L.A. 133-910
Dopo un rapido excursus sul fascino esercitato nei secoli dall’Astrometeorologia, dai Caldei agli Egizian, a Tolomeo, a Morin de Villefrance e Barbault – e sulle loro discordanze di opinioni –, Anne-Marie si sofferma su una ipotesi di lavoro di J. Lip-pens. Questo autore belga in un testo recente del 1952, con uno zodiaco siderale, assegna un significato ad ogni casa (ad esempio il tempo mutevole alle case ca-denti) sempre sul tema di Luna Nuova.
Più soddisfacente sempre un perfezionamento di questa tecnica da parte di George Dupeyron di Bordeaux, che assegna a segni e pianeti una carica antinica-stabilizzante (Sole, Marte, Urano, segni maschili e case cosignificanti) o ciclo-nica-depressionante (Luna, Venere, Nettuno, segni femminili e case cosignificanti), con Mercurio ambivalente. Importanti e prevalenti i due pianeti posti più vicini al MC e rispettivamente al FC. Oltre al tema di Luna Nuova, si utilizza il tema di in-gresso solare tropico.
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La prévision du temps a certainement concerné les êtres humains depuis toujours.
Autrefois les sociétés étaient rurales, agricoles et leur survie dépendait des aléa du temps et de leurs conséquences sur les récoltes.
A présent que nos sociétés occidentales et riches se sont adaptées aux varia-tions climatiques, ce n’est pas pour autant que nous nous en accomodons. Chacun veut savoir de quoi demain sera fait et supporte mal l’incertitude. De grandes en-treprises (les chemins de fer français par exemple) sont des abonnés des services de la météorologie nationale.
Les astrologues bien sûr ont cherché à contribuer à la connaissance météoro-logique depuis aussi longtemps que les hommes ont voulu savoir de quoi demain
sera fait. De tous ces travaux que reste-t-il d’accessible? Peu d’ouvrages, en français, disponibles en librairie.
Il faut espérer que les universitaires français et autres s’intéresseront aux matériaux astrologiques anciens (tablettes macédoniennes, manuscrits romains, grecs et égyptiens) et accepteront de coopérer avec des astrologues afin de traduire sans contresens cet héritage. Il reste aussi à exploiter pour l’astrométéorologie les travaux de traduction des américains (Robert Hand et Schmidt). En attendant donc cet historique bien documenté, je vais vous présenter quelques sources que j’ai étu-diées et leurs enseignements concernant l’astrométéorologie.
Tout d’abord, en occident, au moment de la naissance de l’astrologie entre le Tigre et l’Euphrate, les chaldéens puis les égyptiens ont tiré des indications météo-rologiques des levers héliaques et solaires, des nouvelles lunes et des aspects sym-boliques de la Lune (1). Il s’agissait d’observations mettant en rapport la couleur, la présence ou non de halo etc avec des pronostics météorologiques.
Plus tard, et je saute au deuxième siècle après J-C, l’astrologie se pratique à destination des rois et pour aider au gouvernement des royaumes. Les mathémati-ciens-astronomes-astrologues dressent des thèmes individuels mais aussi mon-diaux, appelés aussi constitutions universelles. Grace au travail récent d’un spéciali-ste de l’époque, d’un astronome et d’un astrologue (Yves Lenoble que vous connais-sez), une récente traduction du tétrabible de Ptolémée (2) permet de mieux com-prendre les conceptions de l’époque. Dans le livre II Ptolémée traite d’astrologie mondiale et aussi d’astrométéorologie. Il y expose les correspondances entre les phénomènes atmosphériques – pluie, nuages, chaleur, froid, tempête, vent – avec les planètes, les étoiles fixes et diverses configurations célestes.
Nouveau saut dans le temps, pour s’intéresser à Morin de Villefranche, astrolo-gue qui vécut de 1583 à 1656 à Villefranche sur Saône, au Nord de Lyon, grand théoricien de l’astrologie qui a publié une somme de 26 livres, l’”Astrologia Gallica” en partie traduit par Selva en 1902, puis par Hiéroz en 1941 (3), 1943 (4) et 1946 (5). C’est l’ouvrage de 1946, traduction du 25ème livre de Morin qui traite particu-lièrement de notre sujet et s’intitule “Astrologie mondiale et météorologique”, tra-duction de “Des constitutions universelles du ciel”.
