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SUR LE SYSTEM E DE FICHTE

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ou

Qcnsai&ifei&A'jriQnsstcaMiaoif

ambirla

SUR

L’IDEALISMI!TRAXSCEJiDEXTAL,ETLBRATIOXALISME ABSOLU

JLia Philosophie allemandequi est parlieduscepticismede Kant,pour ar-riverà l’afBrmalion damoi absola, actécnFrance,durant quelques aonóes, I’objot d’noecuriosité foriviveet d’unengouemont passager.Ellea donne malieroàbeancoupd’ ècritsremplisd’nne admiration penréfléchic;maison pent doatcrqa’elle ait éléjnsqn’ à ce jonr bien exposé©etsnrtontbien com-prise.Ilétaittemps de sonmettre à onecrìtiqoe sérieusecetteorgncilleuso synthèsedel’idéalismegermanique qui a proclamòtemoicréatturdeP Uri-vere,sansdefinirclairementen qaoi cemoicreateurconsiste.

MrGallappi

,professenrde philosophie à P Université de Naples, oorrcs-pondant de PAcado mie,un des savanalepluserudita,etdeaesprits leplus distinguide PItaliemoderne,étaitplosapteqoetoutautreprut-ètreàTaire cette critiqneavccautorité.Adeptodacritiéqpedaos sa jeuncssoilasuivipas àpas

,durantsalongae carrière philosopbiquo,tonaIradéveloppemena auccessifsde1'idéalismeallemandetilvienid’adressoràPAcadémic,sur cettematiére,unmémoire quiest lefruitde longuea annees de méditations etd'études.

Danalapremiereparliede sonmémoire,ilexposéd'abord P originede Pidéalisme transcendenlal,ses feiationsaveclecriticarne

,etlaphilosophie de P époqoecarlésicnne.

DanaLasecondeparlieildetermineràses pointsde contact aveclea systè-mes delaphilosophie grecquc.

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Lapremièreopératkm del'eapritconsisteà distinguerlemoides phé*

«oménesda mondeeitériear.Ccsontdeaisortcsdeiistericoquise révèlent si-multanément à nous,etlear distinctioa est lepremieractedel'cspritqui con-slitaenotre eipérieace.

C

estde ce point que toute oolionhumainedoit par-tir.Kant,enseplacant an-delàdeDettedualità phénoménale, a donne ponr fondement à son systèmelasynthéscdel'intellect,c’est-à-dire lacoexisleocn dans Fespritdusujet etdol'objet.

Malheureusementoesdeux mola tujetetobjel ontdanslaphilosophie allemandeunsenséquivoqnc,ilssont prie tantòtponrlesujet etl’objyt phè-noinénalon apparent,ettantòtpourlesujet,etl'objet existantensol, et cotteéquivoquen'a pas peu contribue à obscncir davantage un système qui estdèjàassezobscur par lui-mcme.

Kant, en voulant expliqneraprioriccttedualitàplicnoménaledusojet et del'objet,devait partirdusujet etdei'objetcommeexistantréellemcnt,car laphilosnphie quiest laSciencedrsètresne peni prendre sonpointde départ que dans cc quiesiste.MaisKant ne pouvant admettre,parsuitede sa mé-Ibodc quiesttouteapriori,l’exislencedequelqttechose,commefondée sur l'experience.puisqu'ilseplacean-delàdel’experiencepour expliquer comincili

celle-cinaiten nous, a posecctte enlilépremièrecommenoe supposition néces-sairede Tesprit,lorsquilrcutphdosopher;illaposéccommenn instru-mentdela raisonetnoncommelaconnaissancedela veritàensoi.C'esten ce pointsurtout,quelaplupartdesécrirainsqui ont exposéenFrancola philo-sophic de Kant ontmalcompris son système.

Quandonyrpgardcde près ons’appercoit que, danslecriticism?de Kant,lesréalilésensoin'onlaucune base,etque cephilosopiien'adinet Ienr cxislencequecommeuno supposition.

