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LA BASILICATA PER AREE Dintorni di Potenza

Nel documento POTENZA Surroundings of POTENZA (pagine 27-51)

Mar Tirreno

Mar Jonio

• Pescopagano

• Oppido Lucano

• Pietragalla

• Avigliano

• Cancellara

• Bella

• Baragiano

• Muro Lucano

• Castelgrande

• Ruoti

• Balvano • Picerno

• Vietri di Potenza

• Savoia di Lucania

• S. Angelo Le Fratte

• Sasso di Castalda

• Satriano di Lucania

• Brienza

• Tito • Pignola

• Abriola

• Calvello

• Anzi

• Laurenzana

• Vaglio di B.• Tolve

• S. Chirico Nuovo POTENZA

Vulture-Melfese

Valle dell’Agri

Pollino Maratea

e dintorni

Dintorni di Matera Dolomiti Lucane

e dintorni

MATERA

Costa Jonica e dintorni

Romantique, niché au sommet de l’un des monts de l’Apennin lucanien, le village se dresse à plus de 900 m d’altitude et se caractérise par des ruelles escarpées qui font place à des maisons accrochées au rocher, avec des vues dégagées à cou-per le souffle. C’est le village de San Valentino, le saint patron du lieu. En hiver, un voile enchanté semble s’y poser et le paysage enneigé devient féerique. Les pistes de ski du Promontoire Sellata-Arioso sont particuliè-rement appréciées et fréquen-tées par les skieurs. Même en été, les possibilités de pratiquer des sports de plein air sont nombreuses ; à cela s’ajoutent les curiosités suscitées par les lieux sacrés et culturels, tels que l’Église Mère, construite au XIIIe siècle et dédiée au saint patron des amoureux, ornée d’un beau portail en pierre et de la «Porte de Saint Valentin»

du peintre-sculpteur Masini, le Palais Baronnial, les vestiges du château féodal et le musée

virtuel dédié à deux grands artistes lucaniens du XVIIe siècle, Giovan-ni et Girolamo Todisco, dont les peintures sont conservées à différents endroits de la Basilicate. À quelques kilomètres de la commune, le long de petites routes évocatrices bien qu’escarpées, sur les pentes du Mont Pierfaone, se trouve le Sanctuaire de la Madonna di Monteforte, gardien de merveilleuses fresques de Giovanni et Girolamo Todisco et d’autres peintres locaux de différentes époques.

D’origine ancienne, le village d’Anzi s’élève sur le Mont Santa Maria. C’est ici qu’est conser-vée la quatrième plus grande

«Crèche poly-scénique» d’Eu-rope, réalisée en 1997 par Antonio Vitulli, en plâtre et matériaux de récupération, reproduisant toutes les plus belles vues de la Basilicate.

Parmi les lieux de culte, il est intéressant de visiter l’Église de Santa Lucia, de style roma-no-gothique, qui contient un tableau de Pietrafesa, l’Église Mère de San Donato, saint patron du village, qui conserve une relique du saint, l’Église de San Giuliano, datant du XVIe siècle, mais modifiée au cours des siècles, et l’Église actuelle de Sant’Antonio, qui était au-trefois la chapelle du Couvent des Frères mineurs de l’Ob-servance, avec le précieux

ta-bleau du Incoronazione della Vergine (Couronnement de la Vierge) de Pietrafesa. Juste à l’extérieur du centre habité se trouve l’Église de Santa Maria, un véritable joyau artistique avec un cycle de fresques de Todisco datant du XVIe siècle, particulier et suggestif également en raison de sa position dominante sur le Mont Siri d’où l’on peut admirer un spectaculaire panorama.

Toujours sur le Mont Siri, le Planétarium-Observatoire astronomique mérite une visite. Cette structure mène des activités éducatives, tech-niques et scientifiques grâce à l’utilisation d’un puissant télescope.

Le village est gardé par les ruines du château datant de l’an 1000, d’où il est possible d’admirer toute la vallée, le Barrage de la Camastra et le Lac de Ponte Fontanelle.

