Nonostante sotto l’Ancien Régime fosse di fatto una pratica proibita, nella Parigi del XVIII secolo la prostituzione è una delle attività più rigogliose, anche grazie al libertinaggio che imperversa in tutti gli strati della società.
La storia della repressione della prostituzione è una successione poco coerente di proibizioni e tolleranze. Se nel Medio Evo, infatti, la prostituzione è ammessa nei bordelli, a partire dal XV e soprattutto dal XVI secolo i principi religiosi e morali ne limitano sempre più questo esercizio, appoggiati dalla preoccupazione sanitaria di cercare di limitare la trasmissione della sifilide. Si arriva quindi nel 1560, con
dénonçaient le salpêtre et le resurgissement des sels qu’exsudait, sous le travail incessant de l’humidité, le calcaire des murs. Le pied glissait dans les passages obscurs où le sol pourri et spongieux, semblable à celui d’une grotte marine tapissée d’algues, se résorbait en boue. Sur tout cela flottait une odeur froide et pénétrante, presque palpable, opaque à force d’oppression […]. À tout cela s’ajoutait l’odeur de crasse et de graillon qui émanait de l’habit de coutil gris du geôlier. Le bruit précipité de son essoufflement et celui de leurs pas étaient la seule manifestation humaine de cet univers désert ». EBM, pp. 294-295.
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l’Ordonnance d’Orléans, a una chiusura - teorica - della case di tolleranza109 : la prostituzione di fatto non diminuisce.
Il problema si pone nuovamente sotto il regno di Luigi XIV che, nel 1684, decreta la reclusione alla Salpêtrière per ogni donna che eserciti la prostituzione a Parigi110. Il peccato del mercimonio deve essere espiato e corretto mediante la preghiera e il lavoro. Anche con il tema della prostituzione è possibile notare come il periodo dell’Ancien Régime sia caratterizzato dalla volontà di voler eliminare tutto ciò che va a scontrarsi con la sensibilità sociale dell’epoca. Non si cerca di risolvere e capire il problema, semplicemente si nasconde, evitando che lo sguardo dei nobili possa venire a contatto con la miseria, le umiliazioni e i pericoli in cui le prostitute incorrono.
È sempre con l’editto del 1684 che il re accorda al Lieutenant Général de Police dei poteri eccezionali in materia di sorveglianza dei costumi e della prostituzione, affidandogli quindi il compito di provvedere all’incarcerazione e alla correzione di tutti coloro accusati di atti osceni in luogo pubblico e di sfruttamento della prostituzione.
Nel 1713, la Déclaration royale pour la Ville de Paris, ribadendo il reato di prostituzione, costituisce l’unico testo legislativo in materia che resta valido per tutto il XVIII secolo. La Declaration royale regola il conflitto di competenza che era nato
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« Ordonnance d’Orléans de 1560, art. 101 : Défendons aussi tous bordeaux, berlans, jeux de quilles et de dés, que voulons être punis extraordinairement, sans dissimulation ou connivence des juges, à peine de privation de leur office ».
< http://ledroitcriminel.free.fr/dictionnaire/lettre_b/lettre_bor.htm > (13 maggio 2014).
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“Règlement pour la punition des femmes publiques de Paris et pour le traitement dans la maison de la Salpêtrière de l’hôpital général où elles seront enfermées
Les femmes d’une débauche et prostitution publique et scandaleuse, ou qui en prostituent d’autres, seront renfermées dans un lieu particulier destiné pour cet effet dans la maison de Salpêtrière, lorsqu’elles y seront conduites par l’ordre de S.M., ou en vertu des jugements qui seront rendus pour cet effet au Châtelet par le lieutenant de police à l’encontre desdites femmes sur les procès qui leur seront instruits pour y demeurer durant le temps qui sera ordonné […].
Lesdites femmes entendront la messe les dimanches et les fêtes, et seront traitées des maladies qui leur pourront survenir, sans sortir du lieu où elles seront renfermées, qu’en cas d’une nécessité indispensable. Elles prieront Dieu toutes ensemble un quart d’heure le matin, autant le soir, et durant la journée on leur fera lecture du catéchisme et de quelques livres de piété, pendant le travail auquel on trouvera à propos de les employer.
