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M de Sartine: personaggio storico al servizio del romanzo.

2. Versailles, una prigione dorata

3.2 M de Sartine: personaggio storico al servizio del romanzo.

Nato in una famiglia lionese originaria di Barcellona, Sartine218 occupa la carica di lieutenant général de police dal 1759 al 1774. Durante questi quindici anni che coincidono con gli ultimi anni di regno di Luigi XV Sartine porta avanti un duplice obiettivo: la sicurezza dei Parigini e il miglioramento delle loro condizioni di vita. Sartine appare sin dal primo romanzo e compare in ciascuno dei romanzi successivi. Una figura sempre presente all’interno della vita di Nicolas con cui mantiene uno stretto rapporto anche dopo aver rinunciato alla carica di lieutenant per ottenere la carica di Ministro della Marina nel 1774. Fra i commissario Le Floch e il suo superiore si instaura un rapporto spesso contrastato che porta i due a scontri e disaccordi che però vengono sempre appianati soprattutto grazie al rispetto che Nicolas ha per le cariche superiori e per il suo senso del dovere.

Quello di Sartine è un personaggio controverso che viene descritto da Parot dedito a sbalzi di umore e continuamente nervoso, amante dei sotterfugi e della segretezza.

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« Né à Barcelone en 1729. Décédé le 7 septembre 1801 à Tarragone. Marié le 9 juillet 1759 à Marie Anne Hardy du Plessis. Conseiller au Châtelet de Paris, puis lieutenant criminel et maître des Requêtes. Devient lieutenant général de police de Paris le 21 novembre 1759. Sa magistrature est une des plus longues. Il reste en place jusqu’au 30 août 1774. La police prend à son époque une plus grande extension sous tous les rapports et les vues du lieutenant général de police s’étendent à des soins plus constants notamment en matière de salubrité, de propreté ou encore de sûreté dans Paris. On lui doit des règlements concernant, entre autres, les boucheries de banlieue (18 décembre 1759), les abus de recrutage à Paris (27 mars 1760), la police des limonadiers, cabaretiers et billards publics (29 octobre 1760 et 28 février 1761), l’organisation des services des gardes, pompes et sapeurs pompiers (1767). Il organise en 1771 la Garde de Paris. Sartine débute la construction de la halle aux blés, crée une école gratuite de dessin pour les ouvriers et commence à faire installer des réverbères. Il passe cependant pour avoir nettement développé la police secrète au point de placer des « mouchards » au sein même des familles. Après avoir quitté la lieutenance générale de police, il devient ministre de la Marine ce qui est une promotion sans précédent, sans doute due aux intrigues de cour. Il ne laisse pas en tant que ministre de hauts faits derrière lui même s’il a eu à ce titre à conduire les guerres d’Amérique. Le comte d'Alby quitte la France durant la Révolution pour s’éteindre en Catalogne ». < http://www.sfhp.fr/index.php?post/2009/04/22/Notice-biographique-Antoine-Gabriel-de-Sartine > (8 giugno 2014).

Sartine parla delle sue origini ne L’énigme des Blancs-Manteaux : « Orphelin à quinze ans, sans fortune ni appuie, Espagnol par mon père qui était intendant de Catalogne, jeté au collège d’Harcourt

J’ai été abreuvé dès l’abord de mépris et de hauteurs ». EBM, p. 369.

Ne Le noyé du Grand Canal, risulta essere più preciso nel fornire informazioni riguardanti la sua vita : « Qui suis-je ? Un fils de négociant lyonnais né à Barcelone. Lettres de naturalité et noblesse confirmée en 1775. Et si je suis comte d’Alby, c’est par ma grand-mère Chatherine Witts, fille du secrétaire d’État de Jacques II pour la France. Elle fut señora de honor de la reine d’Espagne…[…] Et mon père, ce n’était pas un petit personnage ! Emprisonné par le cardinal Alberoni qui le poursuivit sur ses comptes d’intendant de marine et lui reprochait ses liens avec la France ! […] Agent secret de Dubois jusqu’à sa mort… Intendant de Barcelone ensuite, il se chargea des équipages, mules, carrosses, domestiques et provisions pour le duc de Saint-Simon, envoyé à Madrid comme ambassadeur ». NGC, p. 35.