ABRIOLA ANZI

Petite ville animée par des formes architecturales de dif-férentes époques, des dialectes et des saveurs inimitables et rendue unique par les traces laissées par des personnages illustres tels que la figure aux multiples facettes d’Emanue-le Gianturco, célèbre juriste et homme politique à qui est dédié un monument de bronze situé sur la place portant le même nom dans la ville, et le célèbre Giuseppe Nicola Summa, plus connu sous le nom de Ninco Nanco, l’un des protagonistes

du phénomène du brigandage post-unification, lieutenant de confiance de Carmine Crocco.

Le Palais Palomba et le Palais Doria du XVIIIe siècle et le Pa-lais Labella du XIXe siècle sont magnifiques, tout comme un autre élément très évocateur du Moyen Age, la porte du faubourg «Arco della Piazza». Particuliè-rement intéressants du point de vue historique et architectural, ainsi que du point de vue religieux, sont: l’Église de la Madonna del Car-mine, dans la partie haute et ancienne de la ville, avec une structure datant du Moyen Âge et restaurée à plusieurs reprises, et le temple dédié à San Vito, où sont conservés des trésors artistiques tels que des peintures attribuées à Bresciano et au lucanien Gian Lorenzo Car-done et une statue en bois représentant le Saint.

À quelques kilomètres de la ville, à Lagopesole, un petit et charmant hameau d’Avigliano, se dresse le magnifique château de Frédéric II.

Pavillon royal de chasse, il servait de refuge aux brigands et abrite au-jourd’hui le Musée de l’émigration lucanienne et des salles aménagées à la mémoire des anciens fastes de Frédéric II.

Sur un éperon au centre du village se trouvent les ruines du château Girasole du Xe siècle qui, construit par les Nor-mands, a subi diverses modifications au fil du temps. Autour de la forteresse se trouvent de petites maisons aux couleurs vives et aux cheminées d’une forme particulière, interrompues uni-quement par d’anciens palais seigneu-riaux comme le Palais Laspro, le Palais Lenzi et le Palais Cecere, éléments qui,

ensemble, créent une atmosphère de conte de fées, que vient en-core renforcer la beauté intemporelle du Couvent de Sant’Antonio et des petites églises dédiées à Santa Maria di Costantinopoli et Santa Maria Assunta.

Immergée dans les bois de chênes, de hêtres et de sapins au cœur du Marmo Melandro, la commune de Baragiano est un véritable écrin de vestiges archéologiques conservés, pour la plupart, dans le célèbre Archeoparco del Basileus où il est possible de visiter la tombe du roi des Peuketiantes, en-terré avec les armes, et de nombreux autres vestiges

da-AVIGLIANO BALVANO

BARAGIANO

tant de la période comprise entre le VIe et le IVe siècle avant J.-C. Outre un parcours spé-cialement conçu, un Archéo-lab, centre d’interprétation archéologique avec trois salles multimédia, y a également été aménagé. Les ruelles de la commune serpentent entre d’anciens bâtiments, palais

nobiliaires et petites églises, longeant les vestiges du «château», un bâtiment majestueux au plan rectangulaire construit avec des pierres provenant des ruines des remparts.

Elle a des origines prénor-mandes et, au fil des ans, a fait l’objet de nombreuses domina-tions dont les traces font au-jourd’hui de cette commune un écrin de trésors suggestifs, ren-dus encore plus fascinants par le cadre verdoyant et bucolique qui les entoure. Le petit centre habité est caractérisé par des

portails datant des XVIIe-XVIIIe siècles, par une splendide Église Mère du XVIe siècle dé-diée à la Madonna delle Grazie, qui regorge de fresques, et par le château aragonais qui brille par sa beauté architecturale au milieu des maisons colorées de la commune.

C’est une charmante cité médiévale dominée par le château Caracciolo, au beau milieu des paysages natu-rels de l’Apennin lucanien Val D’Agri Lagonegrese. La route qui mène au manoir est singulière et caractérisée par de larges arches en plein cintre qui encadrent l’une des nombreuses ruelles de la commune. Ici, entre les palais nobiliaires, les portails et les porches, il est facile de faire un bond

en arrière dans le temps et de res-sentir une atmosphère surréaliste.

