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BRO B riq u e creu se. — Brique percée de

trous cylin driques, destinés à alléger la construction des cloisons.

flottante. — (C o n str.) — Brique fabriquée avec de la m agnésie poreuse ou avec des tufs siliceux, ayan t la pro- priété de flotter sur l ’eau et que l’on em- ploie, à cause de leur in fu sib ilité, dans la construction des fourneaux à réverbère.

— h ollan daise. — Brique à demi vitrifiée par une cuisson p rolon gée.

réfractaire. — Brique infusible ne contenant pas de fer ni d ’o x y de de chaux et destinée à la co n stru ction des fours pou r la fab rication de la porce- laine, de la faïence, des ém aux, e tc ., etc.

B riq u etage. — C o n stru ctio n ou revêtem ent en m açonnerie de briques.

B r is e -g la c e . — A ngle saillant placé en am ont des piles d ’un pont pou r rom pre les glaçons au m om ent de la débâcle. — (V o y . Avant-bec.)

B r is e r un écu. — (B las.) — Le co u v rir de b r isu r e s.— (V o y . A rm es bri- sées et B risu r e.)

B risis. — A ngles form és dans un com ble orné de mansardes par l’in tersec- tion des faux com bles et du v rai com ble.

B risu re. — (Blas.) — Changem ent que l ’on fait subir aux arm oiries pour distinguer les branches d ’une m ême fa - mille. O n brise un blason soit en chan- geant les pièces, so it en changeant les ém aux et co n servan t les pièces, so it en m odifiant le nom bre de ses pièces, soit en ajoutant des pièces nou velles: le lam- bel, la b ordure, e tc ., e tc ., soit enfin en écartelant les arm es d ’une m aison avec celles d ’une autre m aison.

B ro ca rt. — Étoffe de soie brochée d’o r ou d ’argent avec m otifs d ’orne- m entation com posés de rin ceaux, d ’en- roulem ents et de sem is, de feuillages, de fleurs, d ’anim aux, de figures, etc., etc.

B r o ca te lle . — Étoffe im itan t le b ro cart, niais beaucoup plus légère et beaucoup m oins riche que ce d ern ier;

l’or et l’argent en sont exclus et la soie n’ y entre que pour une p artie, dans le broché seulem ent.

sa boutique. D ans ce fouillis sans nom l’am ateur cro it p arfois trou v er des perles fines qu’ il paye bravem ent et qui, chez la i, ne lui fo n t plus l ’effet que de vu lgaire stras. Le bric-à-brac d’ autrefois est l’aïeul du bibelot d ’a ujourd’hui. — Beaucoup d ’ateliers d ’artistes sont en- com brés de bric-à-brac.

B rin s de fo u gère. — (A rch .) — D écoration de m aison gothique form ée

de petites poutrelles, de petites lam el- les, de briques ou de petits pavés de terre cuite posés obliquem ent et sy - m étriquem ent par rapp ort à des axes h orizon tau x ou verticaux.

B r i o . — (P e in t.)— Un tableau a du brio, lorsqu ’il paraît a v o ir été exécuté sans fatigue, avec entrain et com m e du prem ier j et.

B r iq u e s . — (A rch .) — M orceaux d ’argile séchés et cu its au fo u r, o f- frant la form e de petits parallélipipèdes rectangulaires. L a brique est usitée sur­

to u t dans les co n stru ction s industrielles, rurales, faites économ iquem ent. D ans les constructions artistiques, le mélange de briques et de pierre a donné cepen- dant d ’excellents résultats. Sur les fa- çades des châteaux du temps de Louis X I I I , la brique form e des panneaux qui s ’en- cadrent à m erveille dans les pilastres de pierre. — L a brique estam pée d ’o rn e- ments a récem m ent fou rn i d ’ingénieux m otifs de d écoration dans la co n stru c- tion d'annexes au South K en sin g ton M uséum de Londres.

c o m m u n e . — (Constr.) — B riqu e form ée d ’argile sablonneuse m é­

langée de m arne argileu se, calcaire ou lim oneuse.

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véritable bronze qu’on peut renouveler aussi souvent que cela est nécessaire. science m erveilleuse et de connaissances p ratiqu es fo rt étendues. A près eux il ches les plus florissantes de l ’a rt décoratif.

d'art. — Statuette ou m édaillon, curiosité. Si depuis les perfectionne- ments m écaniques la broderie n’in té-

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B ronzerie. — A rt du b ro n zie r. Se

dit aussi des ouvrages de bronze.

B ronzeu r. — A rtisan qui travaille à la fab rication des b ronzes, et plus p articulièrem ent celui qui fait le B ron - zage (voy. ce mot).

B ronzier. — F ondeur en bronze, fa b r ic a n t de bronze d ’art.