Elles seront habillées de tiretaine avec des sabots ; elles auront du pain, du potage et de l’eau pour nourriture, et une paillasse, des draps et une couverture pour se coucher.
On les fera travailler le plus longtemps et aux ouvrages les plus pénibles que leurs forces le pourront permettre, en la manière en laquelle les directeurs qui en auront le soin particulier trouveront à propos”. F.-A. ISAMBERT, A. JOURDAN, DECRUSY, op. cit., vol. 19, pp. 444-445.
<<http://books.google.fr/books?id=SMM0AQAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge _summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false > (13 maggio 2014).
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negli anni precedenti fra la giustizia criminale dello Chatelet e il tribunale del Lieutenant Général de Police, dal momento che entrambe le istituzioni si contendevano il compito di giudicare i colpevoli di prostituzione e ruffianeria.
Nel 1734 Luigi XV emana una nuova ordinanza riguardante le pene da infliggere a coloro che sono state accusate di aver corrotto una donna onesta. Quest’ordinanza viene citata in maniera esplicita da Nicolas nel romanzo Le sang des farines111, nel momento in cui, sottoponendo La Gourdan a un interrogatorio, le vengono elencati i rischi a cui va incontro se non acconsente a collaborare con la polizia.
La seconda metà del secolo è caratterizzata dalla creazione di un ispettore di polizia interamente dedicato alla gestione del problema dei costumi cittadini. Nel 1747 la carica è attribuita all’ispettore Meusnier, al quale succederà l’ispettore Marais112 che compare nella vicenda raccontata all’interno del libro Le sang des farines.
Se sotto il regno di Luigi XV la prostituzione viene tollerata, non risulta essere lo stesso sotto il regno di Luigi XVI che da il via a una forte repressione. È nel 1778 che Le Noir, Liutenant Général de Police in carica, promulga un’ordonnance volta a gestire e a eliminare la prostituzione dalla città di Parigi. In questa legge tutto è vietato: le prostitute non possono adescare clienti per strada e nemmeno, restando chiuse nelle loro dimore, dalle finestre. È vietato loro l’accesso alle promenades pubbliche e ai giardini.
Durante il XVIII secolo si assiste a un tentativo di sradicamento della prostituzione senza però ottenere risultati efficaci dato che è proprio in questo secolo che si registra il più alto numero di bordelli e di prostitute presenti nella capitale e in provincia. Si assiste a una repressione attiva ma apparentemente inefficace.
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« […] Vous risquez, selon l’ordonnance du roi de 1734, d’être marquée, fouettée et promenée sur un âne, le visage tourné vers la queue, avec un chapeau de paille et des écriteaux portant les mots maquerelle publique ». SDF, p. 238.
Una descrizione dell’evento è possibile ritrovarla in Mercier che scrive : « À la tête marchait un tambour, ensuite venait un sergent armé d’une pique ; un valet conduisait un âne par la bride ; sur l’animal à longues oreilles était montée à reculons la matrone, appareilleuse ou séductrice, le visage tourné contre la queue de la bête ; une couronne de paille artistement rangée ornait sa tête. Sur son dos et sur sa poitrine pendait un écriteau en gros caractère, avec ces mots : Maquerelle publique ». L.S. MERCIER, op. cit., tomo II p.18.
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« Le chef de département de la discipline des mœurs qui tient le registre des filles et contrôle les feuilles quotidiennes de renseignements des maquerelles. Il n’est pas facile d’accès, double et triple au besoin, bourrelé de précautions, pris au piège d’intrigues multiples, et au fait de milles secrets touchant les gens en place ». SDF, p. 229.
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È grazie a un’intera serie di capitoli dedicati al mondo della prostituzione che Mercier, nei suoi Tableau de Paris, permette di riconoscere i differenti tipi di prostitute che abitano la Parigi del XVIII.
