ex iste e ju-dicieux s'en rapp ortcutau texte de ce manuscrit , si con nu sous letitrede Codex t/er celleusis.

Les Evang iles s'y trouvent dans l'ordre suivnn t : Sì-Ma-'th ieu,St-J ean, St- Luc (q ui est appe léLu cano), el St- Maro. Il esi écr it l'al' cha pil res, à deux colon nes,l'écriture enesl de ve-nue si pàle qu'on :I de lape ine n-core souffe r tpur l'ìgnoran cedes hom m es, ca r dans le XI' siècle

Lua: elcti pat ri requedecusCargnala din alis Quelli eanon atqueartes, quelli sanc tio eanonicalis,

QuemlrlXdotavit , quelli pagina spiritu a lis.

Le ca rd ina l léguaà celteégllsc molis,exce pté cel uidupremier terr e',ilapporla dans sa patrie parmi lesqu els on distin gu eS~i le gen re d'architecture de ces Anloine dePadouejau-dessus.1 pays-Ià, el eli laissa lemodèl e ya un bas-reliefde ces t emps-lh-dau scel éd ilice . Le clo ch e r ne oùcem ème ab bé Gallo esi re -futcons tr uit qu' en l'an1399 par présenté à gen oux devant la Pierredel Ven ne. Vierge ,el Sl-Deni sdel'Aréop a-Les anciens tom beaux éle\'és ge est représenté élend;m t la danscelte églisefure nttOU5dé- main sursa lét e.

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-EGI.I SE DE SAINT-CH RIS TO P HE . dola Proven ce , ondii queStc -Cette églisemérite de fixe r l'at - Mari o-~Ia gd el a ine,St-Math ieu el tention pourlesbell espeintures St-Lazare, s'embarq uè rentaprès à fresq ue don t elle est or née, l' ascen sion du Seigneur, et vin-faitesparGaudenzio Ferrari, né rent débarqueravecd'autres di-en 1484à ValduggiaI près dc sciplesà l\larseille, doni St-La-Verceil. Cet ar tiste célèhre,qui zaredevint le premicr évèque, sem b le dans guelques-uns dc et où i1sfurent reçus par~Iaxi­

sestableaux imiter uaphaél,fuI min , qui fuI ensuite évèq ue élè ve de Giovenone, et celui-c i d'A ix. On voit SUl' ce tablea u, était si lìer d'un tel élève ,qu'il danslelointain,la villedc Mar-sign ait quelquefois: •Geronimo se illej

Giovellone , maestro di Gauden- IlAseensione dellaMaddalena zio. " Il est à regreller que ces entourée d'an ges, qui lui for -exce lle n tes peintures aient été meniuncor tége;

retouchéesPaI' un pince au trop LaNatività della Vergi ne.On inféri eur àcolui de Gaudenzio. voit dans le fond du ta'bleau la Lessujets de ces tableaux son t Présentati onau tem pi ej Ics suiva n ts: L' A ssunzionedella

Vergine.-LaCrocifissione,dont lesfìgu - Le gro upe des ap ùl r es est tr ès-l'es se déta ch ent adm ira bleme nt bie npeinlj

d'unfond ohscur ; on voit d' un La ,\-atività del Signore. La cétéle centur ion romain, ar mé vlergcestà genoux devantl'en -cl habillé comme les militaire s fanl Jésu squeles anges lui pr é-du tempsd ellenriVIII; lafigu- sen tent ; idée aussibell equ'or i-re qu iestàdroi le esilepor tra it ginale. On voit dans lelointain d'un Iteli gieu xnomméP.Angel o N.-ll. del' An non ciat ion et la vi-dci Corrudi ,qui nvait dem a ndé sileàStc-àla rie Elisah elhi Fer ra r ipour taire cespeintures , L'Adomtion tles Mage.f. On et ava il étédanslecouve ntdegli peut.j ugerqueparrniIcslìgures Umiliati, auquel celle église dc cellecompositionily a beau-avaìt d'abord apparte n u. Il y a coup de portra its,pa rexem plo, autour delacroix quelqucs an- la figure duroi qui esi ilgenoux ges, les uns dan s l' atti tu dc de devantla vie rg ej despages,des recevoir l'fune du bon lar ro n écuy ers,etc.,complète ntla

scè-•Gestass,su iva nt lalégende;el neet l'e nrichisse nt ;