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Fa la sua apparizione nelle prime pagine de L’énigme des Blancs-Manteaux e Nicolas ne descrive la fisionomia:

« Il paraissait plus vieux que son âge. Son front, haut et dégarni, frappait dès l’abord. Ses cheveux naturels, déjà grisonnants, étaient soigneusement coiffés et poudrés. Un nez pointu accentuait la sécheresse des angles d’un visage éclairé de l’intérieur par deux yeux gris fer pétillants d’ironie. La taille petite, mais redressée, soulignait la sveltesse du personnage sans pour autant diminuer l’autorité et la dignité qui en émanait »219.

L’amore maniacale che Sartine prova nei confronti delle parrucche è senza ombra di dubbio uno degli aspetti che maggiormente colpiscono della sua personalità. Nicolas fa la conoscenza della passione del suo superiore durante uno dei loro primi incontri e ne resta incuriosito220. Come riporta Parot stesso, l’interesse di Sartine per le parrucche è conosciuto da tutti i parigini ed è attestato in documenti storici221. La passione di Sartine non smette mai di sorprendere Nicolas che impara a conoscerla senza però farlo con il sorriso sulle labbra tanto questa pratica sembra stonare con quello che è il carattere rigido e a tratti burbero di M. de Sartine222. Ne L’énigme des Blancs-Manteaux, Nicolas assiste al lever di Sartine che consiste nel contemplare e prendersi cura della sua collezione223.

219

EBM, p. 25.

220

« Nicolas fut témoin d’un curieux spectacle lorsqu’il pénétra dans le bureau du lieutenant général de police. Assis dans un fauteuil, l’homme le plus grave de France paraissait plongé dans une méditation qui crispait son front. Il croisait et décroisait sans cesse les jambes et hochait vigoureusement la tête au grand désespoir d’un garçon coiffeur qui tentait de disposer ses cheveux en boucles ordonnes. Deux valets ouvraient des boites oblongues et en sortaient, avec précaution, différents types de perruques qu’ils essayaient, l’une après l’autre, sur un mannequin, revêtu d’une robe de chambre écarlate. Nul n’ignorait, dans Paris, que M. de Sartine avait une marotte : il collectionnait avec passion les perruques. Une manie aussi innocente pouvait être tolérée chez un homme à qui on n’attribuait aucune autre faiblesse ». EBM, p. 60.

221

« Il faut que vous sachiez, Monsieur, que M. de Sartine avoit un faible incroyable pour les belles perruques bien frisées, bien poudrées, etc. La collection de ses perruques, tant in-folio, in-quarto, in-

douze, grand et petit format, les unes plus carrées que les autres, se monte à soixante ou quatre-vingt

pièces du plus bel échantillon et du meilleur faiseur ». P. J. B. NOUGARET, Anecdotes secrètes du dix- huitième siècle, Paris, Leopold Collin, 1808, p. 51.

Alexandre Dumas nel romanzo Joseph Balsamo riporta la passione di Sartine per le parrucche : « M. de Sartine appela son perruquier : c’était un artiste, et il apportait à son client une véritable collection de perruques ; il y en avait de toutes les formes, de toutes les couleurs et de toutes les dimensions : perruques de robin, perruques d’avocat, perruques de traitant, perruques à la cavalière. M. de Sartine, pour les explorations, changeait parfois de costume trois ou quatre fois par jour, et il tenait essentiellement à la régularité du costume. Comme le magistrat essayait sa vingt-quatrième perruque, on vint lui dire que la voiture était attelée ». A. DUMAS PERE, Joseph Balsamo, mémoires d’un

médecin, Paris, Alexandre Cadot, 1847, T. 8, p. 230. 222

« Nicolas sourit à ce rappel de l’innocente manie de son chef ». FRR, p. 45.

223

« Nicolas gagna à pied la rue Neuve-Saint-Augustin. […] Arrivé à l’hôtel de Gramont, il demanda à un valet si le lieutenant général de police était visible, et il fut introduit presque aussitôt. M. de Sartine, en robe d’intérieur, fixait une grande armoire ouverte emplie de dizaines de perruques.