A quoi bon ce survol de l’histoire de l’astrométéorologie? On ne peut que con-stater en effet comment la connaissance astrométéorologique ignore comment elle s’est constituée. Un certain nombre de questions qu’on se pose en défrichant cette connaissance ont déjà fait l’objet de débats par de grands anciens qui ont pris posi-tion sur ces quesposi-tions.
Par exemple “quels thèmes faut-il dresser pour prévoir le temps d’une année?” Ptolémée, deuxième siècle après J-C, dans le tétrabible, considère comme cau-se première absolument primordiale les éclipcau-ses de Soleil ou de Lune. Les Nouvelles
Lunes et les ingrès solaires dans les signes cardinaux étant secondaires et subor-donnés aux premières.
Morin, dans son Astrologie mondiale et météorologique, ne suit pas Ptolémée dans cette hiérarchie des constitutions universelles. Selon lui, en raison de l’impor-tance du Soleil, chef de toutes les planètes, le thème de l’entrée du Soleil dans le Bélier est le thème premier.
Les thèmes des ingrès solaires dans les autres signes cardinaux sont puissants, mais ils agissent en référence à l’ingrès du Bélier. Morin s’oppose aussi à l’importan-ce donnée par Ptolémée aux éclipses en rappelant qu’il s’en produit plusieurs à l’intérieur d’une révolution solaire mondiale, c’est-à-dire pour lui entre deux ingrès solaires du Bélier. Si Morin reconnaît plus de “vertu” à ces Nouvelles Lunes se pro-duisant sur l’écliptique, il précise toutefois que, pour lui, leur effet est limité à leur durée. Morin se distingue aussi de Ptolémée en refusant de reconnaître aux grandes conjonctions Saturne-Jupiter ou Saturne-Mars, une importance plus grande que celle des ingrès et Nouvelles Lunes.
On arrive en France aux modernes avec André Barbault qui publia en 1945, l’a-stro-météorologie. Dans la préface, Robert Ambelain qualifie cet ouvrage de synthèse moderne des auteurs anciens. Néanmoins, il ne figure plus dans la liste des oeuvres d’André Barbault et ne se trouve que chez les bouquinistes.
A cette même époque, en 1952, J. Lippens, astrologue belge, publia lui aussi une “Astrométéorologie”. Son apport principal a consisté à développer les significa-tions des douze maisons dans le domaine météorologique. Il a fait correspondre les douze secteurs avec la circulation atmosphérique, le jeu des cyclones et antines récemment découvert par la science. Ainsi, le déplacement continuel du cyclo-ne et de l’anticyclocyclo-ne, le changement de pression qui en résulte, se font sentir in-tensément souvent rapidement, parce que ces phénomènes découlent de l’action planétaire dans les maisons angulaires.
Les variations de la température, du potentiel électrique, et dans la direction du vent ont lieu à un rythme plus lent parce qu’ils sont le résultat de l’action pla-nétaire dans les maisons succédentes. Enfin la vitesse du vent, la nébulosité et les précipitations sont des phénomènes très capricieux parce que liés aux maisons ca-dentes. Lippens tenait compte de la précession des équinoxes pour ses thèmes avec une valeur de 23 degrés, et cela pour rester fidèle aux anciens pour lesquels le zo-diaque était sidéral et non tropical. Il ne suit pas Ptolémée et ne se sert pas des in-grès solaires cardinaux. Il fonde ses prévisions sur les thèmes des Nouvelles Lunes dans lesquels il progresse la Lune pour avoir des prévisions journalières. C’est-à-dire qu’il ajoute chaque jour au Temps Sidéral de la Nouvelle Lune 54 minutes, corre-spondant quasiment à la différence entre un jour moyen lunaire et un jour moyen civil.
début des années 1990, la méthode de Lippens et j’ai constaté que la méthode ne donne pas de résultats satisfaisants.
