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Quali fonti è possibile rintracciare riguardo ED Analisi delle fonti saussuriane divise come fondi endogene ed esogene.

17. Trascrizione: i criteri utilizzati.

7.1 Testo restituito

Nel testo restituito, invece, offro tutto il testo emendato dalle cancellature e dalle scansioni degli a capo legati al limite della pagina, o meglio dello spazio di scrittura. Manterrò invece chiaramente i capoversi dell’autore.

- le note riguardano i rapporti teorici e la sistemazione del testo e fanno riferimento, in caso di necessità, al testo in trascrizione lineare.

- Ho sciolto in questo caso tutte le abbreviazioni saussuriane: per esempio l’uso della phi greca ‘ ! ’ per il ph.

QUANDO CI SONO DEI PASSAGGI CANCELLATI E SOSTITUITI CON ALTRI PASSAGGI, in luogo della presenza di inserzioni a margine interlineari lo segnalo con < >, ALLORA METTIAMO PRIMA IL PASSAGGIO CANCELLATO E POI QUELLO CHE LO

SOSTITUISCE. Per esempio, proprio nelle aggiunte sul margine sinistro, allora indicheremo prima il passaggio cancellato e poi l’aggiunta – in questo modo il lettore vedrà la progressione delle aggiunte riducendo le note in cui dovremo proporre la progressione della scrittura. La genesi del testo resterà comunque descritta in casi molto contorti che ne necessitano la presenza, come per esempio quando abbiamo molteplici riscritture e ritorni nei diversi punti della frase e in diversi momenti.

Tra [ ] troviamo indicate le pagine del manoscritto come numerate dall’archivio e la numerazione delle pagine messa da Saussure (in alcuni casi il numero di pagina è seguito da un simbolo) : per esempio [74] [1!.].

Utilizziamo [ ] con uno spazio vuoto nel mezzo anche per segnalare i testi non terminati da Saussure.

Nelle note al testo segnalo anche il contorno materiale della pagine trascritte, ovvero le pagine che precedono e quelle che seguono immediatamente per cercare di analizzare dei legami tra queste pagine e quindi una successione originaria oppure se ci si trova di fronte a una risistemazione successiva durante un tentativo di rendere sistematico il testo.

In tutto ELG la " sanscrito è diventata ç.

METTI QUI LA PARTE SULLE EDZIONI DEL CLG USATE PER IL SEMINARIO DI FEBBRAIO 2009.

5) Edizione (INSERIRE ANNEXE CFS 61 e il primo intervento di cosenza76; inserire qui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

76 Esempi generici riguardo i problemi dell’edizione francese di ED:

a) trascrizione : il testo stampato non è fedele al testo presente nel manoscritto (per esempio i termini sanscriti utilizzati da Saussure sono continuamente diversi rispetto al manoscritto originale) ;

a1) non sono segnalati le diverse possibilità di lettura di certe parole che risultano essere di lettura ambigua; a2) alcune parti del testo non sono presenti;

b) intervento arbitrario degli editori nel testo: sarebbe sufficiente considerare che le aggiunte paratestuali dei titoli messi ai paragrafi in luogo di un’assenza quasi totale di indicazioni di Saussure, , in générale, la scelta editoriale dichiarata rispetto al paratesto présenta delle distorsioni in rapporto al manoscritto, nella stessa misura la soppressione di alcune indicazioni di Saussure al testo – titolo di Saussure, numerazione, indicazioni paratestuali (e anche in una occasione la datazione messa da Saussure);

c) spostamento di alcune pagine : pagine che appartengono allo stesso foglio sono state pubblicate in luoghi testuali differenti molto distanti dalla sequenza del manoscritto, senza comunicare questo spostamento e quindi, ancor meno, senza offrire spiegazioni al riguardo ;

d) organizzazione della successione testuale nello stesso foglio: Saussure utilizza il foglio su cui scrive in una maniera specifica che non è sempre rispettata dagli editori e quindi ci troviamo con alcune parti che non seguono la seuqenza in cui Saussure pensava dovessero essere sistemate;