Le filles publiques:
« Elles se donnent après tout pour ce qu’elles sont ; elles ont un vice de moins, l’hypocrisie : elles ne peuvent causer les ravages qu’une femme libertine et prude occasionne souvent sous les fausse apparences de la modestie et de l’amour. Victimes de l’indigence ou de l’abandon de leurs parents, rarement déterminées par un tempérament fougueux, elles s’offensent ni de l’outrage ni du mépris ; elles sont avilies leurs propres yeux ; et ne pouvant plus régner par les grâces de la pudeur, elles se jettent du côté opposé, elles étalent l’audace de l’infamie »113.
Se le filles publiques vivono nella miseria delle strade parigine senza nemmeno potersi vestire in maniera vistosa a causa di una ordinanza della polizia, non vale lo stesso per un’altra categoria di prostitute: le cortigiane.
« On appelle de ce nom celles qui, toujours couvertes de diamants, mettent leurs faveurs à la plus haute enchère, sans avoir quelquefois plus de beauté que l’indigente qui se vend à bas prix. Mais le caprice, le sort, le manège un peu d’art ou d’esprit mettent une énorme distance entre des femmes qui n’ont que le même but. […] On peut placer les courtisanes entre les femmes décemment entretenues et le filles publiques »114.
Alla sommità di questa scala sociale interna alla prostituzione, si trovano le filles entretenues :
« Elles ont un amant qui paye, dont elles se moquent, qu’elles rongent et dévorent, et un autre à leur tour, qu’elles payent, et pour lequel elles font milles folies »115
.
A conclusione di questo quadro si trova la figura della matrone solitamente un’ex prostituta che, non essendo più nel fiore degli anni, dedica il resto della sua vita alla ruffianeria116.
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L.S. MÉRCIER, op. cit., tomo I, p. 549.
Lo stesso Parot, in un breve passaggio, fornisce al lettore uno spaccato della vita che conducevano queste ragazze, soffermandosi anche sul rapporto che queste ultime avevano con le forze dell’ordine.
« La grande allée était bordée de deux rangées de jeunes femmes en tenues claires avec, çà et là, des
enfants qui jouaient à se poursuivre. Depuis peu, les policiers du bureau des mœurs observaient les filles publiques qui occupaient sur les chaises louées des points stratégiques. De là, elles raccrochaient le passant par des regards qui faisaient baisser les yeux aux plus hardis comme aux plus pudiques. Elles attendaient avant midi que quelqu’un leur offrît à dîner, et elles manquaient rarement leur coup. Le commissaire du quartier s’en était ouvert à Nicolas, tout en lui précisant que l’enclave des Tuileries échappait à sa juridiction, les jardins royaux dépendant de la prévôté de l’Hôtel. Or, les agents de cette institution paraissaient infiniment moins sévères que les hommes de la police. Le bruit courait en effet qu’ils se laissaient facilement corrompre et ne dédaignaient pas de prélever leur tribut de plaisir gratuit en acceptant de fermer les yeux sur la coupable industrie des servantes de Vénus ». FRR, p. 285. 114
FRR, p. 601- 602.
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Fra i vari tipi di maquerelle, Parot focalizza maggiormente la propria attenzione su colei che gestisce una casa di tolleranza. Nasce il personaggio de La Paulet, un personaggio fittizio, che assumerà un ruolo di rilievo all’interno delle indagini del commissario Le Floch.
All’interno di questo quadro, la politica portata avanti dalla polizia nei confronti della lotta alla prostituzione presenta due aspetti apparentemente contraddittori. Se da una parte è possibile assistere a dei veri e propri rastrellamenti, dall’altra si nota un atteggiamento di tolleranza che la polizia sembra praticare nei confronti di alcune case chiuse della città. È possibile sostenere che, in quest’ultimo caso, le maquerelle oltre a non subire i castighi che la legge imporrebbe loro, godono di una sorta di protezione da parte di quell’organo statale che dovrebbe invece combatterle.
Nei suoi romanzi Parot illustra in maniera chiara e lineare il rapporto di protezione che lega la polizia alla prostituzione. Un rapporto che è caratterizzante di tutto il secolo e che si basa nel procurare alla polizia notizie e informazioni utili in cambio di una maggiore tolleranza nei confronti dell’esercizio della prostituzione.