C’est pourquoi, j’ai accueilli avec intérêt le manuscrit de Georges Dupeyron, astrologue de Bordeaux, qui a étudié l’astrologie météorologique depuis les années 50. Et c’est avec beaucoup de fierté que le Cédra l’a édité en 1995 sous le titre: “Prévoir le temps et les séismes par l’astrologie”. C’est une contribution importante en langue française à la pratique de l’astrométéorologie. Reprenant à son compte les significations des douze maisons en correspondance avec la circulation atmo-sphérique, apport de Lippens, Georges Dupeyron grace à de nombreux exemples dé-veloppe l’analyse de thèmes d’ingrès cardinaux, de Nouvelles Lunes, et leur traduc-tion météorologique. Il met l’accent sur la correspondance entre l’effet anticycloni-que et la qualité masculine des signes (Bélier, Gémeaux, Lion, etc.), et dépression-naire en rapport avec les signes féminins (Taureau, Cancer, etc.) ainsi que ces mê-mes effets anticycloniques attachés aux maisons I, III, V, VII, IX et XI et dépression-naires pour les maisons II, IV, VI, VIII, X et XII. Les planètes aussi ont une nature an-ticyclonique: Soleil, Mars, Jupiter, Uranus ou dépressionnaire : Lune, Saturne, Vénus, Neptune.
Pour lui Mercure est tantôt anticyclonique, tantôt dépressionnaire selon le si-gne où il se trouve. Quant à Pluton, Georges Dupeyron ne se prononce pas. Une au-tre de ses contributions importantes concerne le sens des aspects qui donne la pré-dominance à la planète qui envoie l’aspect, c’est-à-dire à celle qui est la plus pro-che du Milieu du Ciel pour les planètes situées au-dessus de l’horizon et pour les planètes situées au-dessous de l’horizon c’est la planète la plus proche du Fond du Ciel. Par exemple si Mars au Milieu du Ciel envoie un carré à Vénus en XII, cela si-gnifiera que les tendances anticycloniques chassent les tendances dépressionnaires et donc que le temps s’oriente au beau. Alors que si Vénus avait dominé avec Mars en XII, cela aurait constitué un facteur de pluie.
Après ce rapide survol des sources astrométéorologiques, je souhaite avant d’aborder des exemples pratiques, vous faire part de considérations astrométéorolo-giques concernant Vénus, astre présidant à cette réunion.
CONSIDÉRATIONS ASTROMÉTÉOROLOGIQUES SUR VÉNUS Tout d’abord, il faut signaler que les astrologues anciens ne sont pas unanimes sur les qualités élémen-tales de Vénus. Si il y a consensus sur sa qualité Humide, Albiruni la juge moyenne-ment Froide, Ptolémée moyennemoyenne-ment Chaude et Morin de Villefranche la juge Chaude.
Vénus est bénéfique car vitalisante du fait de son humidité abondante et chaude propice au développement des récoltes. Elle produit les mêmes effets que Jupiter mais avec plus de douceur: comme dit Morin: la température sera favorable et rafraîchie par des brises humides; l’air sera pur et salubre, nettoyé par des ondées fertilisantes. Vénus a pu être nommée la “mère des pluies” surtout en signes d’Eau ou dans le Verseau, et quand elle ne reçoit pas d’aspect d’une planète sèche.
D’autre part, le mouvement de Vénus produit aussi des effets différents: sta-tionnaire, surtout en signes Fixes, ses effets seront durables et constants. Quand Vé-nus est rétrograde, elle est surtout pluvieuse, surtout en signe féminin, et encore plus en signes d’Eau, en maisons humides. Alors que comme pour les autres planè-tes, le mouvement direct suscite plutôt la sécheresse et le calme.
Georges Dupeyron tient compte de sa déclinaison qui est la distance Nord ou Sud de Vénus (ou de toute autre planète) par rapport au plan de l’équateur céleste. Cette valeur se trouve dans les éphémérides.
Dans le cas de Vénus, si sa déclinaison est Sud, cela entraîne une augmenta-tion des nuages et de la pluviosité.
Par ailleurs les aspects entre:
– Saturne et Vénus sont cause de pluies et de froid au printemps, de pluies subites en été, de pluies très froides en automne et en hiver de pluies et de neige. En signe d’Eau ils sont à l’origine de grêle et en Scorpion d’inondations;
– Jupiter et Vénus engendrent un calme magnifique et une température agréable et en signes d’Eau des nuages et des pluies salubres. Si Jupiter prédomine, on aura un temps calme mais si c’est Vénus, ce seront les pluies.
