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TRADUZIONE CON TESTO A FRONTE

Jacquot 1: Mamma, è fantastico Non c’è più scuola Siamo in vacanza! Marilou: È a causa della guerra.

Un’automobile immatricolata in Belgio li raggiunge nel cortile.

Marilou: Attenzione!

Andava al rallentatore con il rumore caratteristico della biella fusa. Si vede che è belga dal numero di targa e anche perché “Belgen” (Belga) è scritto sul fianco della macchina carica fino al tettuccio. Marilou li accoglie [facendo il gesto per indicare: finita la benzina, ahimé…]

Marilou: Bongiorno, Signore.

Il conducente belga: Buongiorno Signora, il garage è aperto?

55 Tradotto in italiano con il titolo “La favolosa storia di Pelle d’Asino” (1970). [N.d.T.]

56 “È decisamente meglio che prendere la scarlattina. / È meglio che prendersi il veleno per topi. / È meglio

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Marilou : Pas vraiment, mais enfin, allez voir l’ouvrier, il pourra peut-être vous aider. Femme (elle est sortie de voiture. Avec l’accent assorti) : On peut remplir notre bouteille ? Marilou : Oui, bien sûr, entrez.

Une autre femme, plus jeune, sort de la voiture avec un petit garçon d’environ 6-8 ans, les chevaux très blonds. Elle le prend dans ses bras, lui parle en flamand. Elle contourne la voiture, Jacquot la suit. Son copain René s’en va. Jacquot reste sur le pas-de-porte alors la jeune femme et son fils entrent dans la cuisine.

Marilou (off, dans la cuisine) : Y’a longtemps que vous êtes sur la route ? Femme (off) : On roule depuis Bruges.

L’autre femme (off) : On est partis comme des fous. Les gens disaient que les Allemands

violent les femmes... et coupent les mains des enfants. On est parti dans l’affolement… 16 juin 1940. Rue / Ext. jour

Marilou et ses enfants vont faire des courses et trouvent leur boucher habituel en train de tirer le rideau de fer.

Le boucher : Trop tard, Madame Demy, on ferme boutique. Marilou : Vous fermez pour de bon ?

Le boucher : Les Allemands seront là d’ici deux ou trois jours. Ils saccagent tout, ils tuent.

Nous on s’en va ! [On dit qu’ils violent les femmes et coupent les mains des enfants. C’est eux les bouchers. Moi, je retourne à la ferme.]

Par la fenêtre, on sort un matelas pour le mettre sur le charreton. Deux hommes l’arriment avec des cordes.

Marilou (à la femme à la fenêtre) : Alors vous partez tous, Madame Jaulin ? Mme Jaulin : On retourne à la ferme.

Passant (off) : Oh ! Les Jaulins s’en vont…

Un enfant (sans doute un fils Jaulin) : Et toi, tu pars ? Jacquot 1 : Oh moi, je sais pas !

Marilou, choquée, entraîne ses fils. 18 juin 1940. Chambre / Int. jour

Yvon est en train de jouer aux petites voitures. Il fait rouler ses modèles réduits dans un garage miniature.

Jacquot 1 (off) : T’as envie de partir, toi ?

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Marilou: Non proprio in realtà, ma vada a cercare l’operaio, le potrà essere d’aiuto.

Donna (esce dalla macchina. Con un accento presente): Possiamo riempire la nostra

bottiglia?

Marilou: Sì, certamente, entrate.

Un’altra donna, più giovane, esce dalla macchina con un ragazzino di circa 6-8 anni, i capelli biondissimi. Lo prende in braccio, gli parla in fiammingo. Gira intorno alla macchina, Jacquot la segue. L’amico René se ne va. Jacquot resta sull’uscio mentre la giovane donna e suo figlio entrano nella cucina.

Marilou (fuori campo, nella cucina): È da tanto che siete in viaggio? Donna (fuori campo): Siamo in macchina da Bruges.