d1) en quelque occasion on a des problèmes avec la restitution du texte dans la même page ;

anche le tre pagine scritte per il CFS77) La necessità di questa nuova edizione è nata in primo !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

respect les manuscrits et en absence des indications par main de Saussure ;

e1) ED, en effet, est divisible en micronucléus textuelles qui ont leur propre raison singulière et aussi une raison collective en référence à l’harmonie du corpus générale, mais de cette condition du manuscrits on n’a pas de trace dans le texte ou dans les notes (en effet il n’a pas des notes);

f) supports : l’analyse des donnés liées aux supports qui offrent autres paramètres comparatifs, les informations déductibles en partant de l’analyse du support employé par Saussure offrent un autre moyen de comparaison pour obtenir informations au regard du texte, surtout s’on pense que le texte n’est pas écrit dans un cahier ou dans une source avec un support homogène en tant que objet unique ;

EDITION –

g) mise en rapport avec autres dossier saussuriens : l’ED de l’édition française est publie avec un suite des textes d’autres dossiers sans chercher de déclarer des relations avec ED et donnant l’impression de présenter un corpus unique ;

h) transcription : les textes au dehors d’ED ont aussi des problèmes de transcription – aussi les desseins présentes dans le texte ;

i) notes : les notes sont presque inexistantes en lieu d’une urgente nécessité de notes explicatives ; l) index : dans les index il n’a pas trace des beaucoup de référence présentes dans le texte ;

m) introduction : l’introduction n’est pas suffisante à faire de la clarté sur le manuscrits et sur les rapports entre différents manuscrits publiées.

77 L’essence double du langage : les raisons pour une nouvelle édition

Les plus immédiates, on croit, sont liées à l’importance de les notes de linguistique générales contenues dans ces pages sont significatives pour éclairer une partie de la théorie linguistique saussurien. En plus représentons une nouveauté dans le panorama de recherche terminologique monté par Saussure. Donc est claire la nécessité de montrer le contexte d’écriture avec les images des documents pour donner compte du travail sur ces notions et pour prendre conscience de la recherche mise en jeu par Saussure à travers l’écriture. Encore ces pages présentent des problèmes significatifs parce que sont le miroir d’une série de difficultés théoriques au regard de la philosophie du langage. Parallèlement ces mêmes pages offrent un indice des obstacles du travail philologique sur les manuscrits de Saussure. Proprement l’analyse et le corps à corps avec les sources manuscrites à mise en évidence des problèmes de différentes nature que ici sont donnés comment un première exemple. Mais, avec des variations, on retrouve les mêmes problèmes dans toute le texte de ED publié dans les précédentes éditions. En effet, jusqu’aujourd’hui les éditions générées à partir de l’édition française de ED contenu dans les Ecrits de linguistique générale, dans les diverses traductions, n’ont faite pas de la clarté définitive sur le texte, ou ont donné seulement des ajustements partiels77.

En effet, on a trouvé plusieurs problèmes de nature différente. On donne de suite seulement quelque exemples génériques : a) transcription : le texte imprimé n’est pas fidele au texte présente dans les manuscrits (p.ex. les termes en sanscrit emploies par Saussure ne sont pas fideles dans le texte imprimé) et ne sont pas signalé les diverses possibilité de lecture de certains mots résultant de lecture ambiguë; b) intervention arbitraire des éditeurs dans le texte : serait suffisante considérer que les adjointes paratextuelles des titres mise aux paragraphes en lieu d’une absence presque totale d’indications de Saussure et en général la choix éditoriale déclaré respect au paratexte présente des distorsions en référence aux manuscrits, dans la même mesure la suppression des aucunes indications de Saussure du texte – numération, indications paratextuelles (aussi dans une occasion la datation mise par main de Saussure); c) déplacement de pages : pages appartenant au même feuille sont été publiées en lieus textuels très distantes sans explications au regard ; d) organisation de la succession textuelle dans le même feuille : Saussure emploi le feuille dans une mesure et d’une façon spécifique, pas toutes le fois respecté par les éditeurs ; e) micronucléus textuelles : la constitution et organisation des micronucléus textuels suivant un ordre différent respect les manuscrits et en absence des indications par main de Saussure ; ED, en effet, est divisible en micronucléus textuelles qui ont leur propre raison singulière et aussi une raison collective en référence à l’harmonie du corpus générale ; f) supports : l’analyse des donnés liées aux supports qui offrent autres paramètres comparatifs, les informations déductibles en partant de l’analyse du support employé par Saussure offrent un autre moyen de comparaison pour obtenir informations au regard du texte, surtout s’on pense que le texte n’est pas écrit dans un cahier ou dans une source avec un support homogène en tant que objet unique; g) mise en rapport avec autres dossier saussuriens : l’ED de l’édition française est publie avec un suite des textes d’autres dossiers sans chercher de déclarer des relations avec ED.