Mars et Vénus, en signes humides sont sources de pluies; dans les autres si-gnes ils engendrent le beau temps, calme avec de rares pluies.
La conjonction du Soleil et de Vénus en signes humides augmente les pluies, en signes de Feu et d’Air engendrent le beau temps.
Les aspects de Vénus et de la Lune sont cause de pluies, d’averses, de neige, de temps nuageux et de diminution de la chaleur.
Il faut aussi noter qu’en ce qui concerne les nuages et les vents sous l’influen-ce de Vénus, on trouve les cirro-status, nuages à l’origine des averses, des pluies fi-nes ; quant aux vents il s’agit des vents doux: les zéphirs.
Exemple: l’été 1999
J’ai choisi cet été-là pour plusieurs raisons: la première étant l’importance de Vénus dans les thèmes de l’ingrès et d’une lunaison, et d’autre part parce qu’il me semblait qu’en raison de l’éclipse du 11 août la plupart d’entre vous se souviendrait du temps qu’il faisait cet été-là.
Les thèmes que je vais vous présenter sont calculés pour Lyon: - Ingrès solaire d’été: le 21 juin 1999 à 19h50 TU, - Nouvelle Lune: le 13 juillet 1999 à 2h25 TU.
Etudions l’été 1999, grace à ces deux thèmes: L’ingrès a lieu tout d’abord juste au début de la maison VII, maison anticyclonique et la Lune dispositrice de l’ingrès
est elle-même dans le signe masculin anticyclonique de la Balance et dans une maison anticyclonique, la IX. Ce sont deux indices puissants de conditions anticy-cloniques pour la saison. Si, par ailleurs, on fait le bilan anticyclonique du thème, en ce qui concerne les signes, du fait de l’occupation des planètes, c’est la tendance anticyclonique qui prédomine largement. Quant aux maisons, on relève la présence de Vénus planète maîtresse de la maison IV, qui est la “base du temps” en Lion en fin de maison VII, et comptée en VIII. La nature chaude et humide qui caractérise Vénus est ici renforcée pour ce qui est de la chaleur par sa présence en Lion et par-ce qu’on est en été, et par son action en maison VIII, c’est le côté dépressionnaire qui augmente, d’où des influences moites étouffantes de chaleur. Pour caractériser le temps correspondant à cette saison, il faut tenir compte aussi de Saturne présent en maison IV, qui je le rappelle est la base du temps. Saturne est une planète dé-pressionnaire, placée ici dans un signe dédé-pressionnaire, mais du fait de sa nature re-strictive, elle joue plutôt comme rétentrice d’eau, donc facteur de sécheresse, d’au-tant qu’elle a une déclinaison Nord et qu’elle précède le Soleil.
Ainsi donc un premier bilan met l’accent sur les conditions anticycloniques de la saison avec une chaleur notable et des indices de sécheresse.
L’étape suivante consiste à adjoindre à cette première analyse les déductions liées aux aspects.
L’ingrès reçoit un trigone de Mars qui est conjoint au Milieu du Ciel en Balance et reçoit aussi un aspect de Jupiter conjoint au Fond du Ciel en Bélier. Il est aussi en aspect de sesqui-carré avec Uranus, planète anticyclonique, en Verseau agissant en maison II, maison dépressionnaire. On retrouve valorisé en cet été 1999, l’aspect Mars-Jupiter qui existait dans les thèmes des ingrès solaires d’été en 1976 et en 1990 et qui furent des étés particulièrement secs et chauds. Dans ces deux cas précédents il s’agissait d’un aspect de carré, alors que dans cette carte du 21 juin 1999, il s’agit d’une opposition bien reliée au Soleil. C’est pourquoi on peut en dé-duire une amplification de la chaleur de par la nature de Jupiter, génératrice d’ora-ges, pronostic renforcé par l’aspect à Uranus.