L’altra donna (fuori campo): Siamo partiti come dei pazzi. La gente dice che i tedeschi

violentano le donne…e tagliano le mani ai bambini. Siamo partiti nel panico… 16 giugno 1940. Strada / Est. giorno.

Marilou e i suoi figli vanno a fare compere e trovano il macellaio di fiducia che sta chiudendo la saracinesca.

Il macellaio: Troppo tardi, signora Demy, chiudiamo il negozio. Marilou: Chiudete per sempre?

Il macellaio: I tedeschi saranno qui in meno di due o tre giorni. Saccheggiano tutto,

uccidono. Noi ce ne andiamo! [Dicono che violentano le donne e tagliano le mani ai bambini. Sono loro i macellai. Io ritorno alla fattoria.]

Dalla finestra, fanno uscire un materasso per metterlo sul carretto. Due uomini lo fissano con due corde.

Marilou (alla donna alla finestra): Allora partite tutti, signora Jaulin? Sig.ra Jaulin: Ritorniamo alla fattoria.

Passante (fuori campo): Oh, i Jaulin se ne vanno…

Un bambino (senza dubbio un figlio dei Jaulin): E tu, parti? Jacquot 1: Oh, io non lo so!

Marilou, scioccata, trascina i suoi figli. 18 giugno 1940. Camera / Int. giorno.

Yvon sta giocando con le macchinine. Fa circolare i modellini in un garage in miniatura.

Jacquot 1 (fuori campo): Tu ce l’hai voglia di partire? Yvon (si gira verso il fratello, alza le spalle): Non lo so.

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Jacquot est sur son lit, ses parents à côté de lui.

Jacquot 1 : Papa ?

Raymond (il est assis sur le lit d’à côté, Marilou le rejoint) : C’est vrai, les Allemands

arrivent. On part ou on part pas ?

Marilou : Partir où ? [On est quatre...] Je peux pas laisser Maman toute seule...

19 juin 1940. Porche / Ext. jour

Les gens partent, avec des charrettes, des voitures pleines à craquer, on y ajoute encore un matelas sur le toit. Des gens à pied aussi... Des gens de l’immeuble vont vers la rue avec des valises. Jacquot, devant le porche, observe le défilé. Deux soldats français arrivent en se pressant jusqu’au garage. Jacquot leur emboîte le pas.

Premier soldat : Quelqu’un peut nous aider ?

Second soldat : Prêtez-nous des habits. Les Allemands sont partout. On veut pas être faits

prisonniers.

Une voisine est en train d’arrimer tout ce qu’elle peut sur une charrette, se tourne vers eux.

La voisine : Qu’est-ce que vous voulez ? On s’en va ! Raymond (off) : Par ici, les gars !

Ils accourent vers le garage atelier. On reste sur ceux qui chargent leur charrette. Garage / Int. jour

NOIR ET BLANC. Les soldats sont équipés comme en hiver avec leur veste et leur capote, et le casque et les sacs et les armes.

Raymond (à Guy) : Monte chercher des bleus.

Premier soldat : On se replie mais on sait même pas si c’est encore la guerre !

Guy monte au vestiaire et jette deux bleus depuis le haut. Les soldats se défont de leurs habits et de leurs armes, qu’ils jettent dans la fosse...

Guy : Jacquot ! Attrape !

Jacquot les attrape au vol et les apporte aux soldats.

Jacquot 1 : Tenez !

Premier soldat : Merci, petit gars.

Raymond referme la fosse. On voit le bois noir des traverses qui la bouchent. Porche / Ext. jour

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Jacquot è sul letto, i suoi genitori vicino a lui.

Jacquot 1: Papà?

Raymond (è seduto sul letto di fianco, Marilou lo raggiunge): È vero, i tedeschi stanno

arrivando. Partiamo o no?

Marilou: Partire per dove? [Siamo in quattro…] Non posso lasciare mamma da sola…

19 giugno 1940. Portico / Est. giorno.