B ro q u ette. — (Peint.) — C lous à tête plate à l ’aide desquels on fixe une toile à peindre sur son châssis. — (V oyez C hâssis.)

B ro sse . — (Peint.) — Pinceau d’un

poil ferm e, gro s et assez dur. La brosse ne se term ine pas en p oin te, elle sert à poser et à étendre les couleurs.

B ro sse r. — (P ein t.; — Brosser v i- goureusem ent un tableau, c'est l’exécuter avec ve rve et sans m ièvrerie. O n dit aussi qu ’un décor de théâtre est brossé avec énergie, qu’un m orceau de peinture tém oigne d ’une grande vigu eu r de brosse pour indiquer que le tableau est exécuté franchem ent et largem ent.

B ro sse u r. — T h . G au tier a qua- lifié le T in toret « d ’intrépide brosseur ».

Un brosseur est un peintre qui fait usage de la brosse avec verve et désin­

v oltu re. C ependant si l’expression peut être prise en bonne p art, elle peut l ’être aussi en sens co n traire. L ’épithète de

« brosseur » adressée à un artiste tend à indiquer que l ’artiste a exécu té trop hâtivem ent une œ uvre qui eût dem andé des études plus sérieuses et une exécu­

tion m oins précipitée.

B r o y a g e . — O pération au m oyen de laquelle on réduit en pou d re plus ou ! m oins fine les m atières em ployées dans certains arts, les argiles dans la céra- m ique, les couleurs dans la peinture. — (V o y . B royer.)

B royé. — (Blas.) — Se dit de d if- férentes découpures, o u festons.

B royer. — (Peint.) — Les couleurs à l’huile se broient su r une table de

p orphyre ou de granit à l’aide d’une m olette plate et très polie. A utrefois les p eintres b royaien t eux-m êm es leurs cou - leurs.

— (A quar.) — Les m iniaturistes et les peintres sur porcelaine b ro ien t les couleurs en poudre qu’ils em ploient avec un m élange soit de gom m e, soit d ’es- sence.

B ro yeu r d’ocre. — É p ith ète iro - nique que l ’on donnait au trefois aux peintres m édiocres.

Broyon. — (Peint.) — P etite m o- I lette de cristal,

de porcelaine ou de m arbre ser- vant à b royer les couleurs, soit sur une glace dépo- lie, soit dans un godet de porce-

laine. L e b royon offre le plus souvent la form e d’ un tronc de cô n e dont la partie supérieure est légèrem en t co n - vexe et où l'on peut ap p u y er la paume de la main

Bruine. — Effet de co lora tio n , sous form e de taches irrégulières, par éclaboussures. L e ja s p é , sur les tranches des volum es reliés, est obtenu par ce procédé, utilisé aussi en lithographie p our obten ir des fon ds irrégulièrem ent tachés.

B rûle-parfum s. — So rte de vases en m é ta l, de form e très varia b le, dans lesquels on fait brûler des par- fum s que l ’on p ro - jette sur des ch ar- bons incandes- cents. C ’est dans l’extrêm e O rien t, l ’ Inde, la Chine, le Japon que l ’on trouve les brûle-parfum s les plus beaux.

C ertains affectent la form e de chim ères, de dragons, d ’anim aux fan tastiques, et par leurs gueules s’exhalent des vapeurs odoriféran tes. D ’au tres, au con traire,

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ont la form e de vases p erforés d’ou- 1 vertu res disposées su ivan t des dessins géom étriques.

B rum e. — (P eint.) — O m bre légère à dem i transparente voilan t légèrem ent l’atm osphère à l’h orizon . On dit : un loin tain b ru m eu x, un ciel brum eux, une m atinée brum euse.

B run. — (P ein t.) — C ou leu r d’ un ton ro u x plus ou m oins chaud et plus o u m oins som bre, obtenue avec des o cres o u verres colorés par des oxydes m étalliques. Il y a aussi des bruns déri- vés de la houille; ils appartiennent à la série des couleurs d ’aniline.

— rou ge. — (Peint.) — V ariété du brun obtenue par un degré diffé- rent de calcination des mêmes m atières qui fourn issen t le brun.

— (A quar.) — Couleur d ’aquarelle d ’un ton rouge brique légèrement ocreu x.

Cette couleur est opaque. L o rsq u ’on la m élange dans un g od et avec d ’autres teintes elle se dépose rapidem ent.

Brunir. — (A rt déc.) — Brunir, c ’est polir l'o r , l ’argen t, et de la sorte les rendre brillants à l’aide d ’ une pierre agate ou sanguine, en form e de dent de loup. Le métal bruni m iro ite; vu sous un certain angle, il paraît d ’un ton plus foncé que le métal m at, et même pres- que noir, d ’où l ’expression brunir.