Vénus maîtresse de la Maison IV, est opposée à Uranus, reçoit un sextile de la Lune en Balance en maison IX et reçoit un trigone de Pluton en signe de Feu et en maison XI, qui est avec la maison V, la maison des températures. L’opposition entre Vénus et Uranus est une opposition entre deux planètes antinomiques: l’une dé-pressionnaire, l’autre anticyclonique, et cela se traduit par des périodes courtes mais intenses (du fait d’Uranus) de temps orageux, n’excluant pas des températures au-dessus des moyennes saisonnières (en effet Pluton donne à chaque fois une to-nalité a-normale).
Saturne, est conjoint à Jupiter et envoie un carré à Uranus et un carré à Vénus. Si la conjonction Saturne-Jupiter accentue la sécheresse et fait durer le beau
tem-ps, le carré à Uranus déclenche des épisodes violents, pluvieux (nature d’Uranus et de la maison II) et le carré à Vénus amène des pluies subites.
Si, à présent on fait une nouvelle synthèse pour l’été on peut indiquer une sai-son caractérisée par des conditions anticycloniques, une chaleur au-dessus de la normale, des orages intenses et courts amenant de grosses précipitations.
Ce pronostic est confirmé par les bulletins climatologiques édités par Météo-France pour la région CentEst (Bourgogne, Auvergne, Rhône-Alpes): selon les re-levés de Météo-France pour l’été 1999 les températures sont supérieures à la moyenne et ce depuis le mois de mars. D’autre part pour la période comprise entre le 20 juin et le 20 septembre, les conditions ont été anticycloniques avec des épiso-des orageux particulièrement violents mais courts, et épiso-des épisoépiso-des ventés liés aux orages.
Le thème de la Nouvelle Lune du 13 juillet confirme ce pronostic tout en l’en-richissant et en le nuançant, tant au niveau astrologique qu’au niveau météorologi-que.
Au niveau astrologique, la Nouvelle Lune a lieu en Cancer, signe dépression-naire et en maison II, maison dépressiondépression-naire. Caractérisant le temps, en maison IV, on retrouve Vénus, qui vient d’entrer en Vierge, donc avec une note plus dépres-sionnaire. Dans cette carte du ciel, Vénus est bien reliée à l’opposition Jupiter-Mars, toujours active mais qui se réalise à présent entre le Taureau et le Scorpion.
Mercure, deuxième maître de la maison IV est situé en Lion en maison III, mai-son des vents comme la maimai-son IX. Mercure est carré à Saturne en XII, et trigone Pluton en VI, ces deux maisons étant nettement dépressionnaires. Mercure est aussi opposé à Uranus situé en maison IX.
On peut donc déduire de cette carte la persistance de la chaleur, avec des épi-sodes instables et orageux, avec plus des précipitations plus marquées.
Les relevés de Météo-France pour la période du 12 juillet au 10 août qualifie le temps de chaud et orageux, bien arrosé à cause des orages violents.
Conclusion
Je souhaite par cette brève incursion dans le domaine astrométéorologique vous avoir intéressé et vous invite vivement à pratiquer cette discipline particulièrement excitante car fournissant des résultats rapides et non contestables, tout en restant un terrain encore à défricher.
BIBLIOGRAPHIE
(1) André Barbault, Astrologie météorologique, préface et avant-propos de Robert Ambelain, édition Niclaus, Paris, 1945.
(2) Ptolémée, Le livre unique de l’astrologie, traduction Pascal Charvet, édition Nil, 2000.
(3) L’astrologie selon Morin de Villefranche, quelques autres et moi-même, Jean Hiéroz, 2ème édition Omnium Littéraire, Paris, 1962.
(4) Ma vie devant les astres, colligé et traduit de Morin de Villefranche, Jean Hiéroz, édition des Cahiers Astrologiques, Paris, 1943.
(5) L’astrologie mondiale et météorologique de Morin de Villefranche, traduc-tion intégrale du XXVème livre de l’Astrologia Gallica “Des constitutraduc-tions universelles du ciel”, Jean Hieroz, éditions Leymarie, Paris, 1946.
(6) J. Lippens, Astrométéorologie, édition des Cahiers Astrologiques, Paris, 1952.
(7) Georges Dupeyron, La prévision du temps et des séismes par l’astrologie, édition du Cédra, Lyon, 1995.
L.A. 133-912 Order, it has been said, is Heaven’s first law. Apparently it is also a principle well at work in our own solar system when we consider the seemingly unshakable