Le persone partono, con carrette, auto piene zeppe, dove si aggiunge ancora un materasso sul tettuccio. Persone a piedi…persone che dall’edificio vanno verso la strada con delle valigie. Jacquot, davanti il portico, osserva il corteo. Due soldati francesi arrivano di corsa fino al garage. Jacquot li segue passo per passo.

Primo soldato: Qualcuno può aiutarci?

Secondo soldato: Prestateci dei vestiti. I tedeschi sono dappertutto. Non vogliamo che ci

facciano prigionieri.

Una vicina sta caricando tutto quello che può su un carretto, si volta verso di loro.

La vicina: Che cosa volete? Ce ne stiamo andando! Raymond (fuori campo): Da questa parte ragazzi!

Accorrono verso l’officina del garage. Si resta su coloro che stanno caricando il carretto. Garage / Int. giorno.

BIANCO E NERO. I soldati sono attrezzati per l’inverno, con la divisa e il cappotto, e l’elmo e il sacco delle armi.

Raymond (a Guy): Sali a prendere delle tute.

Primo soldato: Ci ritiriamo ma non sappiamo neanche se siamo ancora in guerra!

Guy sale nel guardaroba e lancia due tute dall’alto. I soldati si disfano dei loro abiti e armi, che gettano nella buca…

Guy: Jacquot! Prendi!

Jacquot le afferra al volo e le porta ai soldati.

Jacquot 1: Prendete!

Primo soldato: Grazie, giovanotto.

Raymond richiude la fossa. Si vede il legno nero delle travi che la bloccano. Portico / Est. giorno.

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Les Allemands passent dans l’allée, propres et habillés d’été : ils ont pris la ville. Ceux de la cour sont groupés, ou du moins, ceux qui restent, peu.

Jacquot 1 (à Madame Bredin, la tapissière, qui retourne sur ses pas) : Elle est pas là, Reine

?

Madame Bredin : Non. Elle est à l’abri, chez ma sœur à Machecoul.

Marilou (qui les attend au fond de la cour) : Toujours pas de nouvelles de votre mari ? Madame Bredin : Je l’attends. Je m’inquiète. Mais je vais quand même à l’atelier.

Jacquot s’éloigne. Marilou regarde défiler les Allemands. On les entend chanter « Heidi, heido, heida» …

Août 1940. Cinéma l’Olympic / Ext. jour

Jacquot, sa mère et sa tante vont voir [« Les Disparus de St-Agil »] « Effeuillons la Marguerite », un film allemand de Theo Lingen (1939), au cinéma. Deux officiers allemands et deux auxiliaires féminines en uniforme rejoignent la queue.

Un officier : Ich spreche gut Französisch. Ich werde sie übersetzen. (Ils se placent derrière

Marilou et Jacquot. Ils parlent fort, en allemand.) Wisse sie, ich habe gehört sie werden baid Soldaten ins Kino einsetzen.

Jacquot 1 (à sa mère) : C’est bizarre cette langue : allemand.

Marilou : Chut ! On en parlera à la maison. Regarde plutôt l’affiche, là ! L’autre officier : Etwas neues ?

Le premier officier : Ya, Congres den Studenten.

COULEUR. Gros plan sur l’affiche du film, et le portrait dessiné de Marguerite, le personnage principal (Gusti Huber).

Cour / Ext. jour

NOIR ET BLANC. Un homme en train d’acheter, de négocier le prix d’un vélo. Marilou arrive, avec Jacquot, qui tient une chambre à air, [suivi de René qui porte deux chambres à air et une serviette.] Le tapissier, Monsieur Bredin, est près de sa camionnette et fait monter une petite fille à l’avant.

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I tedeschi passano nel viale, puliti e in tenuta estiva: hanno preso la città. Quelli del cortile sono raggruppati, o perlomeno, quelli che restano.