Par cette dernière raison l’édition française a donné l’impression de présenter un texte fini en soi, où n’a pas de texte final, et a mêlée différentes textes de période variable sans offrir des explications philologique – chose pas trop grave pour les experts qui ont les connaissances pour passer à travers la confusion de l’édition, mais dangereux pour les naïves saussurien, avec le risque de produire une nouvelle vulgata perpétrée à travers un texte infidèle.

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On doit signaler autres deux nécessités. En premier lieu l’analyse du fond BPU 1996, en référence aux relèvements sur les manuscrits, à mise en évidence le fait que l’organisation du fond même présente des imprécisions et a nécessité d’un ajustement. N’est pas un cas que la direction des manuscrits de la BGE a bien pensée de offrir aux lecteurs deux différentes cote : 372 avec une présentation plus fidele aux sources ; et la 372 bis avec la présentations de la successivité du texte en photocopies publié dans l’édition française – une confrontation entre les deux cotes offre une image immédiatement claire des problèmes, comment aussi une confrontation des manuscrits avec le texte imprimé. Cette analyse a en outre en premier lieu donné la possibilité de retrouver autres pages inédits appartenant à ED et placées en autres cote d’archive du fond Archive Ferdinand de Saussure. En second lieu a permis de reporter encore à ED des documents, notes de linguistique générale, présents dans le premier fond saussurien organisé par Robert Godel, les Papiers Ferdinand de Saussure. Enfin la cote d’archive 372 offre encore des pages inédites que Engler a retenu doivent être ajoutées au volume publié et en part en connexion avec ED.

En prennant conscience de cette situation, était nécessaire une relecture générale du texte saussurien avec le cible d’une nouvelle édition amendée des incohérences et d’une normalisation aux sources manuscrites. L’indication décisif est que une nouvelle édition doit absolument chercher d’être plus fidèlement possible liée aux sources manuscrites présentes, sans encombrantes médiations et interventions éditoriaux et sans soumettre le texte à choix en vu de la publication au dehors de la lisibilité : avec le passepartout de la fruition textuel, l’importance et la possible réception du texte est certifié par lui-même. En somme on pense à un mouvement de disparition du traitement éditoriale. Mais pour procéder en cette direction on a besoin de toutes les données possibles et d’employer tous les moyens à notre disposition. L’aide des photos à haute résolution est une bonne démarche pour améliorer les travaille de toute le monde qui voudrais chercher un ordre dans le texte de Saussure. Certainement sont un instrument meilleur de l’emploi des photocopies ou photos en noire et blanc.