les aut l'es, dans l'nttitu de de Si-N icolas,évéqllC deBari, et ple ure rsurl'à me perd ued u lar - "Ste-Cathéri nede Sienne.- Cotte ron impénite nt «Dysm use; sainte paratt dans l'attitudede Il Salvatorechepredica, pein- présent erdeuxnovicesilla v ier-turoadmirab le, muis eudomma- ge, je un esfilles quiélaienl(lela

geej noble famille des Liunara , de

C7istoal conventodelFariseo, Ver ceil.On voil daus cette pein -où,en tro 1111 gr and nom hr e de turo il frcsquc, out re Ics por -lìgurc s ,011voit la Magdelainelui traitsdesdeux je unestilles,celui baisant les picds ; du peintreméme, el le portrait Unascenarieavata dalla vita de Iliero nimc Glovc no nc , SOli

diSanta Maddalena.()'aprèsune mallre clcelui dc Bernardiu La-anc ien netradition deshabitants ninoj

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--SaliCristoforo et uutl'esfif/lIl'es.

Sain t Cr istofor o est repr éscnt é sous Ies formes fTi~antesques qu'o na coutume de

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attribuer . On voit dans ce mème tabl eau St- Jean Bap tiste ; les portraits de de uxReli gieuxdits Umilia ti, quipeut-ètre ont fa itdon dece tab lea u; au-dessus dc ce po r-tra it est la vìerge. Lanzi eroit que ce por tr ait est d'ungrand prix,

011rem arl{uedanslasacris tie 1111 tableau représenta nt Sain t-l'ienemartyr,etunmoine, marquisdeLeganezeùtdefen du 11 ses artilleurs de tir er contro l'église de Sain t-C hris top he ; et ellesfure ntencoreplusendo m-magées par les Français, qui con ver tire nt celle é~liseen une espèce de prison, ou l'on ren-fer ma it les consc r its refractaires (lIlesprisonnicrs de gue rre,ces hommess'amusèrent11 gùter les murs de leur prison .

L'églis ede Snint-Bernardinest rem ar q uablepourquelqu es res-tes d'architecture lorngobardc, cl pour1111tres-belalfresque ,où

est rcpr ésenté Jésus-Christ au moment d'ètre mis sur lacro ix, et la Viergequis'évanouit.

011 conse r ve dans la maison

~Iarian o une bell e peintur e à fres q ue de La lli71 o,représentan l la fète des Dieux , et quel ques autres fìgures allégoriqu es et mytologìques: mais la salle où estcette peinture est con ve rtie en ungre nie r.

Ilyaaussi à Yerceil un bea u théàtre où l'on représento dc bounes pièces.

Danslaprovince dc vercciìiI Yaquelques bour gs don t nous crovons devoir fai re rne n tion, leh: (Iue Tri no, sur la rive gau-che ( ul'ò,àpeu de distance dc la célèbre abbaye de Lucedio; Cresce nt ino, qu e l'on prétend avoir été éle vé sur Ics ruines dc l'antiqu o Quadrata ;Santhià, célèb repour des siéges qu'ello dutsoute nir ,et patriedusavanl Durundi ; Ciglia no, village forI riche , mais d'un asp eel trist ej

Gattin ara, ren ornm e pour ses vins,el quelafamilleArbori oa de-failede Bon nivet11Abbiateg ras-so en t524; enfln Masser a no,' jadischef-Iieud'une prin cipaute, fief del'église,eloùs' élèvel'an -cienchàteaudeces princes.

T O YA RE

Celle ville,unedesplus riches

I

sur un plateau enl re deuxriviè -pour son commerce, importante res, l'Agogn a el le TerdopplO!

pour sa position,esI aussi d'un aumilie ude la vaste plaine qUI aspect pitto res que, étaiit hàtie

I

s'é tenddu Sesia aliTessinetau

"J/

3HJ

-Pli, IcsAppenins,le~Io nl'iso, le di:oni,elleeutà soulfrir Ics rnè-Monrosa cl ic Simp lon born en l mesmaux que les autres ville';

l'horizon el présentcnl un ma- du mO~'en -àge ; jusqu'au mo -gn ifìq ue panorama. ment ouelle se hvra aux ducs

Celteville a loujou rs eu une de~lil;lII .