Jacquot 1 (alla signora Bredin, la tappezziera, che torna indietro): Reine non c’è? Signora Bredin: No, è al sicuro da mia sorella a Machecoul.

Marilou (che li aspetta in fondo al cortile): Ancora nessuno novità da vostro marito? Signora Bredin: Aspetto. Mi preoccupo. Ma vado comunque al laboratorio.

Jacquot si allontana. Marilou guarda i tedeschi sfilare. Si sente cantare “Heidi, heido, heida…”

Agosto 1940. Cinema l’Olympic / Est. giorno.

Jacquot, sua madre e sua zia vanno a vedere [“Les Disparus de St-Agil”] “Effeuillons la Marguerite”57, un film tedesco di Theo Lingen (1939), al cinema. Due ufficiali tedeschi e

due ausiliari donne in uniforme raggiungono la fila.

Un ufficiale (in tedesco): Ich spreche gut Französisch. Ich werde sie übersetzen.58 (Si

mettono dietro Marilou e Jacquot. Parlano forte in tedesco.) Wisse sie, ich habe gehört sie werden baid Soldaten ins Kino einsetzen.59

Jacquot 1 (a sua madre): Tedesco: che strana lingua.

Marilou: Zitto! Ne parliamo a casa. Guarda la locandina piuttosto! L’altro ufficiale (in tedesco): Etwas neues?60

Il primo ufficiale (in tedesco): Ya, Congres den Studenten.61

COLORI. Primo piano sulla locandina del film, e sul ritratto disegnato di Marguerite, il personaggio principale.

Cortile / Est. giorno.

BIANCO E NERO. Un uomo intento a comprare, negoziare il prezzo di una bicicletta. Arriva Marilou, con Jacquot che tiene una camera ad aria, [seguito da René che porta due camere ad aria e un asciugamano.] Il tappezziere, signor Bredin, sta vicino il suo furgone e fa salire una bambina davanti.

Marilou: È vero che vuole portarli alla Loira a fare il bagno?

57 Titolo originale tedesco “Marguerite”, Theo Lingen (1939). [N.d.T.] 58 Traduzione: “Parlo bene il francese. Vi tradurrò io.” [N.d.T.]

59 Traduzione: “Sapete, ho sentito che metteranno presto dei soldati nel cinema. [N.d.T.] 60 Traduzione: “Qualcosa di nuovo?” [N.d.T.]

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Le tapissier (off) : Oui, je dois aller chercher des matelas dans un hospice près de Mauves,

là. (Lui serrant la main.) Et j’emmène la petite, ça lui fera des copains. Jacquot lève les yeux vers la petite, accoudée à la fenêtre ouverte.

Marilou (off, sur la petite fille à la fenêtre) : Dites, vous les laissez pas tous seuls se baigner,

hein ?

Le tapissier (off, sur Jacquot, qui sourit à la petite fille) : Ne vous inquiétez pas. Allez, en

route ! (À Jacquot, qu’il invite à s’asseoir à côté de la fillette.) Toi, tu montes ici ! (À René, qui se tenait un peu plus loin, muni lui aussi d’une bouée chambre à air.) René, tu grimperas à l’arrière.

Jacquot est monté à côté de la fillette, René grimpe à l’arrière du camion. Marilou va saluer Madame Bredin.

Marilou : Bonjour, Madame Bredin. Madame Bredin : Bonjour.

Marilou (aux deux ouvrières tapissières) : Bonjour, Mesdames ! Les ouvrières : Bonjour, Madame Demy !

Madame Bredin : C’est une petite réfugiée, des amis d’amis. [Les temps sont durs.]

Bords de la Loire / Ext. jour

NOIR ET BLANC. Une « boire », soit une poche d’un des petits bras de la Loire. Le camion du tapissier est garé sur les bords de l’eau.

Jacques Demy (narration) : C’était une petite merveille qui venait de Sainte-Geneviève des

Bois, et elle était vraiment très belle.