Sur la Piazza del Municipio, il y a également une statue en bronze du juriste Mario Pagano, originaire de Brienza et martyr de la République napolitaine. La même place abrite le couvent des Frati Minori Osservanti

(Frères Mineurs Observants), aujourd’hui hôtel de ville, dont le cloître est décoré de splendides fresques, et l’église attenante de l’Annun-ziata, qui possède une peinture sur bois représentant la Déposition sur le maître-autel. L’église du Santissimo Crocifisso est charmante et entourée de bois. Selon certaines sources, elle remonterait à 1237. Le petit bâtiment à une seule nef contient des fresques du XVIIIe siècle.

BELLA

BRIENZA

Des maisons en pierre qui forment un petit village au sommet d’une colline, une imposante forteresse lombarde qui les surplombe, une nature intacte qui souligne sa présence avec des spéci-mens de faune et de flore typiques de l’Apennin lucanien et une atmosphère qui oscille entre passé et présent. C’est ce qui frappe et attire à première vue. En se promenant dans les rues du village, on peut admirer un riche patrimoine his-torique et culturel: l’Église Mère dédiée à San Giovanni Battista, les églises de Santa Maria del Piano et de Santa Maria degli Angeli et de nombreux autres pe-tits lieux de culte conservent d’anciens trésors artistiques. La production de cé-ramique artistique est singulière, dont la tradition est attestée par les nombreux ateliers disséminés dans les rues du village.

Situé sur le sommet d’une col-line, le village apparaît comme une crèche aux yeux de ceux qui le voient pour la première fois. D’anciennes masures se blottissent les unes contre les autres autour du château ba-ronnial, laissant place à des

ruelles qui s’insinuent parmi les beau-tés architecturales du lieu, guidant le visiteur vers les églises de Santa Ca-terina d’Alessandria, San Rocco et Santa Maria del Carmine et, en s’éloi-gnant du centre habité, conduisant au site où des fouilles archéologiques ont mis au jour les vestiges d›un village du Xe-VIIe siècle avant J.-C., plus précisé-ment à Serra del Carpine.

Réputée et savoureuse, la saucisse de Cancellara est l’ingrédient de recettes créatives et la protagoniste d’une fête en septembre.

Situé sur l’un des sommets de l’Apennin lucanien sur lequel il est perché, de nombreuses attraits naturels et culturels font le charme et l’intérêt de ce petit village médiéval. Les anciennes demeures seigneu-riales, comme le Palais Ciancio datant du XVIIe siècle et carac-térisé par un magnifique portail baroque, les portails en pierre, les ruelles grimpant entre les maisons, les vestiges du châ-teau angevin et les petites églises, sont quelques-uns

des éléments qui attirent les visiteurs dans ce coin de la Basilicate.

Pour les amoureux de la nature, Castelgrande offre deux grandes surprises: l’Observatoire Astronomique, où des spécialistes aident à comprendre les phénomènes célestes, et le Parc des Couleurs, avec la Butterfly House qui abrite de merveilleux papillons, dédié à un bo-taniste local bien connu et renfermant, sur une surface d’environ deux hectares, des habitats naturels diversifiés.

CALVELLO

CANCELLARA

CASTELGRANDE

Au sein du Parc national de l’Apennin lucanien Val D’Agri Lagonegrese, sur un éperon en surplomb d’un côté, s’élève Laurenzana, bien identifié par les vestiges du château datant du XIIIe siècle.

Dans la partie basse du centre habité se trouve le Sanctuaire de la Madonna del Carmine, tandis que non loin des ruines du château se trouve l’Église Mère dédiée à l’Assunta. Da-tant du XIIIe siècle, mais rema-niée à l’époque baroque, elle était initialement dédiée à San-ta Maria de Plateis. À l’intérieur se trouve le corps du Bienheu-reux Egidio da Laurenzana, ain-si que pluain-sieurs œuvres d’art de grande valeur, comme un

ta-bleau de Pietrafesa. Le Couvent de Santa Maria della Neve, dont le cloître orné de fresques est attribué à Todisco ou à son école, mérite d’être signalé.