B ru n issa ge . — O p ération qui co n - siste à faire disparaître, au m oyen du B ru n isso ir ( v o y . ce m ot), les aspérités d ’un m étal et à ramener toutes les m o- lécules de sa surface dans le même plan, qui réfléchit alors toute la lum ière. — (V o y . B r u n ir .)

B ru n issa n t. — (Peint.) — O n dit que des couleurs so n t brunissantes, pour indiquer qu’elles on t une tendance à m onter de ton et à devenir plus som ­ bres que lo rsq u ’elles étaient nouvelle­

ment posées.

B ru n isseu r. — A rtisan qui donne Te brunissage aux m étaux.

B ru n isso ir. — (G ra v.) — O util d’acier de form e plus ou m oins allongée, m ais ne présentant pas d’arêtes vives.

O n se sert du brunissoir p ou r effacer des ta i lle s peu profondes. O n se sert

aussi à deux m ains d ’un brunissoir cou rb e pour brunir le cu ivre avant de le g ra ver.

B ru n issu re . — A rt du brunisseur sur m étaux, et aussi poli donné aux objets de m étal par le brunissage.

B ru t. — O u v ra g e inachevé ou ébau- ché. Une surface m urale, un parement non taillé, non p oli, prennent le nom de j surface b ru te , de parem ent brut.

B r u x e lle s . — (Peint, sur ém ail.)

— Petites pinces form ées de deux lam es plates em brassées par un anneau qui com prim e l ’objet saisi. C es pinces ser-

j vent à saisir les plaques de petites di- m ensions.

— (A rt déc.) — P oint de dentelle im proprem ent appelé point ou applica- tion d ’A ngleterre.

B u crân e. — (A rch .)-— C rân e de b œ u f dont les cornes

sont enguirlandées de feuillages et qu ’on em - p loyait com m e orne- ment de frises dans les jo rdres antiques. Les bu-

crânes so n t placés ordi-

nairem ent dans les m étopes ou inter- valles qui séparent deux triglyphes. Il y a des bucrânes avec ou sans bandelettes en guirlandes, et leur représentation dans l’architecture antique avait pour but de rappeler les victim es offertes en sacri- fice.

Buffet. — (A rt déc.) — M euble dans lequel on dépose les vaisselles, Fargenterie et les cristau x de table. Les buffets sont aussi de véritables dressoirs sur lesquels on place des o b jets, mais avec cette différence tou tefois que le dressoir pouvait ne com porter que des gradins, tandis que le buffet c o m p o r te to u jo u r s une so rte d ’arm oire b asse ferm ée par des portes plus ou m oins richem ent ornées.

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Buffet d’eau. — (A rch.) — M uraille

verticale co n tre laquelle sont appliqués les uns au-dessus des autres des gradins et des vasques d ’o ù l’eau déborde dans un réservoir inférieur.

— d’orgue. — ( A r t déc.) — C o n - stru ction en charpente recouverte de m e- nuiserie supportan t et renferm ant le m écanism e et les tu yau x des orgues d ’église. L es buffets d ’orgue du XVe et du XVIe siècle étaient souvent ornés de peintures. A u XVIIe et au XVIIIe siècle, ils prirent un caractère d é co ra tif d ’une am pleur rem arquable; posés en en cor- bellem ent sur des statues ou des colon - nes, ils étaient d écorés de sculptures avec une abondance extraord inaire.

B uire. — (A rt déc.) — V ase à col

plus ou m oins élancé et de form e sem - blable à celle des burettes. Il y a des buires en terre d ’ un profil robuste, et des buires persanes en m étal d'une grande élégance.

B u is. — (G rav.) — Le buis est un arbuste (fam ille des Euphorbiacées, tribu des Buxacées) dont le bois est très dense, très ferm e, d ’un grain égal, serré et d ’ une belle couleur jaune brillant. Les souches — ou broussins — sont veinées et très recherchées p ou r les ouvrages d ’art. P our la gravu re sur b o is, on se sert de petits blocs de buis de la hau- teu r des caractères d ’im prim erie. Pour les gravu res de grande dim ension, on ju xtapose de petits blocs de buis à l’aide d ’un collage et on les m aintient serrés par des vis à écrou qui les traversen t de part en p art et perm ettent de les sépa- rer au besoin, lorsque — com m e dans les gravures destinées aux journ aux illus- trés — on veut, pour hâter l

’achève-ment du travail, distribuer chaque petit bloc à un graveu r différent, ce qui ne nécessite que des retouches de raccord . On trouve quelques pieds de buis dans le Jura, mais c ’est l ’O rient qui p rod u it la plus grande partie de ce bois, des- tiné à la gravure.

B u lle . — (A rch .) — T ête de clou , richem ent o r-

née de sculp- tures et em - ployée dans la décoration des portes d ’archi- tecture m onu- m entale. Les bulles peuvent servir de m ode d ’assem blage

ou sim plem ent de m o tif d ’ornem enta- tion. Les bulles des portes du Panthéon sont de dim ensions gigantesques. O n donne aussi le nom de bulles aux clous de métal placés com m e ornem ents sur des objets en cu ir, coffrets, baudriers, etc.