Les trois enfants se baignent, s’essayant à nager, ceinturés de leurs grosses chambres à air. La fillette se débrouille mieux que Jacquot et René. Ils rient.

Geneviève : Non, pas comme ça. Comme ça, comme ça… Jacquot 1 : Comment tu t’appelles ?

Geneviève : Geneviève, et j’habite Sainte-Geneviève des Bois. (Ils rient de plus belle.

Geneviève, en plan très large.) Il faut faire des grands mouvements. Le tapissier, sur la berge, se roule une cigarette. Il fait très beau. Cour / Ext. jour

La voiture du tapissier revient. On voit l’arrière de la camionnette chargée de matelas. Les trois enfants sont étalés dans une sorte de lit géant à parois de matelas ! Ils rient beaucoup.

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Il tappezziere (fuori campo): Sì, devo andare a prendere dei materassi in un ospizio vicino

Mauves. (Stringendole la mano.) E porto la piccola, così si farà degli amici. Jacquot alza gli occhi verso la piccola, appoggiata al finestrino aperto.

Marilou (fuori campo, sulla bambina alla finestra): Mi raccomando, non li lasci soli a fare

il bagno eh?

Il tappezziere (fuori campo, su Jacquot che sorride alla bambina): Non si preoccupi. Forza,

andiamo! (A Jacquot, che invita a sedersi a fianco della bimba.) Tu sali qui! (A René, che stava un po’ più lontano, munito anche lui di una camera ad aria come boa.) René, tu salta dietro.

Jacquot è salito vicino alla bambina, René si è arrampicato sul retro del camion. Marilou va a salutare la signora Bredin.

Marilou: Buongiorno, signora Bredin. Signora Bredin: Buongiorno.

Marilou (alle due operaie tappezziere): Buongiorno, signore! Le operaie: Buongiorno, signora Demy!

Signora Bredin: È una piccola rifugiata, di amici di amici. [I tempi sono duri.]

Rive della Loira / Est. giorno.

BIANCO E NERO. Un “boire” (piccolo golfo della Loira), ossia un’insenatura di uno dei piccoli bracci della Loira. Il camion del tappezziere è parcheggiato sul bordo del fiume.

Jacques Demy (narrazione): Era una piccola meraviglia che veniva da Sainte-Geneviève

des Bois ed era davvero bellissima.

I tre bambini fanno il bagno, cercando di nuotare, circondati dalle grandi camere ad aria. La bambina se la cava meglio di Jacquot e René. Ridono.

Geneviève: Non così. Ma così. Jacquot 1: Come ti chiami?

Geneviève: Geneviève, e vivo a Sainte- Geneviève des Bois. (Ridono ancora di più.

Geneviève, campo lungo.) Dovete fare grandi movimenti con le braccia. Il tappezziere, in riva al fiume, si gira una sigaretta. È una bella giornata. Cortile / Est. giorno.

La macchina del tappezziere fa ritorno. Si vede il dietro del camioncino caricato di materassi. I tre bambini sono stesi in una sorta di letto gigante fatto di materassi! Ridono tanto.

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On voit la camionnette s’arrêter dans la cour et les trois enfants sauter par l’arrière, avec leurs chambres à air à la main.

Jacquot 1 (à René) : On va lui montrer l’escalier ?

Ils vont vers le côté de la cour. Escalier / Int. jour

On les voit monter l’escalier avec leurs bouées. Un arrêt. Ils se regardent.

René 1 : Après, il y a un petit escalier. Jacquot 1 : On y va ?

Grenier / Int. jour

Jacquot se déshabille entièrement et s’approche, nu, de Geneviève, déshabillée, installée sur une chambre à air, qui rit aux éclats.

Jacquot 1 : Tu me dis s’il y a quelqu’un ?

René, en slip, s’approche de la porte, la referme, revient vers eux.