piacedistin gu ée dans l'histoirc; Lorsqu e Ics Esp agnol s s'ern-du tcm ps des Rom ai us , tan d is parèrent du Mila ua is, Novare que Astiel Turin n'étaient cn- parlagea le sort de cc clue hé ; core que des colunies, ~ovare cileap pa r tin t eus uite il la mai-avai t déjà letilredcville , cl clic son d'Aut ri ch e ,qui, en ve rt udu appnr te na it ;\ l'illustr e tribu traitèdu 18 nov embre 1738,la Cla ud ia,c'étai tsous l'empire de céda à Charles Emmanuel III; Nér n n, On sa it qu'elle était la colui-c is'occ ur a duhonheurde résidcn cedes principau xmaqis- celte ville, et i s'enoccu pa avcc trats , qn'ilyavait des colléges succès. Occupée ensui te parIcs po u r Ics prètres, qllelà s'éle va it Françai s, elle fut rendu e à ses des templcsmajestu eux,desan- sou verains à lachù te (le l'c m-rels élevés pou r accomplir des pire.

vreux, de superhes mausol ée s, C'est prèsdc :'iO\'a n ' qu'a CII

de maguiliques édifìccs puhlics lieu la sanglnnte bntaille en t re cl pr ivés,des hainspub lics,don t IcsAutri ch ien s cl IcsPiérnontai s Ics eaux venaie nt de la rivièro le~3mars 1849, butaill e où40 Sesia, au moyen d'unacq ued uc milleItalien s,mèmeun peudé -don til reste eucoredesvestiges. courngés,com bnt tiren t pen da n t Maisnousparlero ns dc cesres- sep thour es cont ro60mille AI-Ics d'antiquitéàl'a rticleAr ch e o- Icman ds. On l'il Cha r lcs Alhert

lozie. pend ant le com ba ts'ex po serau

"Ta cile ,enparlanlde Novare , plus gra nds dan gers , et plus dit qu'ell e était com me ;lIHan , d'une foisilsetrouva au milie u Yerceil, Ivrée ,fìrlllissilllatrans- d'Unegrèle'de proj eclil e s ,aussi padallaregioni.~lIlunicipia. vit-on tomberàcòlédelui plu-Depuis la ch ù le de l'em pir e sieurs carab inie rs cl quelq ues roma in jusq u'uurègn edeOdoa - ofllcie rs.Vovantln défait e inévi-ere,celle vill e eut heau coup à table , H alla' sepia cer là oùl'u r-souffrir des ir rup tions desVisi- Iiller ieennem ie causai t le plu s qothscl des Ilun s ; cl ne rcd e- de ra vnges, clcomme legénéra l vint flor issan te que sous le rè - Dura ndo lepressa il dc s'élo ic ner gnedeThéo d or ic, qui rogna su i- de ceIicu ,il lui rép ondit: lais-vanI Ics usag es cl Icslois des se:- moimOIll'ir,c'est1/10/1demier Romains . Réu uie penda nl quel-

JOIll·.

Quelq ues heures après se queste mps à l'emp ircgl'CC,elle dirigea nt le n te melll vers No-tom ba uie ntòl ali POUVOil' de s l'are, Cha rles AlberI disail e n-Longo ua rds , auxqu els Cha r le - core al'ee l'accen t d'un e pro-magne l'enl eva pOlli' l'éri ger en fonde doul eur , la mort n'a su comlée. Tanlò! ville libre , du gue{airedefIIoi, Peu d'in slant s tem ps de ArrigoIV; ta nt òl dé- après il ré un il ses géné l"a ux, cl chirée pa rdes l;ue r resch'ileseliil leu r dem anda plusicurs fois lesfacti on s (IesSanglligniel des s'iléla il russiule desefra)'erun Rotondi,desBianchieluesBal- passa gepouralicI'àAlex andri e ,

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-tous répon dir en t négativemeut. ccMdc/d olli, archite cle distin-Alors lour montrant le Due de guéde Novate.

Savoie, voilà , 10Ul' dit-il, uolre Cellevast e basilìque est tor-roi,il les embrass a , et prcnant méede troisnefs,dont les voù-un airsorei n POUI' (es consoler, tes son t soutenu es par des co-il parti t celte nuit mème (exilé lonn es de différentes espèces ,

Savoie, voilà , 10Ul' dit-il, uolre Cellevast e basilìque est tor-roi,il les embrass a , et prcnant méede troisnefs,dont les voù-un airsorei n POUI' (es consoler, tes son t soutenu es par des co-il parti t celte nuit mème (exilé lonn es de différentes espèces ,

Nel documento SA LUCES (pagine 40-56)

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