En vue d’une nouvelle édition, une des premières nécessités est une reconstruction de l’ordre des micro-séquencés textuelle du corpus générale. Le texte est disséminé par indications de lecture adressées à Saussure même et pour le possible typographe en vue d’une organisation final du texte pour la publication. Les allusions au texte, à les notes pour ED et à cette directrice de réflexion sont vivantes pendant plusieurs années et on a notice à travers différents témoins. En effet on doit toujours tenir en compte que ED n’arrivera jamais à la publication, ni à une mise en propre prêt pour la publication – seulement quelque page est recopiée par Saussure. On n’a pas une source présentées en séquence liée au support (un cahier par exemple) ou recopié par une version presque finale, mais dans tous cas ED est fait des pages homogènes, avec une homogénéité reconstruit par Saussure en créant lui-même le corpus textuel. En cette perspective ne seront pas utiles des transcriptions sans indications précises sur le support, parce que s’on parle de manuscrits, alors ça signifie qu’on doit penser à ces documents comment à un corps unique où l’écriture n’est peut pas être extraite de la page, parce que dans certains cas c’est proprement la page que offre la guide pour l’écriture. En effet aussi l’emploi du même matériel était utile à la présentation du texte de façon homogène pour l’imprimeur, pour un regard externe. Saussure en cherchant une présentation et une théorie plus satisfaisante possible à travers sa pratique d’écriture, il produit toujours une grande quantité d’épreuves. Aussi-même, alors, c’est possible que cet ordre d’emploi du matériel était utile à Saussure même pour des raison pratiques : faire de l’ordre dans l’archive, séparer les différentes notes, reconstruire les traces textuelles ; et d’ordre pratique-théorique : dans un manuscrits la présentation d’une texte régulière, sans la possibilité que le support puisse être un élément de distraction respect au texte et, enfin, la liaison spécifique entre un format du support avec un nœud théorique et un développement textuel aide l’écriture à avancer et aussi aide la pratique de la réécriture et re-discussion des stades de développement successifs du texte théorique.

En effet on doit penser à ED comment à un texte en transit, un mouvement du penser de Saussure tracé par des mouvements d’écriture, un texte sujet à nouvelle réflexion, fuite en avant et brusque retournement avec, donc, toujours la possibilité d’une espace libre pour la réorganisation textuelle. A voir bien, ça n’est pas une métaphore, si on peut voir qui Saussure laisse toujours un espace vide a gauche de la page pour faire des ajoutées ou offrir toujours des possibilité au texte. Jusqu’au quand le texte n’est pas arrivé à un corpus formalisée par l’imprimeur, alors ce n’est pas un texte final, mais c’est un texte potentiel, lieu de la possibilité du texte en discussion d’un coté et d’autre part cratère d’idées pour autres réflexions. Entendant avec texte potentiel d’une cote les traces des problèmes théoriques inhérents à ED et d’autre part un lieu où on peut retrouver les racines des développements successifs (aussi outre le lieu dessinée par ED). C’est un point de départ et un point d’arrive d’une réflexion précédentes : entre ces deux mouvements divergents on a Saussure qui récrit son texte et que continue a réfléchir jusqu’au fond sur les problèmes. Paradoxalement c’est proprement, un texte investi de linguisticité vivante, que bouille d’idées et lisible en partant des différentes directions et différentes clés de lecture. N’est serait pas un cas que Saussure emploiera aucunes des ces pages pendant les courses de linguistique générale. Le chemin philologique conduit régulièrement au coté théorique. Au même temps une compréhension théorique allume la restitution du texte. Les micro textes, qui ont une cohésion majeur et, en beaucoup d’occasion présentent une structure déterminée en soi et assuré par le niveau philologique, collaboreront à la détermination des points de référence et appuis pour les successives interprétations – qui n’auront plus le problème de la fidélité textuelle. Par