Come spiega il commissario Lardin a Nicolas ne L’énigme de Blancs-Manteaux: «la police devait s’appuyer, pour fonctionner, sur une foule d’indicateurs, de “mouches”, et de prostituées, monde ambigu qui permettait au lieutenant général de police d’être l’homme de France le mieux informé des secrets de la capitale»117
. Nonostante il personaggio de La Paulet sia frutto dell’immaginazione dell’autore, la figura di questa maquerelle è costruita in modo tale che permette di comprendere in maniera chiara quello che era il rapporto di protezione fra polizia e matrone. La Paulet assume un ruolo fondamentale all’interno delle indagini portate avanti da Nicolas e Bourdeau che in ogni romanzo ricorrono a lei come fonte privilegiata di
116
« Il y a des matrones de plusieurs sortes. Les filles entretenues du plus haut rang ont leurs matrones qui les accompagnent partout. C’est une dame de compagnie pour les actrices renommées, ainsi que pour les danseuses ; c’est une nourrice et une entrepreneuse pour les filles pauvres, ou pour ces beautés vagabondes qui vont de spectacle en spectacle chercher des aventures, c'est-à-dire, des soupers.
Les matrones n’ont plus besoin de mettre en jeu l’art de la séduction ; la licence des mœurs modernes, le gout du libertinage et la pauvreté, mauvaise conseillère, conduisent tout naturellement une infinité de filles chez elles ». L.S. MERCIER, op. cit., tomo II, pp 11-12.
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informazioni. Si crea un rapporto basato sulla reciprocità, un do ut des da cui entrambi le parti traggono i propri profitti118.
Lo stesso Nicolas, in una riflessione personale su La Paulet, spiega in maniera chiara il rapporto fra polizia e maquerelle enumerando alcune fra le più famose nella Parigi del XVIII secolo:
« Comme jadis ses consœur en Vénus, la Gourdan, la Mûle, la Bissault ou la Paris, la maitresse [La Paulet] de ce temple de luxure, grimée en Cassandre, s’attachait sans relâche à alimenter l’inspecteur chargé des mœurs d’informations et de signalement. Le commissaire était bien placé pour savoir que la police, dans l’impossibilité de tarir la débauche, cherchait, du moins à en tirer les avantages qu’elle lui procurait en faveur du bien public ou de la sureté du royaume. Qui fréquentait ce lieu pouvait être assuré d’être reconnu, espionné et désigné à qui de droit »119
.
È grazie al ruolo de La Paulet che è possibile capire il legame nascosto che intercorre fra la polizia parigina e le importanti matrone che hanno fatto della prostituzione un commercio di lusso.
Le case chiuse dell’epoca sono caratterizzate da una ricerca continua del lusso e dei dettagli, volta a soddisfare la necessità di una clientela variegata che diventa sempre più esigente. Come spiega La Paulet ne Le Fantôme de la rue Royale:
« Nos maisons sont bien tenues et doivent affronter le changement. Les riches pratiques recherchent autre chose. Il leur faut des « nouveautés ». Nos maisons s’appuyaient sur la force de l’habitude ; c’est le luxe et le raffinement qui sont les denrées nécessaires aujourd’hui. J’ai épousé cette façon de voir. J’ai investi une partie de mon héritage à transformer ce lieu au goût du jour »120.
I bordelli non si limitano a essere dei luoghi in cui è possibile intrattenersi con le donne ma diventano delle vere e proprie case di piacere in cui accanto alle ragazze compare anche il gioco d’azzardo.121Nonostante la legge ne faccia patente divieto, nel XVIII secolo il gioco d’azzardo è ampliamente tollerato dal potere monarchico. Uomini o donne, nobili o poveri, perfino la classe sacerdotale, non c’è strato sociale che nel 1700 sia esente dalla mania del gioco. Il XVIII secolo vede la Francia
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« Je rends service, j’écoute, je m’informe, je rapporte, je préviens et je prête la main. On me protège. C’est un très honnête marché pour moi, où je trouve mon compte et vous aussi ». EBM, p. 116. 119 HDS, p. 198. 120 FRR, p. 99. 121
È il caso della casa chiusa chiamata Dauphin Couronné, di proprietà de La Paulet e sita in rue du Faubourg-Saint-Honoré. Come spiega il dottor Semacgus a Nicolas: “au rez-de-chaussée on soupe; à la cave, table de pharaon et aux étages, les filles”. EBM, p. 69.