Le territoire de Laurenzana comprend la Réserve régionale Abetina di Laurenzana, carac-térisée par plusieurs espèces végétales, parmi lesquelles le rare sapin blanc prédomine, outre les spécimens de hêtres et de chênes et des raretés fauniques. C’est éga-lement là que se trouve le Centre environnemental - Écomusée du sapin blanc. La Réserve, qui se trouve sur le territoire du Parc national de l’Apennin lucanien Val D’Agri Lagonegrese, est souvent la destina-tion de sorties scolaires et est ouverte toute l’année.

La commune se dresse sur un éperon qui domine la Vallée du Marmo Platano et a une confor-mation plutôt pittoresque : les maisons adossées les unes aux autres rappellent l’image d’un petit village-crèche. La vieille ville reflète le passage de l’his-toire, du quartier du Pianello, où l’empreinte romaine est forte, au château d’origine médiévale, jusqu’à la rangée de palais de la Renaissance. Dans la partie haute de la commune se trouve le Musée archéologique natio-nal, qui est également un centre didactique et éducatif, fréquen-té par les groupes scolaires non seulement en raison des nom-breux vestiges remontant à l’époque romaine, mais aussi en

raison des sections consacrées aux activités d’archéologie ex-périmentale. Le sentiment de spiritualité est fort et les lieux de culte sont fascinants, comme le couvent de Sant’Antonio, avec l’Église de Sant’Andrea Apos-tolo attenante, riche en œuvres artistiques du XVIIe siècle. Le Saint Patron du lieu est San Gerado Maiella, proclamé comme tel par le Pape Jean-Paul II. Person-nage illustre et protecteur de la Basilicate, il est aujourd’hui possible de connaître les aspects les plus marquants de sa vie en suivant les

«percorsi gerardiani», des itinéraires à l’intérieur de la commune qui re-tracent les lieux fréquentés par le Saint.

LAURENZANA MURO LUCANO

Son nom dérive de «oppidum», ville fortifiée, et suggère une certaine solennité que le visi-teur retrouve dans une série d’architectures dont les ruelles sont parsemées: le vieux château, autrefois appelé

«magnum castrum», bâti entre 1047 et 1051, dont le portail principal porte encore les ar-moiries des Orsini, les palais nobiliaires et les anciens lieux

de culte, dont l’Église Mère des Saints Pietro et Paolo, un trésor de joyaux artistiques comme les statues en bois et les peintures du XVIIe siècle, et à environ un kilomètre de la commune, l’Église rupestre de Sant’Antuono construite sur le tuf par des moines ba-siliens et renfermant une série de fresques représentant dif-férents moments de la vie du Christ. En partant de la Nativité dans la première galerie à gauche, on peut voir des moments de son enfance, pour ensuite passer au cycle de la Passion, de la Mort et de la Résurrection dans la nef centrale.

Le village occupe le sommet d’une falaise et, plongé dans une verdure des plus vives et des plus intenses, il domine toute la Vallée de l’Ofanto, ré-pondant à cette vue époustou-flante par des touches d’his-toire et de culture : des portails de style néoclassique embel-lissent la commune, tandis que des bâtiments nobiliaires captent la curiosité des

pas-sants, comme les Palais La-viano, dont l’un a été conçu par Piacentini, le Palais Scioscia, le Palais Pascale et, enfin, l’Hôtel de Ville. Sur la Piazza della Si-billa, on peut admirer la Tour de l’Horloge, construite sur l’an-cienne Porte Sibilla et abritant une sublime sculpture de Janus à deux visages, l’un des plus anciens dieux romains.