C' estdequestnél'idéalismede Fichte:quand une choseest allìr-mécgratuitement,on peullanierareelemémedroitqn'ool’adirate.L' di-sieneede robjetn'étant que gratuite,Fichteatrouveplussimplcdelanier etdetout fairedériverdutujel. 11a reconnulacontradiclioninevitabilidin*

laquelletomberaitleKantismo en affirmantd’une partque nous nnpouvion*

avoiraucune connaissance del’actiond'nnélreleiqa’il esten lui-mcme,cn dehors delasphèrede notre propreintelligence, eten nffirmnnt del'antro

, quelanaturede nosintuitions estpourtantl'eflotdesétresquisonidistanti horsde nous;etila concia decetteobservalion quelesdisciplesde Kantn'out pascomprisla véri tablcdoctrinedeleurmaitre.Le Kanlisine aux yeux de

Fidileestdevena nn système desubjcctiviténbsolae qui dèJuittonidasujet pensimi.C’estsurce fondement que repose son nouvclidéalisme,maisc'esten ce

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premierpoi niHans lequrl Fichtequise donne tonjours pour undisriple ileKant,

«'estécartédoladoctrineKantienne propreinentditequeconsiste lapremière différenceentrolesdeut syslèmes.

Ilya entro ces deut systèmea unc secondedifférencequin*estpas moins capitale.Kant en partant deI'hypotèsedusujet,etdel'objct,regardela passivilecommelepremierétatdel’étrepensant; Fichte,au conIra ire,ayant andanti1’ohjet,devaitanéantirausai lapassiviledusujet;etcest ainsique dansleIranseendenlalisme,lemoiestdevenuuncactivitépuro.

Maintenantl'universélanl anèanlipour conserverseulraicnt lemoi, quel-lenotionpouvons-nous avoirdumoi?DansIcssystèmesidéalistcsquiont prò-cèdecelaide Fichte,l'ezistence idealedel’universdanslemaiestconstante, et lemoinelaprécède pas:lemoiriesistequ'aveccettcreprésentation inté-newe du mondeezlérìear et n’ etisiejamais sanaelle.Lciboitzaditque l'amo humaioe avaitétéeròepar Dieu avecl'idéedumondeentier,elavecuncforco représentativedelaqoellenaissent successi vern-'n! Icsdiversesreprésentationa de cet univers, deIellemanière,quel'étatprécéJrntde l’ame contienila raison suHìsantede sonciafqui suit.On peut eneorerattachcràl'idealismode Leibuitz coluide Berckeley, qni n'endiffèrequeparlacausedircelequ'ilassigneaut phénomènesdamondeettérieur.Lcibnitzles fai!dériver delaforceproprede

l'ame,tandisqueBerckeleylesattriboeà Dieu opérant sur Carne humaine.

Laphilosophietransccndentale ensaproposant d’expliquerapriori'a dualiléphénomènalodamoi,etdumondeettérieur, estobbligòdepartird'un pointde vnc qui ncsoitpasempiriqoe,carelle nie l'autoritàdel'rxpàricnce:

cequidistingue particulièrementladirectionsuivicparlaphìlosnphic alle-mandedepuisKantc'cst leprobiime suirant: Etpliquerapriorilaformation loladualitàphéooménale;louslespartisansdelaphilosophie transccnden-tales'accordent en oe point,etrcconnaissentla necessitàdecellecxjdication apriori, quoiqu’ilsladonnent dirersement, Kant pari delasupposiliondo

L'objct ensoi,etdusujetenaoi,tandisque Fichte anéantissantl’objctpari dumoipurqu’ilconsideracommelaseulechose distante.Dans ce systèmn lesphénomènes dumondeettérieurne peuventplus étreconsidéréscomme né-oessaircs;Fichtelesconsidèrecommelibresetvolonlaires,bicnplusil consi-dèrelemondeettérieurcommeun produit del'actelibreetvolontairedu moi.

Maisilrestetonjoursàrxpliquer cequec’estquelemoik qui Fichte atlribuelapuissancecreatricedo touslesphéoomènesdumondeettérieur.

Mousferonstousnoseffortspour rendrecotte définitionintclligibleeri traduisaotdanslelaogage ordiuairelaterminologieforiarduedu transeen-detilalisme ailcmaud

.

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Lapenscorat crac actionqniconnata àabati-aire,etarèflèihir;à détoor-dot,etàreplierson regard,dètournezdono votre regarddotontecbose, replics-lenu-dodana de vous-mcme:dètonrncz-lo ancoro de votremoiempiri*

qneet paHictilier;qucl'actionqoe vous exrrcezsoreporte«orcelleaction mcme,Tousanrez pensòlemoi por,primitif,ahgolo.