luogo dai numerosi problemi riscontrati nei testi editi finora nell’edizione francese e nelle diverse traduzioni. In particolare solo l’edizione italiana a cura di De Mauro e quella tedesca a cura di Jager presentano delle novità e segnalano un avanzamento nell’inquadramento storico e nell’interpretazione teorica del testo. Al contrario le altre edizioni sono solo delle traduzioni del testo francese e offrono delle introduzioni originali (cfr. Russo, 2006)78. Un confronto anche superficiale con i manoscritti mostra imprecisioni nella trascrizione (i termini in sanscrito, omissioni, interpolazioni), un’approssimazione nella ricostituzione dell’ordine del manoscritto (pagine appartenenti a gruppi di fogli spostate arbitrariamente, allocazione di pagine senza adeguata motivazione) e, infine, infedeltà al manoscritto. Il carattere di testo dell’edizione Gallimard, inoltre, offre al lettore un’immagine di un lavoro finito, completo mentre, al contrario, ED è un laboratorio di ricerca mediato dalla scrittura e mai portato a termine dall’autore. In ED, ma anche nei testi paralleli, si mostra con chiarezza il luogo in cui la pratica di scrittura per Saussure diventa mezzo per esplorare, inventare, ricercare soluzioni e mettere a punto le teorie linguistiche. Nel caso particolare di ED l’esigenza teorica, interna all’argomentazione propria del testo, è anche urgenza di fare chiarezza nella struttura epistemologica della linguistica di quel periodo e, in generale, nel lavoro quotidiano di Saussure stesso. ED è il luogo dove finiscono le ricerche storico-filologiche sulle lingue e inizia la filosofia del linguaggio. Ancora il fatto che questo testo sia stato pubblicato insieme ad altri testi, senza un apparato esplicativo tale da rendere evidenti le differenze dei progetti e gli ambiti specifici in cui i diversi testi dovevano essere presentati, rende l’edizione Gallimard ancora più infedele rispetto a una visione dell’evoluzione del pensiero di Saussure e in diversi punti manca di onestà in rapporto al lettore. E’ come se dicesse: questi sono i testi, ora sbrogliatevela voi. Ciò sarebbe anche un approccio accettabile se il testo fosse indirizzato agli specialisti, ma il formato paperback, economico, destinato al mercato di un pubblico pià ampio rende inaccettabile l’edizione francese. Molte volte si dà per scontato il fatto che nella ricerca scientifica, i cambiamenti di strategia esplicativa, terminologici possono rappresentare un !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

contre une macro organisation textuelle supporté par le maximum des données et comparaisons, pourrait peut-être offrir une base pour éclairer des liens dans le texte et les noyaux théoriques cohérents entres les micro textes. A travers la relation entre les points de vues sur le texte comme un entier et comme des corps mineurs, serait possible vérifier l’évolution du travail sur la terminologie, sur les notions en relations à différents aspects théoriques. Une fois qu’on aura assuré le texte, on pourra enfin avoir une vision générale. C’est clair que la meilleure épreuve pour restituer le texte de Saussure serait une concordance entre donnés philologiques et liens théoriques. Mais, on a conscience, que aussi en lieu des discordances entre les données dictés par le niveau philologique et les réflexions du niveau théorique on aura une ultérieure indication des choix de Saussure. La non comparabilité, le changement de direction ou l’abandon des parcours et hypothèses précédentes, oblitéraient autres directions et créerait autres rapports entre les signes, ou simplement des autres possibilités d’interroger le texte et son auteur. 78 Cfr. Russo, 2006. De Mauro afferma di aver curato la sua edizione utilizzando una trascrizione messagli a disposizione da Engler. Questa trascrizione si allontana per certo aspetti da quella pubblicata da Gallimard e ne troviamo traccia nelle variazioni segnalate da De Mauro in nota al testo.

danno all’immagine solida, sistematica che si vuole dare di un autore. Al contrario siamo dell’idea che rappresentino la ricchezza dell’autore, il luogo in cui si origineranno le esposizioni di sistemi coerenti, il paratesto necessario per arrivare alla possibilità di chiarezza. Altre volte si considera come il punto d’arrivo finale, come il caso più fruttuoso79, mentre ciò non è sempre vero : spesso un forte nucleo teorico produce differenti diramazioni con allontanamenti, ridiscussioni e rielaborazioni – a volte parziali, altre volte generali e retroattive sull’interpretazione dell’intero nodo teorico. Per ogni testo pubblicato servono un numero di note, di prove di redazione, di esperimenti nell’atelier della scrittura vanno oltre il pubblicabile

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