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Quando si trova di fronte a una parrucca la severa figura del lieutenant général de police sembra trasfigurare e perdere qualsiasi tipo di difesa224.

Ma un semplice armadio dove riporre il suo tesoro non basta ed ecco che Sartine si fa creare un armadio musicale che associa a ogni parrucca richiesta dal proprio padrone una melodia musicale225.

La passione di Sartine è in totale contrapposizione con l’idea che Nicolas ha delle parrucche: infatti, a differenza del suo superiore, il commissario Le Floch evita di portare la parrucca a meno che non si tratti di un occasione eccezionale226.

Nicolas savait que c’était sa joie, chaque matin, d’admirer et de manier sa collection. […] Le lieutenant général l’écoutait, le dos tourné, occupé à coiffer d’une petite brosse d’argent l’un de ses trésors ». EBM, pp. 275-276.

Il passare in rivista la sua collezione non può assolutamente venir meno :

« Quand il pénétrèrent dans le vaste bureau du lieutenant général de police, une spectacle inattendue les accueillit. Une assemblée silencieuse de perruques, serrées les unes contre les autres comme des soldats à la parade, peuplait la table. M. de Sartine, absent de sa demeure en raison d’une nuit passée au château, avait manqué son rendez-vous matinal avec sa chère collection. Et comme il ne pouvait supporter la moindre interruption dans les manifestations de son innocentes manie, il avait passé la revue habituelle à une heure différée ». ANLF, pp. 47-48.

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« Il déposa sur le bureau une boîte ovale en carton.

Sartine redevint un instant l’enfant qui jouait au toton dans les rues de Barcelone. Il avait reconnu aussitôt de quoi il s’agissait. Il prit la boîte, l’éleva à l’auteur de ses yeux comme pour une offrande, la reposa, sembla la respirer puis, timidement et comme à regret, souleva le couvercle, écarta le papier de soie et ferma les yeux avec une expression de volupté. Nicolas constata qu’il tremblait, le goût de la collection s’apparentait-il à une sorte de maladie ? Le ministre finit par obéir à une voix intérieure à laquelle pourtant une partie de lui-même semblait résister. Ses yeux se fermaient et se mouillaient d’attendrissement, finalement il plongea les mains dans la boîte en laissant échapper un soupir. Il souleva alors un flot de boucles argentées qui s’épandaient comme les souples tentacules de quelque monstre marin. Enfin, n’y tenant plus, il y plongea le visage ». SDF, p. 171.

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« [Sartine] posa la perruque, pirouetta et fit un petit saut qui le replaça devant Nicolas abasourdi. Il le prit par les épaules et le dirigea vers l’un des murs du cabinet. Là se dressait un meuble richement contourné de bronzes et de marbrures. Le plus surprenant consistait en des dizaines de boutons d’ébène, chacun marqué d’un chiffre en ivoire. Tout cela ressemblait à quelque mécanique extraordinaire. Nicolas songea aussitôt à un buffet d’orgue. Avec un air de triomphe enfantin qui le rajeunissait, Sartine appuya sur l’un des boutons. Il y eut come un échappement d’air. Nicolas se revit enfant, devant un rocher du Croisic qui faisait siphon aux grandes marées d’équinoxe. Une série de cliquetis suivit avec bruit lent de crécelle, puis une musique allègre se fit entendre. Il y eut de nouveau un échappement et un sifflement. Un panneau glissa doucement et, comme sur un plateau, une tête de quintaine couverte d’une perruque rousse apparut.

- C’est la Wurtembergeoise, dit Sartine épanoui. Que dites-vous de ma bibliothèque à perruques ? Je ne trouva pas d’autre terme. Il faudra que j’interroge les académiciens. Concevez-vous une pareille merveille ! Elles sont rangées dans un classement immuable, comme des fiches de police, à l’abri de la poussière et de la lumière, et toujours prête à surgir à la demande.

- Mais qui, monseigneur, possède l’art poussé à un point tel pour imaginer et batir une telle merveille d’horlogerie ?