B u relé. — (Blas.) — Se d it de l’écu ou de toute pièce honorable qui se com - pose de B u relles (voy. ce m ot).

B u relle. — (Blas.) — Fasces dim i- nuées ou petites bandes alternant au nom bre toujours pair de six , huit et plus, et d ’ém aux différents.

B u re tte . — V ase à g o u lo t, à col plus ou m oins élancé, à panse évasée et parfois pourvue d’anses. Les bu- rettes destinées au service de table sont le plus sou- vent en crista l. T ou tefois il existe des burettes en faïence de R ouen, de M ar- seille, etc. Enfin les deux burettes des- tinées à contenir le vin et l ’eau pour le sacrifice de la messe sont ordinairem ent en m étal, très finement travaillées et placées dans un plateau de form e ovale.

B u rin . — (G ra v.) — Instrum ent d’acier tranchant à l’ une de ses extré- m ités. il y a des burins carrés et des

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burins en losanges. Les burins carrés donnent une taille large et peu p ro ­ fonde qui se trad u it à l’im pression par des teintes grises, parce qu’elles

reçoi-vent peu de n o ir. La pointe du burin est la partie aiguisée, les ventres sont les deux côtés inférieurs. Les burins sont m ontés dans un m anche, garni d'une viro le, dont on coupe un côté pour pouvoir tenir l ’instrum ent bien à plat sur le cu ivre. Pour creuser une taille, on fait glisser le burin h o rizo n ta- lem ent; pour rentrer une taille, on la prend du côté opposé à celui dont elle a été creusée. Enfin, pour exécuter des tailles courbes, 011 fait tourner de la main gauche la planche posée sur un coussinet en même temps que la main droite d écrit un m ouvem ent sem blable.

(G rav.) — O n appelle G ravure au burin celle qui s ’exécute avec cet outil sur une planche de cu ivre ou d ’acier.

Par extension, on d it aussi de la planche terminée et des épreuves qui en ont été tirées : v U n burin, un beau burin ».

B uriner. — G raver au burin.

B u rin iste. — G raveu r au burin.

Burin-éehoppe. — Burin dont la coupe offre une assez large section ellip- tique. O n dit aussi la n g u e de chat.

B u rin grain d ’orge. — Burin dont la coupe est en form e de losange allongé.

B u ste. — Partie supérieure du corps humain et aussi représentation peinte, dessinée, gravée ou modelée de la tête, des épaules, de la naissance des bras et d ’ une partie de la poitrine. Un p ortrait en buste représente la tête et le haut du co rp s du m odèle sans les m ains. U n buste en sculpture est dit

« coupé à l’antique », lorsq u e, le cou

étant nu ainsi que la naissance de la p oitrin e, celle-ci est coupée verticale- m ent. D an s les bustes m odernes on m ontre une partie des bras et le m odèle est costum é, parfois drapé dans un m an- teau qui cache la partie inférieure de la poitrine. On dit aussi que dans un tableau telle ou telle figure a un buste m al p ro p o rtio n n é ; que, dans une sculp- ture, on ne sent pas le buste sous les vêtem ents, pour désigner le défaut de p rop o rtio n ou d ’exécution corresp on - dant à cette partie du co rp s.

B u s te à l ’antique. — ( V o y . B u ste.)

gém iné. — (Sculpt.) — Buste à deux faces, représentant deux p erson - nages de visage différent et com m e pla- cés d os à d o s, mais souvent confondus à la jon ction des parties supérieures de la tête et de la coiffure.

B u tée. — (A rch .) — M a ssif de m açonnerie servant à contre-balancer la poussée au vide d ’une voû te. O n dit aussi boutée.

B yza n tin (art). — A rt qui prit sa source à Byzance et ajou ta un sentim ent chrétien aux rém iniscences de l ’a rt g rec et de l ’a rt rom ain . L a v oû te rom aine est restée le principe de l ’a r- chitecture b yzantine, qui supprim a les entablem ents, éleva des coupoles cin- trées et décora les chapiteaux d ’ara- besques. Le style byzantin eut une grande influence sur l ’art du m oyen âge. Les m osaïques et les peintures sur fond d ’o r, les ivoires d’o rigin e byzan- tine parvenus jusqu’à nous donnent une haute idée de cet art exceptionnellem ent riche et brillant qui, pendant de nom - breuses années, im posa une form e très caractéristique aux œ uvres de l’époque (328-1204).

B yza n tin es. — (N u m .) — M o n - naies frappées depuis C o n stan tin ju s- qu’à la chute de l’em pire d’ O rien t.

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