Mais quelest ic principedecelioaction?Cedeaction,disentIcs trans-cendentalislra, est libre,absolumenllibre,etspontanee;iln’estpas nécessaire delaichercherun aatreprincipe,puisqo'elleasonprincipeenelle-memi'.

AnsailaSciencecommenceparun aclearbitrarne et spoetane*

,etnon par un faitd’expérience.Cet acte spentane pose/emoi,etsimultanément conimene!'

1*eiislcnccdo moiqui,à sontour créatrorindépendenidetous le phénome-ncs,siègedansleprincipeaasciodel*infinicorame noe espèce dedivioité.Il fantajouterqne Fichtedomandeani philosophra,poorqnilapuisaents'élerer à ce premieractelibreetcréatcor,uncerta ingensp&rticolierqu’ilnomme transcendcnlal,etqoin’estpas donne àloutes Ics intelligcncrs.

Schelling,ponr remontcr aree Fichte aa premieractedel’esprit,à ce pre-miere acte pnrfaitementlibre et etcreatour,adon né un nonvean développcment au syslcme deTidealismo transcendental.Ilditqnel’espritne peut aroirla consieocede sonactionqu’aulantqu'il s(lèvean-dessusde louiceqaie&lobjectif.

Cotte action parlaquelleI*espritse délacliedeloutobjctne pcntótre expli*

quée quc parledeterminationqueFcsprit redonne àim-tiième. Aitai,Iesprit se délermine è opèrer,eten sedélcrmioantilopere;c'cstun élan quel'csprit ledonne à loi-raeme ponrs’éleverau-dessusdumondefini, et alorssculcnient ilsecontempiedansl’absolu.Celle dòterminationqnel'espritsedonnes'appelie vouloir:l’espritseni,etilest libre.

Dn momentqne Fespritandanti!ponrIniaumoyende sonvouloir,tout lemondeobjectif,ilnelairesteqnelaforme pare de salibrevolante,la quelledevientdésormaisla loi éternellede son action;l'espritn’obtientla conSciencede sonactionqnedanslesedactede*vooloir, et cetacteen generai est lapremière conditura delaconsciencede soi-mème:Fesprit n’ esisteque parceqn'ilveot,etilne se connaitqoe parcequ’ilsedétermioe;nousne pontoni nous élevcr an-dessns decelleactiondevooloir, etcratpourquoi oolaconsidèrs areeraisoncommelefondement de tontephiloeophie.

Corame onlevoit,letraoscendeotalisme danstoutes«etnuancesestnoe sèrie d' abslractionsdonila première(Teliate*ce do«solabsolu)ratnne pare hypolèse. Fichte a d'aborddòtruitFobjet,ilaensuite dètruit la passiviledn

sn-Ì*‘ice qui revient àdiroqu’ilafaitdisparaitrede Fesprithumainl'élément delasensaiion.linerestedonc dans son ìdéalisme quel'actriìtédusujat

;

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celta activité estvolonlaireet libre,ellesemanifeste parune action spontanee quiest lejugement.Dan*celle action,enlevezI’objectif

;etne conservczque laforme

,etvous aurezlemoi par de Fichte areeledéreloppemenl qu'j a donne Schelling. Telleestla serie d’ abstractionsparlaqnellelaphilosophie iranscendentaleestarrivò!àcelleaudacieuseproposition:lemoiseposeet se eròe luimimepar unacte libreetspontané.(Lunài3oSeptembre i83g).

Senty.

Dans un précòdcntarticlc(Voirlelempsdii3osoptembre)nousavons exposéles pointsfondamentauxdusystèmede Fichte,etindiquéla seriedes raisonnementsparlesqacls laphilosophietranscendantaleestarrivee à poser celleproposition:clemoiseeròelui-méme parun actelibreetspantanò».

Nousexposerons aujourd' huila critiquequelesavant professeurGaluppi afaitedecesystème, cn partant dupointde vue delaphilosophieexpòriaientale.