- Et de musique ! De musique ! Vous avez reconnu l’air des Pagodes des Paladins de Rameau ». CHSF, p. 118.

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« Il ne portait perruque que dans les circonstances exceptionnelles, ne goûtant guère cet emprisonnement de sa tête et le nuage de poudre qu’il fallait répandre sur cette coiffure ». HVP, p. 68.

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Ma non è solo sull’argomento parrucche che i due personaggi non vanno d’accordo. Sartine, a differenza di Nicolas, è un uomo molto più pratico che cerca di andare subito alla conclusione dei fatti senza dover passare attraverso la spiegazione del motivo per cui si sono avverati. È per questo che non ama i racconti che Nicolas fa per riprendere le fila dell’inchiesta e spiegare i motivi e le intuizioni che lo hanno portato a scovare il o i colpevoli dei crimini che è chiamato a risolvere. In più di un’occasione il commissario Le Floch deve subire i borbottii e i brontolii del suo superiore che impaziente di arrivare al dunque non vuole stare ad ascoltare i particolari227.

Alla morte di Luigi XV, Sartine si dimette dall’incarico di lieutenant de police per assumere quello di ministro della marina. Di fatto però non abbandona mai la precedente carica, continuando a essere presente in maniera preponderante nella vita di Nicolas e del suo successore Lenoir. In più di un’occasione quest’ultimo subisce le ingerenze del nuovo ministro della marina che sembra non voglia abbandonare il suo vecchi incarico.

Un personaggio quindi che appare sempre impaziente e nervoso, dedito a sbalzi d’ira e incapace di restare fermo a pensare. Quando qualcosa non funziona come aveva programmato si agita e comincia a fare avanti e indietro nella stanza in cui si trova o prendendosela con il fuoco del camino sottolineando la sua insofferenza e una forte irrequietezza228.

Col passare degli anni il legame che lega Nicolas e Sartine diventa un legame forte, di rispetto e stima reciproca che si consolida soprattutto dopo che Sartine è stato sollevato dal suo incarico di ministro della marina. Come riporta Nicolas ne

Si ribadisce la medesima cosa ne l’affaire Nicolas Le Floch : « Il ne portait la perruque qu’à la Cour ou dans les occasions solennelles de sa fonction, quand il était revêtu de la robe de magistrat de police ». ANLF, p. 46.

227

« À l’Hôtel de police, Nicolas rencontra M. de Sartine dans l’escalier. Le lieutenant général était pressé et impatient et ce fut sur une marche que Nicolas dut rendre compte des premiers résultats de ses investigations. S’il s’était attendu à une approbation flatteuse, il lui fallut déchanter : il dut se contenter d’un grognement indistinct.

Nicolas, qui voulait se rendre à Vaugirard pour y interroger le docteur Descart, se hasarda pourtant à solliciter la permission d’emprunter une monture dans les écuries du service. Il lui fut répondu, sur un ton fort crêté, par un personnage écarlate, qu’ayant reçu une commission, dont on commençait à regretter de l’avoir octroyée, il n’avait qu’à en faire bon usage sans excéder le monde avec de bas détails et qu’il pouvait bien prendre un , douze ou cent chevaux, ânes ou mulets, pourvu que cela fût pour le service du roi ». EBM, p. 77.

228

« Sartine se dressa et se mit de son habitude à arpenter le cabinet ». SDF, p. 400.

« Le ministre jaillit de son fauteuil, diable vêtu de noir, une boucle de sa perruque blanche déroulée lui battant la joue. Il se mit à son habitude à arpenter la pièce ». HDS, p. 243.

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L’enquête russe: «C’était la quatrième fois que Nicolas revoyait son ancien chef. Il éprouvait une joie sans mélange de ces retrouvailles où l’absence de contraintes, la dissolution des liens hiérarchiques établissaient enfin une sorte d’égalité dans la relation maintenant ancienne de deux hommes»229.