Il Dauphin Couronné, compare in ciascuna delle indagini del commissario Le Floch. Questa assiduità consente di assistere ai suoi rimodernamenti, permettendo al lettore di farsi un’idea su quella che è una casa chiusa tipo dell’epoca in cui sono narrate le vicende.
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dedicarsi interamente al gioco d’azzardo. Se i nobili vedono nel gioco un semplice divertimento che serve solamente a riempire giornate che altrimenti sarebbero vuote e noiose, i poveri scorgono in una fortuita vincita la possibilità di migliorare la loro posizione economica.
Il gioco d’azzardo imperversa in tutta Parigi: si può trovare da giocare in ogni tripot, cabaret o caffè, spesso addirittura semplicemente per strada stando comunque sempre attenti a evitare la polizia. Esiste però una zona specializzata della città dedicata a tale scopo: è infatti, nel faubourg Saint-Honoré122 che si trova la maggior parte delle case da gioco tollerate o clandestine.
Anche se largamente tollerato, la polizia non può fare a meno di controllare il gioco d’azzardo che, infatti, compare con assiduità all’interno delle inchieste condotte da Nicolas. Un vero e proprio cancro della società che in molti casi porta coloro che ne sono assuefatti a commettere reati per poter pagare i propri debiti. Come sostiene Nicolas: «Tout à Paris, dans le monde du crime, tournait autour du jeu, de la débauche et du vol»123.
La piaga del gioco d’azzardo non resta circoscritta solo alla capitale ma arriva fino a Versailles dove con Maria Antonietta il gioco d’azzardo raggiunge il suo apogeo. Sia ne Le cadavre anglais che ne L’année du Volcan, la regina si trova in situazioni alquanto spiacevoli proprio a causa della sua passione per il gioco che la porta a scommettere e a perdere ingenti somme di denaro124.
Fra i giochi più in voga dell’epoca compaiono il pharaon, il biribi e la cavagnole. Il pharaon, antico gioco di carte di origini italiane, è il gioco per eccellenza preferito da Maria Antonietta. Gioco dalla regole particolarmente complicate, consiste nel puntare somme di denaro sulle dieci carte che il banchiere stende sul tavolo. Il biribi «comprenait un tableau sur lequel étaient inscrits soixante-dix numéros. Le jeu consistait à placer sa mise sur une des dix-sept parties du tableau. Le numéro gagnant, porté sur une boule, était tiré d’un sac par le banquier. Restait que
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« As-tu jamais lu le rapport de nos confrères Rochebrune, Delafleutrie et Chenu qui, il ya vingt ans de cela, enquêtèrent sur ce phénomène ? La rue Saint-Honoré à elle seule regroupe le quart des perquisition opérées, suivie par quelques rues avoisinantes, l’Arbre sec, Croix-des-Petits-champs et d’Orléans ». ER, p. 94.
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EBM, p. 41.
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« Mes dettes dépassent de quatre cent mille livres ». LCA, p. 135
« J’ai perdu une somme considérable… Six cent louis d’or…J’ai voulu doubler ma chance et j’ai multiplié mes pertes ». J.-F. PAROT, L’année du volcan, Paris, édition Lattès 2012, p. 119. (D’ora in poi abbreviato ADV)
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celui-ci avait toujours l’avantage»125. La cavagnole «c’est une espèce de biribi dont le tableau est partagé en six, huit et même dix tableaux de douze cases chacun, et autant de boules que de chiffres… Ce jeu est assez de mouvement sans être vif; mais il amuse beaucoup de personnes en même temps, dont les uns peuvent jouer plus petit jeu et les autres plus gros par les parieurs»126.
Degno di particolare attenzione è il gioco della loterie, unico gioco d’azzardo a essere formalmente riconosciuto dallo Stato. La lotteria appoggia il proprio successo