Nousavonsditqne Fidile pourélablir lemoi pur commeprincipede fonteconnaissance, avaitd'aborddòtruit l’objet, etquii avaitfaitdisparaìtre cnsuite la passiviledusujet;ce quirevientà direqu'ilafaitdisparaìtrede Tesprithumainl'élémentdelasensation.C’estainsiqu*ilest arrivòdans son idéalisme à poserl’activitépuredasujet,quiseeròelui-méme,eteròepour luienménetemps tooslesphanotnènesdamondeextàrieur.

Maisilya id un paralogismo.11fautdistinguer l'ordremétaphysique ouròeldeschoses,del‘ordre logiqneaveclequcl1’espritprocèdepour arri-vcràlaconnaissancedo premier. Ces deax ordres ne soni pas toujoars idea-tiqaes.Souvenl ce qui formelepremieranneau delachaineduraisonnement dansI*ordrelogique,formeledernierdans1ordreròel.Lacause,dans l’or-dremétaphysique, dévancel'effet;mais en raisonnant,nous partoas suu-ventdel’effetpour connaitrelacause

;etcestpourcelaqu'enpareilcas l'eflet

,qui occupelapremière placedansl’ordre logique,occupeladernière dansl’ordre mclaphysique ouréel.L’errear qui coofondraitcesdeuxordres seraitsemblableàcelled'on philosophe, qui en raisonnant delamanière suì-vante:«Le mouvementexiste,doncilexistenoeforcemotrice,condursi!

quelemouvemeotdevancelaforcemotrice;ou qui,enfaisant cctautre rai-sonnement:» lemondeestordonuò,ildoitdoncyavoirun ordonnateur« con-cluraitquel'ordredumondeestantériourà l'ordonnateur, confondantainsi l’ordrelogiquedelapensée avecl’ordre réeldeschoses.Fichte tombesouvent danscelleerreur. Prenons un esemplo:aLapenséedit-il,estune actionqui' consisteàabstraire etàréfléchir,à retourneretàreplier leregard del’esprit*.

X X

I,'action d'absluiiresupposenécessairemeni uuobjetduq.elor pari.abatr.iire

«ut.rii-'rfiriser,maisl’acli inriodiviscrsuppose1dicùible.elsupposee n

c.1séqtitmccmioIij"lsorlequcls’cxercel'nctiond'abslrairc.Maiscelari-pugne à laduellinede cephilusnjriiqri.rn |>wantlemoip-tr,aalleantitojsLa oi'jit»;celari-pugne àlapenseepure; rnctioodiimoi pur, delapensée pure ue penidorèconsislcràabslraire.

Maintennnt,Toici1"équivoque.«Kloignei

,diiFichte,ler.ganlde loulesthoses; éloignez-lcensorianide coire moirmpirii|iie cl jmrliculier;qiie l'actionque vous cxercezse repliesurelle-mème,vous aureipensòalorsIr moijiur,primitif, abso/u»

.

Mais tjuand ondii:Eluignezleregnrd, on parie à un philosophe à qui

»n cotnmande une abslraction pour concevoirl'aclionpuredelapensée;mais c esiune errcur de confondrele prooériédemonabslraclionuveelapenseepure qui doitmela Taireconcevoir.Lapensée pare n’ayantpoint d'objetsur lequel Ilepuisseopérerne pcut certainementconsisteràabslraire;l'ichlecoufoud rioneicil’ordrc logiqueavee l'ordrcreel.

Quediremaintenantde ce repliement delapensée sur elle-mémc?

Tonleslesoj érationsde nolreinlelligencese rédoisenl à deux:à divi-soretà comjtoser,à1’analyscetàlaSynlhèse. Fichteestobligé,sanslaN savoir etsansle vouloir

,de prendre son point de départ pours’élcver àla bauteur transcendenlale, dansunTaitde conscience;ilparicneffetde Caciodu jugeiuenl.Or,ilestimpossiblcde juger sansabstraire,ilestindispcnsablcde séparerd'abortidusujet lamodifìcationpour ponroirensuite la lui attribuer.

Tonteaction doitavoirun terme,elcetermeestCucir. Leterme de Caclion d’abstraire estnne notiona1»traile;cellenolionestencoreC objetentanl qu’ilestpensòpar Cabslraclion. L' esprit

,nprès nvoirabstraitdasujetsa tno-dification,doit la lui restituer:pour aroirC abstrait,ildoit partirduconcret etpour former un jugement,ildoitramencr Cabstraitauconcret.