Nonostante il rispetto reciproco che esiste fra i due sin dal primo incontro, Sartine non è mai sincero fino in fondo con il commissario Le Floch che in più di un’occasione viene tenuto all’oscuro di molti particolari riguardanti il caso su cui deve indagare230. Nel romanzo intitolato Le cadavre anglais, l’agire alle spalle di Nicolas mettendo su un’organizzazione di spionaggio nei confronti dell’Inghilterra è motivo di rottura fra i due; una rottura che si risana ne Le noyé du Grand Canal, dove Nicolas mette da parte i dissapori e torna di nuovo a collaborare con Sartine. Lo spiccato senso civico di Sartine è una delle costanti del suo carattere. Il suo dovere nei confronti dello Stato viene messo davanti a tutto e tutti. Non ci sono limiti per lui, per questo si troverà invischiato in un affare di debiti. Per sostenere e dare di nuovo lustro alla marina militare francese cerca di raccogliere dei fondi supplementari oltre a quelli che già riceve dalle casse dello Stato. Ma per raccogliere questi fondi investe sulla Compagnia delle Indie inglese «dont les bénéfices sont prodigeux»231. Stipulare un contratto con una compagnia appartenente a un paese contro la quale la Francia è in guerra può portare solo a una conseguenza: crimine di lesa maestà. Sartine però sembra sfidare il pericolo a cui potrebbe andare incontro perché anche se il rischio è alto quello che per lui conta è il bene comune dello Stato francese232.

229

ER, pp. 26-27.

230

« Il ne se faisait guère d’illusion sur la sincérité d’un homme dont il avait maintes fois mesuré la capacité de secret et les détours manœuvriers. Qu’il lui dissimulât ses vraies raisons d’agir, son travail quotidien à ses côtés depuis tant d’années l’en avait convaincu. Sartine tenait étroitement serré sa réserve de secrets et gardait toujours, comme tout bonne politique, plusieurs fers au feu. En outre, une part de son activité demeurait inconnue de son collaborateur, qui tenait à ses activités maçonniques ». CHSF, p. 240.

231

HDS, p. 323.

232

La vicenda delle dimissioni di Sartine è una vicenda realmente accaduta anche se Parot per esigenze di romanzo ne cambia alcuni particolari. A tal proposito risulta essere di particolare interesse un passaggio tratto dal Journal dell’Abbé de Very :

« J’ai déjà dit qu’en 1779 M. de Sartine exposa dans un mémoire, que le Trésor royal devait à la marine quarante millions sur les fonds arrêtés et décidés dans les années précédentes, et que la marine devait cette somme à ses fournisseurs. Il y ajouta qu’il pourrait faire patienter les fournisseurs pour la moitié de la dette, mais qu’il lui fallait absolument vingt millions. M. Necker ne les avait pas lui à lui donner. Il fut décidé qu’on tirerait sur le trésorier de la Marine des lettres de change qu’il enregistrerait pour les payer à leur terme jusqu’à la somme de seize millions. C’était un pur virement

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Dopo lo scandalo dei fondi per la marina militare, Sartine viene fatto dimettere dal ministero233. L’ex ministro della Marina si ritira ufficialmente da ogni carica godendo di una buona pensione accordatagli da Sua Maestà. Ma come si apprende nei romanzi L’enquete russe e L’année du volcan, Sartine non esce di scena ma passa dallo stare in primo piano a dietro le quinte, dove continua a muovere i suoi fili234. Una figura costante sia nella vita di Nicolas ma più in generale nella vita del regno di Francia. Un personaggio che arricchisce i libri di Parot e che risulta essere indispensabile per far funzionare e mettere in risalto il protagonista Nicolas.

des billets que M. Necker avait défendu par un arret du conseil aux trésoriers de la Marine et de la Guerre de mettre sur la place. On fit ensuite les fonds pour la marine en 1780 à raison de cent vingt millions par an, et les dix millions ont été payés exactement chaque mois par le Trésor royal. Le trésorier de la Marine donnait à son ministre et à celui des Finances, pour leur instructions, une note des dépenses de chaque mois. Cette note portait communément la dépense au-delà des dix millions. M. Necker pouvait y voir, en conséquence, que la Marine dépensait plus que la somme arrêtée. Mail il pensait que cela venait ou de ce que des mois coûtent plus que d’autres ou de ce que l’excédent avait rapport aux seize millions convenus. Cependant, de temps en temps, M. de Sartine lui disait qu’avec