OPPIDO LUCANO PESCOPAGANO

C’est une petite commune de montagne au pied du Mont Li Foj, entourée d’es-paces naturels, de bois, de vignes et d’oliveraies. Picerno est une destination pour les amateurs de plein air, mais elle conquiert aussi par sa structure interne : ses ruelles caractéristiques se faufilent entre les maisons, traçant des chemins qui font que le visiteur se sent immédia-tement chez lui. Les traditions sont om-niprésentes, elles sont palpables dans

la cuisine locale et dans la chaleur que dégage l’architecture même du lieu. Les anciens bâtiments nobiliaires et les lieux de culte comme l’Église Mère, où il est possible d’admirer la Nativité de Pietrafesa, en sont un exemple. À cela s›ajoute l›intéressante Tour médiévale, qui abrite un musée interactif fascinant.

C’est une petite cité médiévale qui cache des trésors artistiques à travers des bâ-timents bas et des ruelles sinueuses qui se faufilent entre eux. La splendide Église Mère dédiée à San Nicola di Bari et l’ancien château construit en 1100, aujourd’hui connu sous le nom de Palais Ducal, en sont des exemples.

La riche série de «Palmenti» (Meule) est particulièrement fascinante: il s’agit de grottes creusées dans le tuf qui entoure la

commune et qui servaient de caves, utilisées autrefois pour stocker le vin.

Cette petite commune est si-tuée à 827 mètres d’altitude, à quelques kilomètres de Po-tenza. Les montagnes avec des installations de ski, les forêts où la faune et la flore deviennent féeriques et l’oa-sis naturelle créée sur un lac idyllique (le Lac de Pantano) entouré de pistes cyclables et de sentiers pour les amateurs de plein air forment le décor de la commune. Mais en y péné-trant, on est séduit par la cen-taine de portails en pierre qui jalonnent la vieille ville et qui guident le visiteur à la décou-verte des nombreuses petites églises disséminées dans les ruelles et les zones plus

pé-riphériques entourées par la nature. L’Église de San Rocco, celle de Sant’Antonio, de San Donato et l’Église de la Ma-donna della Grazie ne sont que quelques-uns des lieux sacrés qui caractérisent les différents quartiers de Pignola, auxquels s’ajoutent l’Église de San Mi-chele Arcangelo et celle de Santa Lucia, enveloppées de charme et de mystère car elles sont nichées dans des coins particuliers du bois qui entoure la commune. Majestueuse et imposante, avec un clocher ro-buste et élancé, l’Église Mère dédiée à Santa Maria Maggiore, sainte patronne de la commune, à laquelle une charmante statue dorée a été dédiée, domine du haut de la colline sur laquelle se trouve Pignola. Le Musée Scénographique du Costume et de la Civilisation Rurale, à l’entrée de Pignola, est également intéressant.

PICERNO

PIETRAGALLA

PIGNOLA

L’histoire la compte parmi les forteresses fondées par les Romains et, plus tard, reconstruites et fortifiées par les Lom-bards. Ce qui est frappant dans cette petite commune lucanienne, perchée sur une colline, c’est le mélange d’histoire et de nature. Des forêts sauvages alternant avec des vignes romanesques arrosées par des sources naturelles se mêlent aux anciennes ruelles et aux portails en pierre des palais nobiliaires. La vieille ville est caractérisée par le fait qu’on

peut y admirer l’Église Mère dédiée à San Nicola di Bari, construite en style roman et à l’intérieur en style baroque, et qu’on peut atteindre à quelques pas les restes de la rustique villa romaine de San Giovanni.

Les nombreux vestiges archéologiques rendent ce village authentique et sug-gestif. Né au VIe siècle avant J.-C., le vil-lage exprime sa beauté dans les œuvres d’art conservées dans l’Église Mère de San Nicola di Bari, dans celle de San Giovanni, dans ce qui reste des trois étages du château féodal, où l’on peut retrouver le mobilier de l’époque, dans les longues balustrades en fer forgé qui caractérisent les aperçus du centre ha-bité et dans l’épaisse végétation qui en-toure et enveloppe toute la commune.

Niché dans les collines du Me-landro, le village occupe le

Niché dans les collines du Me-landro, le village occupe le

Nel documento POTENZA Surroundings of POTENZA (pagine 27-51)

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