C

est ai osi quelaréilexionoperedanslejugement aux yeux delaconscienceempiriqne.

Voyons commentelle doitopérerdanslesabstractionsdeFichte.Dausia pensée pure,ilne penivoir leconcret, celni-d ayantéiéansanti d'arance;il ne peut yvoiraucunobjet:bien plus,dans C actiond’ abstrairo,ilperdda viieson poidtde départetson but.Sonillusionprovieni de ce que, dans la

léflexiou,ilne peut reconnaitreun retour delapensée surleconcret,au pointelle arrivc,etse rallieàC abstrait.Ccpendantlaréflexiou,cornate actiondelapensée,demoure,etFichte,ne royaniriensorquoicolte action pùtsc déployer,ditquellese repliaitsur elle-méme.Telleestlasuccessioa

«Cidées parlaquellec»philosophuest arrivòàladoctriuedelapenai* pure.

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Observousicique noos avonslaconsciencederaction d’abstrairc

;que

dans cecascen’ estpointl’actiond'abstrairequise repliesor elle-raème; maisoetteactiondevicnt1’objctde notre méditation,et lebutde notre action meditativeest laconccptionoulaconnaissanccdel'abslraction. C’estde cetle manièred'aprcslaphilosophiedel’eipèrienco,quo nons acqnironsIcsnotions des deversesfacultèsdel'esprit.Mais Fichte ne noos ayant donneancone notiondelapremière actiondelapensée,n'apu co conséquencenous/aire connaitreI'objetsorlequellarèflexionopere.

Laconscience nousapprend queIcsactionsd'abstrairc etde rèQécbir, que

cellesdel’analyseetde synthèse,sontdesactcs libresde notre volonté.La dependance decesdeuxfacultèsà l’ègardde notre volontéestinconteslable.

Voilà pourqnoi Fichte,aprcs avoir placelemoi puret primitifdansl'action d'abelraire etderèilècbir,Icsdcpouillantdestoutes Ics individuali lés etde tou-tes lesdéterminations qui se trouveraient dansletatindividucloùlaconscio ce cmpiriqneIcsprend,aétéobligéde chcrchcrleprincipedecellepensée pu-re,etdes'adresserà lui-mémecellequestioo: qu’cst-ceqniconstituc lemoi

?

Voilà pour-quoiilafaitconsisterl'actecréatcurdomoi en nn acte spontané etabsolumentlibre;enfio,voilàcommentce philosopbe, pours'élcvera Cac-to libreaumoyendnquellemoiseposeetse criclui-méme,aétéobligè

, par-ics loisde1'esprit,departirde la dependcncc des actcs delapenséeà Tégard de notre volontà,(ellequelaconscienceempirique nouslamontro.

Cen'estpointleprincipedecausatilequia condoli Fichteàcerisultai;

maisla forcede l’abslraction1’emporiosibaut

,qu'ilperdquclquefoisla terrede vue.Deplus

,ayantdanslaphilosophieunparti prisd’arance,qui consisteàtout faircdérivcrd'nn principe nnique del'adiriledusujet,ilne pouvait chcrchcr horsdemoi1’originedel'adirilemétne quileconstitne.

Danslesystèmeque nous examinons nous n'avons paslaconsciencedumoi cornineréllcchissant lemondeextérieur.Maisqu’est-cedonc quelemoi en lui-mémeetcornineélrc?Cnd’autrestermos,quelle est l'essencedelamehumaine ? l\oussavonsqu’ elle est le sujetde nos penséesetdetoutes lenrsmodifi.

cations:celtenotionvague desujet esttoutce qu’ilnonsestpermis d'en sa-voir.Mais demémeque savoirqu’unclfetdonne a uno cause, cen’est ccrtai-nement pas avoir une notion dèlcrminée decettecause

;demémesavoirqu' une modificatimi dounceestinhéronte à sonsujetcen'estpus avoirune nolioa détcrmince de cesujet.Les Carlésiens nesesontpas conlenlésdecellenotion indèterminée de1’àmeconsklerée en ellc-nicmc

;demémesavoirqu' une modificatimi dounceestinhéronte à sonsujetcen'estpus avoirune nolioa détcrmince de cesujet.Les Carlésiens nesesontpas conlenlésdecellenotion indèterminée de1’àmeconsklerée en ellc-nicmc

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